Inversion de l'effet Flynn
La diminution du QI appelée aussi régression de l'effet Flynn, effet Flynn inverse ou encore effet anti-Flynn, désigne l'inversion de l'augmentation des scores de l'intelligence générale après le milieu des années 1990 et les interprétations tant des possibles causes que des conséquences.
Effet Flynn
Diminution du QI
Dans plusieurs pays occidentaux, une diminution du quotient intellectuel (QI) moyen est observée depuis les années 1990. C'est la cas au Danemark[1], au Royaume-Uni[2],[3] en Norvège, en Australie (où les données seraient cependant ambiguës[4],[5]), aux Pays-Bas, en Suède, en Finlande, et dans les pays de langue allemande[1],[6],[7],[8],[9].
Le QI moyen en Finlande a baissé de 2,0 points entre 1997 et 2009[10].
Les pertes dans les pays nordiques après 1995 s'établissent en moyenne à 6,85 points de QI sur une période de trente ans. Les données scandinaves montrent une « décimation » des plus scores les plus élevés aux tests d'intelligence[11].
Selon Flynn, il convient de noter que l'augmentation du QI s'est arrêté dans des sociétés qui sont toutes politiquement progressistes[5].
L'effet Flynn s'est inversé dans des pays hautement développés comme la Norvège ou le Danemark, mais l'effet Flynn continue principalement dans des pays moins développés et on pourrait assister à une diminution des différences des résultats entre pays si cette tendance se confirme[12]. Certains pays ne voit pas leur QI moyen augmenter, notamment, le Soudan, l'Arabie Saoudite ou la République dominicaine[5].
Constats
Éducation
Des causes possibles pour une baisse marginale des résultats de test de QI des jeunes danois entre 1998 et 2004 sont des changements dans le système éducatif tel qu'une moindre emphase sur les solutions de problèmes, le raisonnement abstrait ou la vitesse[12]. Flynn suggère que la baisse anormale du QI des adolescents britanniques pourrait être due au fait que la culture des jeunes a « stagné », voire s'est affaiblie. Il affirme également que la culture des jeunes est davantage orientée vers les jeux vidéo que vers la lecture et la conversation. Le chercheur Richard Gray, commentant l'étude, mentionne également la culture informatique qui diminue la lecture de livres ainsi qu'une tendance à enseigner uniquement pour réussir les examens comme possible cause du déclin de l'intelligence[2],[3].
Pollution
L'augmentation de la pollution atmosphérique a été avancée par un professeur de l'Université de l'Illinois, Dean Schraufnagel, comme une explication possible d'un déclin mondial de l'intelligence[13],[14].
Selon Bratsberg & Rogeberg (2018), l'augmentation initiale des scores de QI moyens et leur déclin subséquent en Norvège ont été causés par des facteurs environnementaux. Ils suggèrent que les facteurs environnementaux expliquent la totalité ou la quasi-totalité du déclin, et que tout effet de l'immigration ou de la baisse hypothétique du QI génotypique est négligeable[8].
Les expositions au mercure, au plomb, aux polychlorobiphényles (PCB), aux pesticides organophosphorés sont responsables de pertes de points de QI globales[15].
Migrations
Certains auteurs (Sundet et al. 2004, Dutton et Lynn 1999, Kirkegaard 2013) attribuent les tendances à la baisse du QI en partie à l'immigration non européenne à faible QI[5],[16],[17],[18]. La Finlande et les États-unis font exceptions[5]. Aux États-Unis, l'immigration importante d'Hispaniques à faible QI n'a pas inversé l'augmentation du QI[5] mais l'a ralentie[19],[20].
Au Danemark, la proportion d'immigrants ou de leurs descendants immédiats au Danemark, est passée de 1% en 1988 à 5% en 2004 chez les hommes de 18 ans. Ces migrants ont des résultats aux tests inférieurs à la moyenne. L'étude note cependant que si l'effet Flynn serait terminé dans des pays hautement développés comme la Norvège ou le Danemark, il continuerait principalement dans des pays moins développés et on pourrait assister à une diminution des différences des résultats entre pays si cette tendance se confirme. Ce qui réduirait l'éventuelle diminution du QI engendrée par les migrations[12],[21].
Selon une étude de l'université d'Aarhus, le QI moyen des immigrés non européens de 18-19 ans enrôlés dans l'armée était de 86,3 contre 100 pour les Danois autochtones. Selon cette étude, ces immigrants sont susceptibles d'avoir eu une certaine incidence sur la réduction du QI moyen des populations au Danemark, mais il est douteux que l'augmentation du nombre d'immigrants ayant un QI inférieur ait été suffisamment importante pour avoir eu un effet majeur tel que mesuré[16],[17].
En Norvège, Sundet, Barlaug et Torjussen (2004) ont montré que les immigrants représentaient environ 2 à 3 % des conscrits étudiés et que ceux-ci n'auraient réduit le QI moyen que d'environ 0,1 à 0,2 point de QI[16],[18].
