Français (groupe ethnique)

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Français

Populations importantes par région
Drapeau de la France France 45,787,000 [1]
Monde 70,000,000-80,000,000 (estimation)
Autres
Régions d’origine Europe (peut être Pannonie)
Langues Langue d'oïl
Religions Catholicisme, Athéisme
Ethnies liées Canadiens français, Franco-Américains, Wallons

Les Français sont un groupe ethnique natif de la France[2],[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9] qui parle la langue d'oïl[10],[11], [12]. La plus ancienne mention des Français remonte à l'Antiquité quand ils étaient connus en latin sous le nom de Franci[13](latin : Francs, Français), leur ethnonyme est dérivé des Francs, un peuple de Pannonie[14] peut- être apparenté aux Breuces[15], ayant migré en Gaule au IVe siècle de l'ère chrétienne. .

Ethnonymie

Du latin médieval francencis qui est composé du gentilé francus (latin : un Franc, un Français) et du suffixe de nationalité ensis (latin : étant originaire de) qui signifie appartenant à la race franque/française. [16],[17] L'origine du mot franc est inconnu, bien que traditionnellement, le mot franc aurait pour origine ferocies (latin : féroce), toutefois, divers philologues théorisent que franc serait originaire de *frankô(proto-germanique : javelot)[18],[19],[20].

Physionomie

Article détaillé : Loi salique

La loi salique décrit les Français, comme-ceci :

« Les Francs, peuples fameux, réunis en corps de nation par la main de Dieu, puissants dans les combats, sages dans les conseils, fidèles observateurs de la foi des traités, distingués par la noblesse de la stature, la blancheur du teint et l'élégance des formes, de même que par leur courage, et par l'audace et la rapidité de leurs entreprises guerrières, ces peuples, dis-je, récemment convertis à la foi catholique, dont jusqu'ici aucune hérésie n'a troublé la pureté, étaient encore plongés dans les ténèbres de l'idolâtrie, lorsque, par une secrète inspiration de Dieu, ils sentirent le besoin de sortir de l'ignorance où ils avaient retenus jusqu'alors et de pratiquer la justice et les autres devoirs sociaux. Ils firent, en conséquence, rédiger la loi Salique par les plus anciens de la nation, qui tenaient alors les rênes du gouvernement. Ils choisirent quatre d'entre eux, nommés Wisogast, Bodogast, Salogast et Widogast, habitant les pays de Salehaim, Bodohaim, Widohaim, qui se réunirent pendant la durée de trois assises, discutèrent, avec le plus grand soin, les sources de toutes les difficultés qui pouvaient s'élever ; et, traitant de chacune en particulier, rédigèrent la loi, telle que nous la possédons maintenant. »

Eginhard (vers 701 - 840), Français lui-même, qui décrit ses compatriotes comme différents des Vikings « Il est dit que des hommes du Nord d'une beauté et d'une taille jamais vues parmi le peuple Franc ont été tués dans cette bataille. »[21],[22], ce qui est confirmé par les enluminures carolingiennes qui dépeignent les Français comme ayant cheveux marrons et noirs, de même les squelettes des Francs mesurent en moyenne 1.66 m comparés aux squelettes Vikings qui mesurent en moyenne 1.70 m[23].

Durant les Croisades, les Grecs ayant été en contact avec les Français ont décris ces derniers comme ayant le corps robuste, le teint hâlé, un esprit féroce et sanguin[24]

Histoire

Antiquité

Article détaillé : Antiquité, Avars, Breuces, Francs Saliens, Francs Ripuaires, Pannonie.

Les historiens de l'antiquité mentionnent les Francs pour la première fois à l'occasion d'une victoire qu'Aurélien, alors tribun d'une légion, et depuis empereur, remporta sur eux, près de Mayence, en 242 de notre ère. Les diverses tribus dont se composa la confédération des Francs. se partageaient en deux grandes divisions, les Francs saliens et les Francs ripuaires. Selon Grégoire de Tours, les Francs seraient un peuple de Pannonie ayant remonté le Danube puis se serait installé sur les bords du Rhin, pour ensuite envahir la Gaule sous la de conduite de Marcomir et Sunnon[25]. Cette tradition semble être confirmée par le fait que la plus ancienne inscription mentionnant les Francs se trouvent en Pannonie[26], et le fait que les tombes mérovingiennes de Borgharen, aux Pays-Bas, contiennent des équipements similaires à ceux des Avars de Pannonie[27]

