Les 40 composantes du portrait robot de Berthier
Le portrait-robot d'Alésia est une tentative de localisation du site de la bataille d'Alésia en s'appuyant uniquement les informations fournies dans le texte "De Bello Gallico" de Jules César. Son promoteur André Berthier, archéologue basé en Algérie, était peu convaincu du choix d'Alise-Sainte-Reine, en raison de la petitesse des lieux. Il s'attacha à construire un portrait-robot cartographique, c'est-à-dire une suite de composantes géographiques, tactiques et stratégiques.
Les 40 composantes conduisent Berthier à localiser Alésia à Chaux-des-Crotenay dans le Jura. Cependant, ses conclusions restent assez largement minoritaires dans la communauté scientifique même si la théorie demeure un des éléments de l'historiographie du débat sur la localisation d'Alésia.
Les composantes du portrait-robot
Les composantes géographiques (18)
Un oppidum fortifié
1 - Un lieu très élevé : admodum edito loco (VII, 69,1)[1] "à une grande altitude", traduction L.A. Constans[2], "dans une position très escarpée" traduction M.Rat[3].
2 - Un sommet portant une agglomération : ipsum erat oppidum Alesia in colle summo (VII, 69,1))[4], "la ville proprement dite était au sommet d'une colline", traduction L.A. Constans (VII, 69,1), "la place elle-même était au sommet d'une colline" traduction M.Rat (VII, 69,1), "la place d'Alésia proprement dite était au sommet d'une hauteur bien saillante" traduction J. Le Gall et de Saint-Denis(VII, 69,1).
Un environnement de collines
3 - Une ceinture de collines, sauf devant l'oppidum : reliquis ex omnibus partibus colles (VII, 69,4))[5] "De tous les autres côtés" Traduction L.A. Constans, "Sur tous les autres points" Traduction M.Rat.
4 - Un grand rapprochement des collines entourant l'oppidum : mediocri interjecto spatio(VII, 69,4)[6], "entourée à peu de distance" Traduction L.A. Constans, "peu distantes entre elles" Traduction M.Rat.
5 - Une altitude des collines égale à celle de l'oppidum : pari altitudinis fastigio (VII, 69,4)[7], "hauteurs dont l'altitude égalait la sienne" Traduction L.A. Constans, "d'égale hauteur" Traduction M.Rat.
6 - L'existence de pentes abruptes : loca praerupta (VII, 86,4) [8] "les hauteurs" Traduction L.A. Constans, "les hauteurs" Traduction M.Rat, "pentes escarpées" Traduction F. Gaffiot.
Une plaine devant l'oppidum
7 - Une plaine située en avant de l'oppidum : Ante id oppidum planities(VII, 69,3)[9] "En avant de la ville" traduction L.A. Constans[10].
8 - D'une longueur d'environ 4.5 km : circiter milia passuum III in longitudinem (VII, 69,3; VII, 70,1 & VII, 79,2)[11] "s'étendait sur une longueur d'environ trois milles" traduction L.A. Constans[12]. La longueur de 3.000 pas est répétée trois fois par César, en 69-3, en 70-1, et en 79-2.
9 - Enserrée entre des collines : intermissam collibus tria milia passuum in longitudinem (VII, 70,7)[13] "s'étendait entre les collines sur une longueur de trois mille pas." traduction L.A. Constans[14], "s'enclavait entre les collines sur une longueur de trois mille pas" traduction E. De Saint-Denis[15], "dans l'intervalle laissé libre entre les collines" traduction Félix Gaffiot[16].
10 - La plaine a des parties basses permettant des mises en eau : campestribus ac demissis locis (VII, 72,3)[17] "Dans les parties qui étaient en plaine et basses, d'eau qu'il dériva de la rivière" traduction L.A. Constans [18], "Celui qui était intérieur, creusé dans les parties basses de la plaine, fut rempli d'eau dérivée de la rivière" traduction M. Rat[19].
