Jean U. Seutret
Nom de naissance | {{#property:P734}} |
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Alias |
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Naissance |
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Décès |
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Activité principale | |
Distinctions |
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Langue d’écriture | français |
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Genres |
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Jean U. Seutret, né en 1915 et mort en 1992[1], est un journaliste, poète et essayiste français.
Biographie
Écrivain voyageur, il publie quelques articles dans la revue Le Chat noir, participant de son éphémère renaissance, ainsi que dans les revues Traces et Verso. Il développe un style inspiré par le surréalisme mais critique sévèrement André Breton dans un essai publié en 1951, Contre la culture[2],[3]. Il adopte ainsi vis-à-vis du mouvement surréaliste une attitude comparable à celle de Clovis Trouille, dont il est par ailleurs un fervent admirateur[2], participant de la constellation tout en refusant d'en être un membre à part entière.
Parmi ses pérégrinations russes, dans les années 1980, il reprend à son compte la notion de métaréalisme (en), développée par Mikhail Ephstein[4]. Les éditions Cadex publient en 1992, à titre posthume, le recueil Prosaïsme et le roman policier Ne réveillez pas le tigre de Sibérie offrant une saisissante description de la Russie soviétique.
Notes et références
- ↑ « Les mots oubliés du poète voyageur Jean U. Seutret », Le Figaro Magazine, 19 septembre 1992.
- ↑ 2,0 et 2,1 Marcel Raymond, De Baudelaire au surréalisme, édition nouvelle, Paris, José Corti, 1960.
- ↑ Nicolas Marty, « Presque rien. De l'anecdote au surréalisme », Musurgia, 2011, 4, p. 61-78.
- ↑ Mikhail Epshtein, Paradoksy novizny. O literaturnom razvitii XIX-XX vekov, Moscou, Sovetskii Pisatel, 1988.
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