Les Francs Saliens, occupèrent l'île des Bataves et le pays jusqu'à l'Escaut, lorsque Carausius, qui devait défendre contre eux le territoire romain, alla se faire reconnaître empereur en Bretagne, en 237. Constance et Constantin les repoussèrent, mais Julien les retrouva établis dans ces mêmes contrées, et les y laissa, après les avoir battus, pour se servir d'eux comme auxiliaires. Au début du Ve siècle, ils redevinrent hostiles aux Romains, et poussèrent leurs conquêtes sous leur chef Clodion au-delà de Cambrai, jusque sur la Somme, et plus loin encore vers l'Ouest sous Childéric, fils de Mérovée et père de Clovis

Les Francs ripuaires, habitaient le Mein et la Lippe, ils étaient ainsi appelés parce qu'ils s'étaient établis ensuite sur la rive gauche du Rhin, dans la contrée appelée Ripa, entre ce fleuve et la Meuse, d'où les victoires de Constantin et de Julien ne les repoussèrent que passagèrement, et dont Aétius, qui les combattit sous Valentinien en 430, les laissa en possession. Ils étendirent leur territoire, sur la rive gauche du Rhin, jusqu'à la Meuse à l'Ouest, et jusqu'aux Ardennes au Sud, et sur la rive droite jusqu'à la Werra, à l'Est. 

Haut Moyen Âge

Article détaillé : Haut Moyen Âge ,domaine gallo-romain, Gaule romaine, Gaule mérovingienne, Mérovingiens.

Avant l'arrivée des Francs, la Gaule était dévastée, les villes s'étaient dépeuplées au moment des invasions, les unes avaient disparu, les autres n'étaient plus que de misérables bourgades. Paris, qui, à l'époque romaine, avait débordé hors de l'île de la Cité et s'était étendu sur la rive gauche jusqu'à l'emplacement du Panthéon, n'occupait plus au VIe siècle qu'une petite partie de l'île de la Cité et cette île était bien moins grande qu'aujourd'hui. Les édifices avaient été détruits, les amphithéâtres de Nîmes, d'Arles transformés en citadelles[28].

La Gaule était peuplée au sud de la Loire, par les Wisigoths; dans les bassins du Rhône et de la Saône, les Burgondes ; au centre, par les Romains, avec pour siège Soissons ; et dans le nord et dans l'est, sur la rive gauche du Rhin, par les Francs. Les Francs occupaient alors le pays se situant entre le Rhin et la Somme; les Francs saliens, avec Tournai comme centre, étaient établis entre la Meuse et la Somme; les Francs ripuaires, dont Cologne était la capitale, étaient établis entre la Meuse et le Rhin ainsi qu'aux alentours du Main, et de la Moselle. Sous la conduite de Clovis, les Francs saliens conquirent la Gaule et colonisèrent le territoire se trouvant entre la Loire et la forêt Charbonnière, de là, les Francs se répandirent dans tous les territoires qui formeront le Pays d'Oïl[29], au contact des populations romaines les Francs saliens adoptèrent la langue latine ainsi que la religion catholique, bien qu'ils ne leur étaient pas inconnus, donnant naissance aux Français proprement dit.

Invasion normande

Article détaillé : Normands, Normandie, Vikings.

Au VIIIe siècle, des bandes de pirates originaires de Scandinavie, les Northmans(norrois : Hommes du Nord), d'où vient le nom Normand, infestèrent les côtes de la France, et s'établirent dans quelques localités. Vers le IXe siècle, les invasions des Vikings devinrent fréquentes, le cours de la Seine fut infesté, et la province servit aux Vikings de passage pour pénétrer dans l'intérieur de la France. La dynastie carolingienne, qui était en déclin, fut trop faible pour les arrêter, et obligée de leur céder par une convention passée à Saint-Clair-sur-Epte entre le chef viking Rollon et le roi Charles le Simple, le comté de Rouen, qui dès lors prit le nom de Normandie; cette dénomination s'étendit sur les districts que les Normands réunirent à leur conquête. 