Deux rivières
11 - Deux rivières : duo...flumina (VII, 69,2)[20]
12 - Importance de l'emploi de flumen (rivière obstacle) et non de rivus (rivière ruisseau)(VII, 69,2)[21].
- Dans le langage militaire de César, "flumen" est un cours d'eau capable de s'opposer à un franchissement facile par une armée[réf. souhaitée] sans dispositif spécial comme un gué, un pont, des bateaux accolés l'un à l'autre. Tous les exemples issus du B.G. le montrent. Par contre, "rivus" est un ruisseau, comme le sont l'Oze et l'Ozerain qui serpentent, peu profonds, au large du Mont Auxois. César ne parlera que très rarement de "rivus" dans son B.G. du fait qu[réf. souhaitée]'un ruisseau n'est en aucun cas un obstacle militaire et ne mérite pas d'être signalé.
13 - Léchant (ou lavant) les pieds (ou les racines) de l'oppidum : radices....subluebant (VII, 69,2)[22]
La montagne Nord
14 - Une montagne située exactement au Nord : Erat a septentrionibus collis (VII, 83,2)[23], "Il y avait au nord une montagne" Traduction L.A. Constans[24]
15 - Une montagne au Nord ayant un grand périmètre : quem propter magnitudinem circuitus opere circumplecti non potuerant nostri (VII, 83,2)[25], "qu'en raison de sa vaste superficie, nous n'avions pu comprendre dans nos lignes" Traduction L.A. Constans[26].
Un camp Nord en position défavorable
16 - La montagne Nord domine un terrain en hauteur et en légère pente : necessario paene iniquo loco et leniter declivi castra fecerant (VII, 83,2)[27], "et on avait été forcé de construire le camp sur un terrain peu favorable et en légère pente" traduction L.A.Constans[28]. "ce qui les avait obligés d'établir un camp sur un terrain presque défavorable et en légère pente" traduction M.Rat.
Un flanc de colline orienté à l'est
17 - Sous le mur, donc en dehors de l'oppidum : sub muro (VII, 69,5) [29].
- Chez César, "murus" désigne le "Murus gallicus"[réf. souhaitée] le mur d'enceinte ou rempart des cités fortifiées ou oppidum. Fait d'une architecture de pierres et de poutres alignées, le murus était invulnérable au feu et aux coups de bélier. Dans le B.G. nous relevons murus:
- au livre I, 38: pour le mur de la citadelle de Vesontio(Besançon);
- au livre II, 6: pour le mur de Bibrax(Bibracte);
- au livre VII, 12: pour le mur de Noviodunum(Nevers);
- au livre VII, 18 à 28: pour le mur d'Avaricum(Bourges);
- au livre VII, 46 à 52; pour le mur de Gergovia(Gergovie).
18 - Une partie de l'oppidum orientée vers l'Est : Sub muro, quae pars collis ad orientem solem spectabat, hunc omnem locum copiae Gallorum complaverant (VII, 69,5)[30]."Au pied du rempart, tout le flanc oriental de la colline était occupé par les troupes gauloises" traduction L.A. Constans, "Au pied du mur, toute la partie de la colline qui regardait l'Orient était couverte de troupes gauloises" traduction M. Rat.
