Hackerspace féministe

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Un hackerspace féministe est un hackerspace qui s'oppose à l'exclusion de genre qui pourrait exister en son sein.

Ce type de hackerspace favorise la créativité et la solidarité à travers la création d'une culture qui célèbre la perturbation des normes et donc empêche la réplication des formes d'oppression intersectionnelle. Il vise aussi à créer un lieu de confiance[1] pour des hackers faisant l'objet de violence, d'oppression et d'intimidation[2],[3].

Les hackerspaces féministes proposent ainsi des espaces et des pratiques de réappropriation des artefacts, des outils et du langage pour perturber les comportements et les modes d'oppression normatifs.

Liste de hackerspaces féministes

  • Seattle Attic (US)
  • Double Union (US)
  • Flux Lab Portland (US) (a fermé ses portes)
  • Hackermoms (US)
  • Techmums (R.-U.)
  • MzTek' (R.-U.)
  • Geekettes (international)
  • Rails Girls (international)
  • Girls Who Code (international)
  • Take Back the Tech (originally South Africa, now international)
  • Metalab (Vienne, Autriche)
  • Labitat (Denmark)
  • Miss Baltazar's Laboratory (Austria)
  • LifePatch (Indonesia)
  • HONF
  • Penchblenda (Spain)
  • Barefoot College (India)
  • Miss Desponia (Tasmania/Australia)
  • FemHack (Quebec/Canada)
  • Osilab (Lille, France, incendié en octobre 2012)

Notes et références

  1. Goldenberg Anne, « Hacking with care », dpi, no 27,‎ (lire en ligne)
  2. (en) « Madison Young, rape apologism, and HackerMoms », geekfeminism,‎ (lire en ligne)
  3. (en) Toupin Sophie, « Feminist Hackerspaces as Safer Spaces ? », DPI, no 27,‎ (lire en ligne)

Voir aussi

Bibliographie

Article publié sur Wikimonde Plus

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