À partir de l'an 912, la Normandie eut donc des ducs vikings, ils adoptèrent assez rapidement les coutumes locales et se mêlèrent avec les Français donnant naissance aux Normands ainsi qu'à la langue normande, ils rebâtirent dans la province où ils s'étaient établis les églises et les couvents que païens ils avaient dévastés. Ils s'étaient partagé les terres qui étaient à leur convenance, et les chefs étaient devenus des seigneurs de district, de ville et de village. De 931 à 996, le nouveau duché s'étendit de la Bresle au Couesnon, de l'Epte, de l'Eure et de la Sarthe à l'Océan Atlantique.

Nouveau monde

Époque moderne

Langue d'oïl

Article détaillé : langue d'oil, ancien français, français, francique.

Langue d'oïl

La langue d'oïl est la langue qui s'est formée au Moyen Âge dans le nord de la France à partir du latin mis au contact du francique. Cette langue a évolué pour former plusieurs dialectes, qui à l'époque de Charlemagne ont servi de base à la constitution d'une langue commune, l'ancien français, dont dérive le français

Bien que séparé en plusieurs dialectes le fond de la langue d'oïl reste le même, c'est-à-dire, une langue gallo-romane, combiné avec la langue germanique que parlaient les Francs. L'influence germanique a été plus grande sur langue d'oïl que sur l'occitan, sans l'être beaucoup encore, sur les formes grammaticales mais l'influence du francique a été considérable sur la prononciation et sur les formes que celle-ci imprime aux mots; c'est elle qui a dénaturé le latin.

Les différences dialectales qui composent la langue d'oïl existent principalement dans la prononciation et dans les formes des mots, car les règles grammaticales sont les mêmes pour tous. On considère les dialectes suivants comme faisant partie de la langue d'oïl : acadien, angevin, berrichon, bourbonnais, bourguignon-morvandiau, cadien, champenois, français, franc-comtoisgallo, lorrain, manceau, mayennais, normandpicard, poitevin, québécois, saintongeais, wallon.

Articles connexes

Sources

Bibliographie

  • L'ethnie française d'Europe, Charles Becquet, Nouvelles Editions Latines, 1963
  • L'ethnie française, George Montandon, Payot, 1935
  • L'ethnie française, la Suisse et l'Europe, Eric Berthoud, Imprimerie centrale, 1963
  • Qui a peur du baptême de Clovis ?: actes de la Ve Université d'été de Renaissance catholique, Avenay-Val-d'Or, août 1996, Renaissance catholique, 1997
  • La France, doit-elle disparaître: actes de la XVe Université d'été de Renaissance catholique, Villepreux, juillet 2006, Renaissance Catholique, 2007

Références

  1. [1] Joshua Project
  2. (en) Verena Berger et Miya Komori, Polyglot Cinema: Migration and Transcultural Narration in France, Italy, Portugal and Spain, LIT Verlag Münster, (ISBN 9783643502261) [lire en ligne (page consultée le 2017-05-27)] :

    « "They were initially seen relatively little on cinema screens, except in low budget productions by majority ethnic French" Page 75 »

     
  3. (en) Alec G. Hargreaves, Multi-Ethnic France: Immigration, Politics, Culture and Society, Routledge, (ISBN 9781134152018) [lire en ligne (page consultée le 2017-05-27)] :

    « "concentrations of visible minorities, many different ethnic groups are present, including Maghrebis, Africans from south of the Sahara and DOM-TOMiens (mainly of Caribbean origin) as well as majority ethnic French." Page 68 »

     
  4. Jean-François Muracciole, Les français libres, l'autre résistance, Tallandier, (ISBN 978-2-84734-596-4) [lire en ligne (page consultée le 2017-05-27)] :

    « "malgré une inévitable marge d'incertitudeo, offre un visage totalement nouveau des Français libres : 38 300 Français de souche, dont 5 800 dans les réseaux en France du BCRA* (73,3 % du total) ; 9 100 soldats coloniaux (17,5 %) ;" »

     
  5. (en) Carl J. Ekberg, French Roots in the Illinois Country: The Mississippi Frontier in Colonial Times, University of Illinois Press, (ISBN 9780252069246) [lire en ligne (page consultée le 2017-05-27)] :

    « "and thereby the Frenchman destroyed his chance to see the most densely populated ethnic French region in the American Midwest" Page 31 »

