Génération YOLO
Description
La Génération YOLO «you only live once» est une nouvelle génération qui fut nommée par l'économiste Jean-Marc Léger le 28 janvier 2013 dans le Journal de Montréal et inaugurée le 6 mars 2013 lors d'une chronique à l'émission Salut Bonjour présentée par le réseau de télévision TVA. La Génération YOLO est constituée de jeunes nés entre 1994 et 2000. Ce sont des enfants-rois et intransigeant devenus adultes[1]. Selon la «ligne de vie des différentes générations»[1], présenté à Salut Bonjour, les you only live once sont âgés de 18 à 24 ans. Ils sont plus efficaces, multidisciplinaires et plus à l'aise avec la technologie que leurs ancêtres.
Relation professionnelle
Le you only live once, selon le chroniqueur Jean-Marc Léger, change de travail comme il change de blonde[1]. Conformément aux statistiques non référées de Jean-Marc Léger, 33% des you only live once trouvent leurs patrons incompétents et plus de la moitié de ceux-ci veulent changer de travail[2]. Toujours suivant le président de Léger Marketing, ils ont tous ce qu'ils veulent et ont gagné la bataille contre le gouvernement. Ils gagneront tout le long de leurs vie'[1]. Contrairement aux perdants de toutes les batailles économiques et politiques que sont les «baby-boomers»[1], les you only live once sortiront le Québec de la torpeur et brasseront la société[1].
Les paradoxes de la Génération YOLO, selon le Président
- Ils communiquent plus, mais se parlent moins[1].
- Ils ont de grandes maisons, mais de plus petites familles[1].
- Ils ont plus de savoir, mais moins de jugement.[1]
- Ils n'ont pas d'expérience et ils ont tout vu sur internet, mais ils n'ont pas vécu[1].
- Ils ont plus d'amis, mais sont souvent seuls. Ils ont des centaines d'amis grâce au site Facebook, mais ce ne sont pas nécessairement de vrais amis[1].
- Ils dépensent plus, mais ils apprécient moins; ils dépensent sur n'importe quoi[1].
- Ils voyagent plus loin, mais ne connaissent pas leurs voisins.[1]
- Ils sont plus propres, mais ils salissent la planète terre[1].
- Ils sont plus mobiles, mais moins actifs[1].
Références
Références partielles
- http://www.journaldemontreal.com/2013/01/28/la-generation-yolo
- http://www.youtube.com/watch?v=z5Otla5157c
- http://classroom.wsj.com/cre/2012/09/10/yolo-generation-ventures-beyond-carpe-diem/
- http://www.publicserviceeurope.com/editor-blog/194/the-yolo-generation-without-hope-and-without-opportunity
Article publié sur Wikimonde Plus