Gilles Probst

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Gilles Probst
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Gilles Probst, né le à Paris, est un journaliste, programmeur et chef d'entreprise.

Entrepreneur informatique spécialisé dans l'informatique de poche, il crée Logi'Stick en 1982. Plus recement, il est une référence sur l'Inde, cité par Géo Hors Série Inde Eternelle et l'Inde des Indiens. Il est titulaire d'un QI de 145.

Publications

Ouvrages

  • 50 Programmes pour Casio FX-702 et FX-801 P - ETSF, 1983 - 127 pages[1]
  • 40 Programmes pour Canon X-07 - ETSF, 1985 - 125 pages[2]
  • 60 Programmes pour Casio PB-100 FX-802, Tandy PC 4 et Olympia OP-544 - ETSF, 1984 - 127 pages[3]
  • 40 Programmes pour Casio PB-700 - ETSF, 1984, 126 pages[4]

Articles de presse

Collaborateur des revues L'Ordinateur de Poche[5], Hebdogiciel'[6], Microsystèmes, il fonde l'Écho du PCW en juillet 1986 (43 n° mensuel)[7] un des tous premiers magazines distribués par les NMPP à être entièrement réalisé en PAO dès juin 1988 avec QuarkXPress V 1.1 sur Xerox Documenter (Xerox 6085 + Xerox 4045 Laser Printer/Copier) puis sur Apple MacIntosh 2[8].

Édition de logiciels

C'est via la société d'édition Logi'Stick (1982-1995)[9] qu'il commercialise de nombreux logiciels pour Casio FX-702P[10], PC-100[10], PB-700, Sharp PC-1500[11] , Canon X-07[12],[13], Amstrad CPC 464, 6128 & PCW 8256/8512, IBM PC[14],, dont La Leçon de musique pour Sharp PC-1500 à qui le ministère de la Culture décernera le prix Arcade en 1985[11].

Développement de logiciels

En plus de logiciels publiés dans la presse informatique, Gilles Probst est l'auteur de programmes tels Super Sonic sur Amstrad CPC[15], Matrix sur Amstrad CPC[16], AZERTY sur Amstrad PCW[17].

Télématique

En 1988 il met en place 3615 LS*, un système de blogs télématiques permettant à tout utilisateur de créer son propre site minitel avec une messagerie et de le personnaliser. Après avoir conquis plusieurs milliers d'utilisateurs[14], le service sera coupé en 1990 par France Telecom au motif qu'un utilisateur non identifié ne peut bénéficier d'un service télétexte et encore moins d'une messagerie[14].

Références externes

Article publié sur Wikimonde Plus

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