     
  6. Henri Léridon et Institut national d'études démographiques (France), Populations: l'état des connaissances : la France, l'Europe, le monde, INED, (ISBN 9782707125590) [lire en ligne (page consultée le 2017-06-12)] :

    « "Ce processus peut être plus rapide et s'effectuer dés la première génération : c'est le cas des enfants nés en France de parents tous deux immigrés dont l'un a acquis la nationalité française. Ou encore de deux dont un des parents est immigré et l'autre français de souche(couples mixtes)" Page 63 »

     
  7. (en) Mary Fong et Rueyling Chuang, Communicating Ethnic and Cultural Identity, Rowman & Littlefield, (ISBN 9780742517394) [lire en ligne (page consultée le 2017-06-13)] :

    « "On both sides of the U.S. -Canadian border established in 1875, French ethnic culture was promoted as la survivance" Page 301 »

     
  8. (en) Kazimierz J. Zaniewski et Carol J. Rosen, The Atlas of Ethnic Diversity in Wisconsin, Univ of Wisconsin Press, (ISBN 9780299160708) [lire en ligne (page consultée le 2017-06-13)] :

    « "The 145,032 people who claim French ancestry comprise just 2.96 percent of the state's total population. The U.S. Census separates people of French ancestry into three groups: French, 111,083 people; French Canadian, 33,520 people; and Acadian/Cajun, 429 people " Page 152 »

     
  9. (en) Steven Danver, Native Peoples of the World: An Encyclopedia of Groups, Cultures, and Contemporary Issues, M.E. Sharpe, Incorporated, (ISBN 9780765682222) [lire en ligne (page consultée le 2017-06-13)] :

    « "The French are a people that share a common French culture and speak the French language. Ethnically, the term French refers to those who are descended from the Gauls, a Celtic people of Western Europe. Since" Page 303 »

     
  10. L'ethnie française d'Europe, , 238 p. (ISBN 9782723398510) [lire en ligne] :

    « "En Italie, en France, en Lorraine ou dans les Flandres, les langues vulgaires cristallisent, dès leur envol, un sentiment ethnique. On peut donc prétendre que, du Xe au XIIIe siècle, le sentiment populaire d'une ethnie romane — les Welches — ou, à tout le moins, d'un groupe ethnique d'oïl et d'un groupe ethnique d'oc, exista avant que le sentiment d'une patrie politique ne vînt souder les deux groupes" Page 52 »

     
  11. Renaissance catholique (Movement : France) Université d'été et Jean de Viguerie, La France, doit-elle disparaître: actes de la XVe Université d'été de Renaissance catholique, Villepreux, juillet 2006, Renaissance Catholique, (ISBN 9782916951041) [lire en ligne (page consultée le 2017-06-13)] :

    « "Pour la France il s'agit, à l'origine, des Français de langue d'oil, qui ont tendance à assimiler les ethnies minoritaires mais qui n'ont pas eu besoin de les avoir assimilées totalement pour être la base Une de la nation." »

     
  12. Joan-Pere Pujol, Théorie de l'aliénation et émancipation ethnique Suivi de Pour en finir avec le Mammouth, Lulu.com (ISBN 9781470961688) [lire en ligne (page consultée le 2017-06-13)] :

    « "À propos de l'ethnie occitane, Lafont rappelle la forte empreinte latine dans ce pays qui a donné naissance à une langue, la langue romane ou d'oc, la conservation du droit écrit romain et la persistance d'une civilisation citadine à l'antique, autant de traits culturels qui différencieront l'Occitanie de la « Francie." Page 37 »

