Accident de Naivasha

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Accident de Naivasha
Type Explosion
Localisation Naivasha, comté de Nakuru (Drapeau du Kenya Kenya)
Date
Bilan
Blessés plus de 50
Morts 43

L'accident de Naivasha s'est produite le 11 décembre 2016 lorsqu'un petit camion (prétendument un Canter) transportant des produits chimiques explosifs a perdu le contrôle en raison d'un accident de la route et a explosé sur une route principale près de Naivasha, au Kenya[1]. L'explosion a rattrapé 10 autres véhicules, dont un véhicule militaire, et a tué 43 personnes et blessé plus de 50 autres, selon le Kenya National Disaster Operation Center[2]. On compte parmi les victimes onze membres de la garde présidentielle[3],[4]. Cet accident entraine la suspension d'une grève des professionnels de santé du Kenya pour faciliter la prise en charge des blessés[5].

Enquête

Des juristes mettent en cause l'Agence nationale de sécurité des transports[6]. Des spéculations indiquent que la cause de l'explosion est un camion-citerne[7]. Cela a été repris par les médias locaux et internationaux. Il a été prouvé plus tard[Quand ?] que la cause était un Mitsubishi Canter immatriculé en Ouganda transportant une substance chimique industrielle hautement inflammable[réf. nécessaire].

Notes et références

  1. (en-GB) « Kenya Naivasha: 39 dead as fireball engulfs traffic on road », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. Kenya: plus de 30 morts dans l'accident et explosion d'un camion. Le Point, 11 décembre 2016. Lire en ligne
  3. (en) « Canter ‘had flammable chemicals’ », sur The Star (consulté le )
  4. (en) Cyrus Ombati, « 11 GSU presidential guards among 39 dead in the Naivasha tragedy », sur The Standard (consulté le )
  5. Doctors on strike attend to Naivasha road accident survivors. The Citizen, 13 décembre 2016. Lire en ligne
  6. Lawyers question NTSA role after Naivasha accident. Business Daily, 13 décembre 2016. Lire en ligne
  7. Catholic Bishops Condole the Bereaved Families of the Naivasha Accident. AMECEA Social Communications, 16 décembre 2016. Lire en ligne

Article publié sur Wikimonde Plus

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