En France, Richard Lynn a analysé en 2015 les résultats à des tests d'intelligence d'un échantillon de 79 personnes, dont la représentativité de la population française lui était inconnue. Il fait part d'une baisse de 4 points du QI moyen entre 1998 et 2008/9. Partant du postulat que les immigrés ont un QI plus bas que la moyenne française, il émet l'hypothèse que l'immigration puisse avoir un effet sur cette baisse, avant de conclure à l'improbabilité d'un effet aussi massif, d'autant qu'aux États unis, il aurait été constaté que l'accroissement du nobre d'immigrants avec un QI plus faible que la population hôte n'avait eu aucun effet sur le niveau général de QI[16]. Un certain nombre d’études a montré que les immigrants d'Afrique du Nord et d'Asie du Sud-Ouest ont généralement un QI moyen d'environ 85 à 90[16],[22],[23].
Une étude de 2018 a trouvé que les effets de la migration (nombre de demandeurs d'asile, solde migratoire, chiffres absolus de migration) ne devraient pas jouer un rôle significatif dans la diminution du QI. Les résultats concordent avec d'autres résultats publiés précédemment qui montrent que les changements liés à la migration des QI nationaux sont de courte durée[24].
La Corée du Sud n'est pas touchée par l'immigration et ses gains de QI sont très importants[5],[25].
Effet dysgénique
Au cours du siècle dernier, une corrélation négative entre fertilité et intelligence a été observée. Les personnes au QI faible tendent à avoir plus d'enfants que les personnes au QI élevé. Lynn et Harvey ont suggéré en 2008, que bien qu'il n'y ait pas encore de preuve concluante de l'association entre les deux, un déclin dysgénique avait lieu dans le monde[16]. Une baisse de l'ordre de 0,86 point de QI par décennie, s'est produite entre 1950 et 2000 et a été masquée par l'effet Flynn[26].
Une étude de 2013 a trouvé la présence d'un effet Jensen (en)aux Pays-Bas. Les baisses dues à l'effet Flynn inverse sont estimées à -4,515 points de QI par décennie, tandis que les gains dus à l'effet Flynn sont estimés à 2,175 points par décennie. La perte nette pondérée N de ces cohortes est de -1,350 point par décennie, ce qui suggère une tendance générale à la baisse du QI aux Pays-Bas. L'effet Jensen sur l'effet anti-Flynn suggère que la baisse de QI pourrait être lié aux changements biodémographiques au sein des Pays-Bas qui ont réduit le " génétique-g ", malgré la présence de gains importants et parallèles dues à des améliorations culturelles et environnementales[27].
Des preuves d'un effet dysgénique en Chine affectant l'intelligence et le niveau d'instruction moyens ont été trouvées par une étude de 2016. Cet effet se serait accru entre les années 1960 et le milieu des années 1980. La baisse estimée due à la dysgénésie est de 0,31 point de QI par décennie entre 1986 et 2000[28].
Une étude de 2013 a mesuré la corrélation réelle entre le temps de réaction et le facteur g, et a trouvé une baisse de - 13,35 points de QI depuis l'époque victorienne. Ces résultats indiquent clairement qu'en ce qui concerne g, les Victoriens étaient beaucoup plus intelligents que les populations occidentales modernes. Cette étude constitue la première mesure directe d'une tendance dysgénique probable du QI[29].
Richard Lynn et John Harvey ont suggéré qui serait peut possible de contrecarrer les effets dysgénique par la biotechnologie[30].
L'érosion de 4 points du QI en France entre 1998 et 2008/9 serait principalement due à un effet dysgénique[31].
Conséquences
Sociétales
Même faible érosion des capacités cognitives d’une grande population peut avoir des conséquences socio-économiques considérables[15]. Une chute de seulement 5 points de QI moyen conduit à réduire de 60% le nombre de surdoués et une augmentation de plus de 50% celui des handicapés mentaux, nécessitant une assistance et des soins particuliers[15].
La baisse du QI est également fortement corrélée à une augmentation des comportements anti-sociaux ou criminels et l’inclinaison à la violence[15],[32].
Selon Avner Ziv, « Il n'existe pas de scientifiques qui aient créé quoi que ce soit avec un QI inférieur à 120 ou 130 »[33][source insuffisante].
Un QI national bas est corrélé à une criminalité élevée, à un étatisme fort, à une corruption élevée, à un faible niveau de démocratie, à un faible niveau de confiance entre citoyens, à une fécondité élevée, et à des mauvaises conditions de santé[34],[35].
L’intelligence moyenne d'un pays est également positivement corrélé avec le taux d'athéisme (0,60)[36].
Économiques
Aux États-Unis, selon les travaux de Joel Schwartz en 1994, un point de QI en moins pour un individu et c’est environ 19 000 dollars (15200 euros) qu’il ne gagnera pas tout au long de sa vie. Cela équivaut, pour l’exposition au plomb de la population américaine, à une facture annuelle de plus de 50 milliards de dollars[15].
Les 5 % de la population au QI le plus élevé sont le facteur déterminant du niveau national de croissance du revenu par habitant et des réalisations technologiques[32].
Les personnes à QI élevé sont plus productives et plus créatives[29].
Références
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Voir aussi
Article publié sur Wikimonde Plus
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