     
  13. « Francus — Wiktionnaire », sur fr.wiktionary.org (consulté le )
  14. « Grégoire de Tour : Histoire des Francs : livre II) », sur remacle.org (consulté le ) : « Ce sont là les renseignements que les historiens dont nous avons parlé nous ont laissés sur les Francs, sans nous dire le nom de leurs rois. Un grand nombre racontent que ces mêmes Francs, abandonnant la Pannonie[xxxix], s'établirent sur les bords du Mein : qu'ensuite, traversant ce fleuve, ils passèrent dans le pays de Tongres, et que là, dans leurs bourgs et dans leurs villes, ils créèrent, pour les commander, les rois chevelus[xl] pris dans la première et, pour ainsi dire, la plus noble de leurs familles. Comment les victoires de Clovis assurèrent ensuite ce titre à sa famille, c'est ce que nous montrerons plus tard. »
  15. Les francs leur origine, leur histoire dans la Pannonie, la Mésie, la Thrace, la Germanie et la Gaule, depuis les temps les plus reculés jusqu'à la fin du règne de Clotaire, dernier fils de Clovis, fondateur de l'Empire français, A. Franck, [lire en ligne (page consultée le 2017-05-30)] 
  16. (en) « Online Etymology Dictionary », sur www.etymonline.com (consulté le )
  17. Louis Pierre Anquetil et Paul Delaure Lacroix, Histoire de France depuis le temps les plus régulés jusqu'a la Revolution en 1789..., Dufour et Mulat, [lire en ligne (page consultée le 2017-05-27)] 
  18. (en) Gudmund Schutte, Our Forefathers, Cambridge University Press, (ISBN 9781107677234) [lire en ligne (page consultée le 2017-05-30)] 
  19. (en) « Frank - Wiktionary », sur en.wiktionary.org (consulté le )
  20. (en) « Online Etymology Dictionary », sur www.etymonline.com (consulté le )
  21. (la) Annales Fuldenses: Sive, Annales Regni Francorum Orientalis, 180 p. (ISBN 978-1293767405) [lire en ligne], p. "in quo certamine tales viri de Nordmannis cecidisse referuntur, quales numquam antea in gente Francorum visi fuissent, in pulchritudine videlicet ac proceritate corporum" , Page 101 
  22. Reuter, Timothy., The Annals of Fulda, Manchester University Press, (ISBN 9780719034589) (OCLC 439356141) [lire en ligne], p. "But in the end with God's help the Christians had the victory. It is said that Northmen of a beauty and size of body never before seen among the Frankish people were killed in this battle.", Page 95 
  23. « The Races Of Europe », sur archive.org (consulté le )
  24. (en) Peter Lock, The Franks in the Aegean, 1204-1500, Longman, (ISBN 9780582051409) [lire en ligne (page consultée le 2017-06-07)] :

    « They were robust and swarthy, fierce and quick to anger. Page 275 »

     
  25. « Internet History Sourcebooks », sur sourcebooks.fordham.edu (consulté le ) : « This is the evidence that the historians who have been named have left us about the Franks, and they have not mentioned kings. Many relate that they came from Pannonia and all dwelt at first on the bank of the Rhine, and then crossing the Rhine they passed into Thuringia, and there among the villages and cities appointed longhaired kings over them from their first or, so to speak, noblest family. »
  26. (en) Kent J. Rigsby, « Two Danubian Epitaphs », Zeitschrift für Papyrologie und Epigraphik 126,‎ , p. 176 (lire en ligne) :

    « The date is vague, but this is certainly among our earliest evidence of Frank. »

  27. (en-US) J2 Research Team: Rottensteiner et al, « Three J2 found at Merovingian buriel site (Roman-Frankish transitional period) – J2-M172 », sur j2-m172.info (consulté le ) : « Robert: Jewish and/or Levantine connections are not mentioned in the dutch documents. Clues to their origins are the artifacts found in the graves: late Roman early Merovingian pottery, Venus Aphrodite hangers, Avar like horse equipment that seems to be found in Europe along the Danube and Rhine, a lot of weaponry, Roman/Byzantine glass beads comparable to modern day Turkish ones, seashells from the Mediterranean, Red Sea and Indian ocean used for Apotropaeon). »
  28. (en) Grinin Leonid et Korotayev Andrey, History & Mathematics: Trends and Cycles, ООО "Издательство "Учитель", (ISBN 9785705742233) [lire en ligne (page consultée le 2017-06-12)] :

    « "Settlement patterns suggest that the population stagnated, declined, and fell to levels that can only be described as catastrophic, particularly in Belgica and North Gaul." Page 168 »

     
  29. Maurille Antoine Moithey, Abrégé de l'histoire de France, depuis Clovis, jusques et y compris le regnè de Louis XVI; orné de cent quantre-vingt-six sujets historiques et portraits, gravés en taille-douce ..., De l'imprimerie de Crapelet, chez C.A. Renouard, chez Fantin, [lire en ligne (page consultée le 2017-06-12)] :

    « "Français établis entre la forêt charbonnière et la rivière de Loire" »

     

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