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Said Krim (25 juillet 1931 - 18 août 1959) était un militant algérien du mouvement de libération nationale. Né à Tizra Aissa, dans l'ex-commune mixte de Draâ El-Mizan, Krim s'est engagé dès son adolescence dans la lutte contre le colonialisme français, inspiré par des figures telles que Krim Belkacem et Amar Ouamrane[1].
Dès la fin des années 1940, influencé par l'adhésion de Krim Belkacem au mouvement national, Said Krim et sa famille rejoignent les rangs des organisations nationalistes telles que le PPA et le MTLD. En 1954, alors âgé de 16 ans, il s'implique activement en hébergeant des révolutionnaires dans le café maure de sa famille sur la RN25, et en se familiarisant avec leurs projets de libération nationale.
Participation à la Guerre de Libération Nationale
En septembre 1955, motivé par sa conviction en la révolution, Krim rejoint le maquis dans sa région natale avec son fusil de chasse. Il se distingue rapidement par son courage et ses compétences militaires, organisant des embuscades et des attaques contre les forces coloniales. Reconnu pour ses talents stratégiques, il est chargé par le colonel Amar Ouamrane de sécuriser le congrès de la Soummam en 1956.
Ascension dans les Rangs de l'ALN
Au fil des années, Said Krim gagne en importance au sein de l'Armée de Libération Nationale (ALN). En 1957, il accueille des leaders révolutionnaires à Aït Yahia Moussa et reçoit des encouragements pour son engagement. En février 1959, il est promu au grade d'Aspirant et prend la tête de la région Sud de Tizi-Ouzou, organisant plusieurs opérations militaires, notamment l'embuscade de Tighilt Laâbid.
Sacrifice et Héritage
Le 18 août 1959, Said Krim trouve la mort lors d'une embuscade tendue par les forces coloniales à Imazgharène. Malgré une résistance héroïque, il tombe au champ d'honneur, mais non sans avoir sauvé la vie de six de ses adjoints. Sa mort est une perte significative pour le mouvement de libération, et il est honoré à titre posthume par ses compagnons d'armes.
Une stèle à sa mémoire a été érigée au CFPA de Draâ El-Mizan, qui porte son nom[2].
Sources
↑La Rédaction, « Boumerdès », sur La Dépêche de Kabylie, (consulté le )