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Kara est un projet mis au point par l'entreprise française Kawantech basé sur le fonctionnement des éclairages publics en ville. Son principe repose sur le fait de rendre intelligent les lampadaires afin qu'ils s'allument selon des intensités différentes pour subvenir aux besoins en luminosité de chaque type d'usager. Le 30 juin 2016 la société est récompensée et reçoit le prix de l'EDF Pulse 2016[1],[2]. La société souhaite limiter les dépenses énergétiques inutiles, “arrêtons d’éclairer la nuit quand il n’y a personne dans nos rues” s’exclame Kawantech[3].
Principe
Type de lampadaire sur lequel s'installe les boîtiers.
Le principe de ce boitier connecté repose sur la gestion de l'intensité du courant envoyé, il s'installe sur un lampadaire classique et grâce à un système de détection de forme détecte quel type d'usager se trouve dans la rue. Ainsi il est capable de distinguer un piéton d'un deux-roues ou d'une voiture avec une précision de 20 cm[3]. Connectés en réseaux les boîtiers peuvent communiquer entre eux, de plus il peut détecter une présence à 35 mètres[4] et ainsi identifier la trajectoire du véhicule ou du piéton pour éclairer à l'avance son parcours[5].
Mesures énergétiques
En 2016 l'éclairage public représente près de 5.6 TWh soit 6% de la production totale d'électricité (depuis 2007) pour un temps de fonctionnement de 3200 heures en moyenne pour une commune de métropole. Cette consommation due à l'éclairage entraîne également une production de 85000 tonnes de CO2[6]. “Après un an d’expérimentation dans trois rues toulousaines, nous avons passé une commande de 485 appareils […] Aux heures creuses, ces lampadaires éclairent seulement à 15 % de leur capacité et rehaussent leur puissance à 100 % lorsqu’un piéton ou un deux-roues se présente, grâce à la détection de forme. Ainsi, la consommation électrique est réduite de plus de 60 %” affirme Emilion Esnault le conseiller municipal de Toulouse chargé de l'éclairage public[3], c'est ce qu'affirme également la société Kawantech : 40% du budget des villes est réservés à l'éclairage public, ces appareils permettraient alors une baisse de 70% des frais de l'éclairage ainsi que 70% d'économies d'énergies[7].