Les composantes tactiques (14)
Premier combat de cavalerie de l'armée de secours dans la plaine
19 - La plaine en avant de l'oppidum pouvait être attaquée par des cavaliers débouchant d'un camp aux accès étroits, voisin de l'oppidum et situé au niveau de la plaine : hostes in fugam conjecti se ipsi multitudine impediunt atque angustioribus partis relictis coartantur...nonnulli perterriti in oppidum irrumpunt Vercingétorix jubet portas claudi ne castra nudentur. (VII, 70,3,7)[31]
Second combat de cavalerie de l'armée de secours dans la plaine
20 - La plaine fut remplie et saturée de cavaliers : omnen eam planitiem...complent.(VII, 79,2)[32]
21 - Le combat de cavalerie dans la plaine pouvait être suivi des yeux par les guerriers occupant les camps installés de tous côtés sur les crêtes : erat ex omnibus castris, quae sumum unique jugum tenebant despectus (VII, 80,2)[33]
Mise en eau d'un fossé intérieur dans la plaine
22 - L'un des fossés creusés par César avait été creusé dans les parties basses et plates de la plaine : quarum (fossarum)interiorem campestribus ac demissis locis (VII, 72,3)[34]
23 - Le fossé ainsi tracé fut rempli d'eau dérivée d'une des rivières et d'une seule: aqua ex flumine derivata complevit (VII, 72,3)[35]
Concentration des troupes dans la partie de l'oppidum orientée à l'Est
24 - La partie de l'oppidum placée sous le mur fortifié de la ville, qui regardait le soleil levant, pouvait être saturée de troupes: hunc omnem locum copiae Gallorum compleverant (VII, 69,5)[36] César pouvait observer les contingents de l'armée gauloise remplir un large espace en forme d'amphithéâtre sur une croupe à l'Est de l'oppidum.
Campement de l'armée de secours
25 - Les troupes de l'armée de secours ont pu établir un camp qui n'était pas éloigné des fortifications romaines de plus d'un mille: colle exteriore occupato non longius mille passibus ab nostris niunitionibus considunt (VII, 79,1)[37]
L'attaque des 60 000 meilleurs guerriers Gaulois sur le camp supérieur, dominé par la montagne Nord
26 - Un camp romain de deux légions, situé en hauteur, dénommé camp supérieur, était dominé par la montagne située au Nord et se trouvait en terrain défavorable : paene iniquo loco (VII, 83,2)[38], incliné, mais sur un plateau assez vaste pour abriter deux légions et disposant de sources d'eau.
27 - Ces deux légions ont pu être attaquées par surprise par 60 000 des meilleurs guerriers de l'armée de secours, commandés par Vercassivellaunos, qui, après s'être dissimulés derrière une ondulation de terrain : post montem se occultavit Vercassivellaunos (VII, 83,7)[39] ont profité de la déclivité du terrain pour se ruer sur les fortifications du camp : iniquum loci ad declivitatem fastigium magnum habet momentum (VII, 85,4)[40].
28 - Les Gaulois attaquant de cette position favorable pouvaient accabler de leurs traits les légionnaires : alii, testitudine facta, subeunt (VII, 85,5)[41] et submerger les défenses en jetant des masses de terre : agger ab universis in munitionem conjectus, et ascensum dat Gallis et ea quae in terra occultaverant Romani contegit (VII, 85,6) [42].
Une citadelle à Alésia
29 - La bataille qui fait rage autour des camps romains a pu être suivie par Vercingétorix du haut de la citadelle d'Alésia : Vercingétorix ex arce Alesiae suos conspicatus (VII, 84,1)[43]
L'armée assiégée de Vercingétorix passe à l'attaque
30 - Les troupes assiégées de Vercingétorix, repoussées lorsqu'elles attaquent les fortifications romaines de la plaine, réussissent une percée à travers l'encerclement en franchissant des abrupts :interiores desperatis campestribus locis propter magnitudinem munitionum loca praerupta ex ascensu temptant (VII, 86,4)[44]
31 - Au moment où l'attaque des troupes de Vercingétorix sur les abrupts va leur permettre de faire la jonction avec l'attaque des 60 000 guerriers de Vercassivellaunos sur le camp Nord, César réunit ses dernières cohortes et intervient en descendant une pente de façon à être vu par tous, revêtu du manteau rouge de l'impérium : ut de locis superioribus haec declivia et devexa cernebantur (VII, 88,7) [45]
La cavalerie des Germains prend l'armée des 60 000 guerriers à revers
32 - Dans le dégagement du camp supérieur, la cavalerie germaine intervient sur l'arrière des 60 000 Gaulois pour les prendre à revers, les met en fuite et les massacre tous : repente post tergum equitatus cernitur (VII, 88,3) [46].
Les composantes stratégiques (8)
Retraite de César et de l'armée romaine
33 - Le seul membre de phrase: cum Caesar in Sequanos per extremos Lingonum fines iter faceret, définit une marche de l'armée de César sur un itinéraire Nord-Sud de Lingonie en Séquanie, de Langres vers Genève. L'ordre de marche est celui d'une retraite de l'armée entière et non d'une formation offensive: c'est l'agmen avec tous les bagages sur des chariots entre les légions: agmine impeditos (VII, 66,2,4)[47]
34 - César fait dire à Vercingétorix : fugere in Provinciam Romanos Galliaque excedere (VII, 66,3)[48] "les Romains sont en fuite vers la Province, ils quittent la Gaule" traduction L.A. Constans[49] , "les Romains, leur dit-il, s'enfuient dans leur Province et abandonnent la Gaule" traduction M. Rat. Cette phrase prêtée au chef Gaulois n'est pas démentie par César, car il la retranscrit, mais elle explicite le but du mouvement de l'armée romaine : quo facilius subsidium Provinciae ferri posset (VII, 66,2) [50], "afin de pouvoir plus aisément secourir la Province"[51]. La "Province", actuellement la Savoie, était sous le coup d'attaques de la part des Héduens et menacée d'une défection possible de sa population gauloise, les Allobroges.
Alésia barre la route de César non loin de la Province
35 - Alésia barre la route de César non loin de la Province romaine. Lorsque Critagnatos donne son avis au moment où les défenseurs d'Alésia sont accablés par l'encerclement, il invite les chefs gaulois à considérer le sort de la Province qui est "tout près d'eux" : respicite finitimam Galliam, quae in provinciam redacta (VII, 77,16)[52]. Cette phrase exprime un voisinage avec la Province, et doit être rapprochée du texte où il est dit qu'on ne savait pas ce qui se passait chez les Eduens, notation décisive: inscii quid in Hoeduis generetur (VII, 77,1)[53]. Alésia, proche de la Province, est éloignée des Eduens.
36 - L'oppidum d'Alésia doit être situé à une demi-étape (15 km) d'une plaine où eut lieu la bataille préliminaire de cavalerie où fut engagée les 15 000 cavaliers de la cavalerie gauloise contre l'armée romaine en déplacement entre deux campements et qui se termina par une défaite de l'attaque et le repli de l'armée gauloise vers Alésia : Caesar...altero die ad Alesiam castra fecit (VII, 68,2)[54].
37 - Non seulement César indique le chiffre de l'armée gauloise concentrée dans l'oppidum (80 000 hommes: milia hominum delecta (VII, 71,3) [55] : Ce chiffre est répété par César en 77,8. De même, il précise le périmètre de l'oppidum d'Alésia qui est de onze milles (environ 16500 m): circuitus XI milia passuum tenebat (VII, 69,6) d'où l'on peut déduire la surface de l'oppidum encerclé.
38 - Outre l'armée réunie de Vercingétorix de 80 000 hommes, la cavalerie survivante de l'attaque préliminaire, d'environ 10 000 cavaliers, l'oppidum abrite la population civile des Mandubiens et de nombreux troupeaux : pecusmagna erat copia a Mandubiis compula (VII, 71,7)[56].
39 - L'oppidum doit défier toute attaque et n'être vulnérable en aucun point : ut nisi absidione expugnari non posse videretur (VII, 69,1) [57].
40 - L'oppidum doit réellement empêcher César de passer et le forcer à ordonner l'investissement: adhortatus ad laborem milites circumvammare instituit (VII, 68,3) [58].
Identification avec le site de Chaux-des-Crotenay
En s'appuyant sur son portrait-robot, André Berthier schématise le site d'Alésia[59] comme un plateau en forme de triangle équilatéral d'environ 5 km de côté, dont le sommet nord est légèrement tourné vers l'Ouest et donne sur une plaine de 4,5 km. Une colline de même altitude est situé plein nors. Les côtés est et ouest du triangle sont occupées par deux rivières coulant vers le nord et se rejoignant dans la plaine.
Après une recherche sur les cartes topographiques d'une grande partie de l'est de la France, il localise Alésia à Chaux-des-Crotenay.
Puis, ayant trouvé le lieu à partir des composantes, il exposa sa théorie, ses recherches et ses trouvailles dans son livre "Alésia"[60]. Ce livre donna lieu à des commentaires dans des journaux locaux et nationaux. André Berthier exposa sa découverte lors du 104e Congrès des Sociétés Savantes, tenu à Dijon du 2 au 6 avril 1984, puis développa à plusieurs reprises et dans des conférences ce qu'il appelait "La méthode du portrait robot", mais sans énumérer un nombre fixe de composantes.
Ces composantes furent reprises et énumérées par l'écrivain André Wartelle dans les "Dossiers de l'Histoire", en 1982, sous le titre "Les composantes du portrait robot"[61] au nombre de 40.
Critiques
Sans rejeter le principe d'un portrait-robot comme une « idée absurde »[62], Michel Reddé estime que certaines des composantes de Berthier « forcent le sens du texte césarien et préjugent d'une identification préétablie avec le site qu'on veut promouvoir »[62]. Le texte de César ne donne ni la forme de l'oppidum (triangulaire pour Berthier), ni dans quelle direction est la plaine par rapport à l'oppidum (au nord-nord-ouest pour Berthier).
Le site de Chaux-des-Crotenay correspond très mal à la description de César. L'oppidum ferait plus de 15 kilomètres de périphérie, soit beaucoup plus qu'aucun oppidum celte connu ; il est impossible de l'entourer d'une contrevallation de 16,3 kilomètres. La plaine, même en la prolongeant au delà du coude de l'Ain pour lui faire atteindre 4,5 km, est trop étroite et bosselée pour les mouvements militaires décrits par César.
Notes et références
- ↑ César, p. VII,69,1
- ↑ César, p. VII,69,1(traduction de L.A. Constans) Folio classique,janvier 2012, p. 306
- ↑ "La guerre des Gaules" M. Rat, GF Flammarion, 1964, Sté des Sciences de Semur
- ↑ César, p. VII,69,1
- ↑ César, p. VII,69,4
- ↑ César, p. VII,69,4
- ↑ César, p. VII,69,4
- ↑ César, p. VII,86,4
- ↑ César, p. VII,69,3
- ↑ "Jules César Guerre des Gaules" traduction de L.A. Constans, Folio classique, janvier 2012, page 306
- ↑ César, p. VII,69,3; 70,1; 79,2
- ↑ "Jules César Guerre des Gaules" traduction de L.A. Constans, Folio classique, janvier 2012, page 306
- ↑ César, p. VII,70,7
- ↑ "Jules César Guerre des Gaules" traduction de L.A. Constans, Folio classique, janvier 2012, page 306
- ↑ "Alésia Textes littéraires antiques" par J. Le Gall, E De Saint-Denis et R. Weil, Société Les belles lettres, 95 Bld Raspail, Paris 1973, p. 24
- ↑ "Dictionnaire latin-français", Félix Gaffiot, Hachette, Ed. 1934
- ↑ César, p. VII,72,3
- ↑ "Jules César Guerre des Gaules" traduction de L.A. Constans, Folio classique, janvier 2012, page 309
- ↑ "La guerre des gaules" M. Rat, GF Flammarion 1964, Sté des Sciences de Semur
- ↑ César, p. VII,69,2
- ↑ César, p. VII,69,2
- ↑ César, p. VII,69,2
- ↑ César, p. VII,83,2
- ↑ "Jules César Guerre des Gaules" Traduction de L.A. Constans, Folio classique, janvier 2012, page 319
- ↑ César, p. VII,83,2
- ↑ "Jules César Guerre des Gaules" Traduction de L.A. Constans, Folio classique, janvier 2012, page 319
- ↑ César, p. VII,83,2
- ↑ "Jules César Guerre des Gaules" Traduction de L.A. Constans, Folio classique, janvier 2012, page 319
- ↑ César, p. VII,69,5
- ↑ César, p. VII,69,5
- ↑ César, p. VII,70,3,7
- ↑ César, p. VII,79,2
- ↑ César, p. VII,80,2
- ↑ César, p. VII,72,3
- ↑ César, p. VII,72,3
- ↑ César, p. VII,69,5
- ↑ César, p. VII,79,1
- ↑ César, p. VII,83,2
- ↑ César, p. VII,83,7
- ↑ César, p. VII,85,4
- ↑ César, p. VII,85,5
- ↑ César, p. VII,85,6
- ↑ César, p. VII,84,1
- ↑ César, p. VII,86,4
- ↑ César, p. VII,88,7
- ↑ César, p. VII,88,3
- ↑ César, p. VII,66,2,4
- ↑ César, p. VII,66,3
- ↑ César traduction Constans, p. VII,66,3
- ↑ César, p. VII,66,2
- ↑ César, p. VII,66,3
- ↑ César, p. VII,77,16
- ↑ César, p. VII,77,1
- ↑ César, p. VII,68,2
- ↑ César, p. VII,71,3
- ↑ César, p. VII,71,7
- ↑ César, p. VII,69,1
- ↑ César, p. VII,68,3
- ↑ http://berthier.archeojurasites.org/sites/default/files/ajs_1992_alesia_ficherecap.pdf
- ↑ Alésia, par André Berthier et André Wartelle, professeur de l'institut catholique de Paris. Préface de J.-M. Croisille (Université B. Pascal - Clermont II), postface d'Yves Fiorenne (écrivain, critique littéraire au journal Le Monde). 1990, Nouvelles Éditions Latines, Paris
- ↑ Wartelle A. "Les composantes du portrait robot" Dossiers de l'Histoire, n° 40, novembre décembre 1982, p. 42-49
- ↑ Revenir plus haut en : 62,0 et 62,1 M.Reddé "L'Archéologie face à l'imaginaire" Errance, mai 2013, p.116
Voir aussi
Bibliographie
- Jules César, Guerre des Gaules, Les Belles Lettres, Collection des universités de France,
- Jules César, Guerre des Gaules (trad., intr. et notes Léopold-Albert Constans),éditeur= Les Belles Lettres, « Collection des universités de France », .
- Jules César "De Bello Gallico"
- (la) Commentarii de bello Gallico
- "La guerre des Gaules" M.RAT, GF Flammarion, 1964. Sté des Sciences de Semur: Revue mensuelle "Pro-ALESIA" 1906 à 1908, Amand Colin, Paris.
- "ALESIA Textes littéraires antiques" par J. LE GALL, E. DE SAINT-DENIS et R. WEIL. Société des Belles Lettres, 95 Bld Raspail, PARIS, 1973.
- "Dictionnaire latin-français", Félix GAFFIOT, Hachette, Ed 1934, réédition 1954.
- André Berthier et André Wartelle, Alésia, Paris, Nouvelles Éditions latines, , 333 p. (ISBN 2-7233-0413-2)
- Pierre Aymard "Alesia...La vérité cachée dans les textes", Éditions Dicolor Groupe, Ahuy(21-France) septembre 2010, (ISBN 978-2-9514016-1-7) (BNF 42060388).
- Pierre Aymard "Vercingétorix et le cycliste", Éditions Dicolor Groupe, Ahuy(21-France) décembre 2015, (ISBN 978-2-9514016-3-1)
Articles connexes
Lien externe
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