Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe

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Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe
Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe (1769)
Naissance
Fouchécourt
Décès (à 80 ans)
Trieste
Nationalité Française
Activité principale
Diplomate
Ascendants

Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe (née le 23 mars 1719 à Fouchécourt, morte le 7 mars 1800 à Trieste) est l'une des toutes premières femmes françaises à avoir activement contribué à la politique étrangère de la France. Elle est la fille de Charles-Guérard de Boutechoux, écuyer, comte de Chavannes et de Villette, né en 1682, et de Magdeleine de Montrichard (union en 1712)[1] et la petite-fille de Marie-Louise-Charlotte de Pelard de Givry de Fontaines[2]. À ce titre, elle se trouve notamment apparentée à Jean Boutechoux, qui fut secrétaire de Charles Quint, au début du XVIe siècle[3].

Une origine modeste

Issue d'une famille d'aristocrates comtois désargentée, elle est placée en 1740 au service du vieux cardinal Melchior de Polignac qui meurt en 1741. Le peu de temps passé auprès du prince de l'Église lui permet toutefois de faire la rencontre du futur cardinal François-Joachim de Pierre de Bernis, qui prend là ses premières leçons de diplomatie. Cette rencontre avec Bernis s'avérera décisive puisqu'elle lui permettra ultérieurement d'intégrer les services diplomatiques français, notamment le Secret du Roi, lorsque Bernis sera nommé secrétaire d'État des Affaires étrangères en 1757[4]. D'abord liée à Bernis par une amitié construite autour du bel esprit et de la poésie - on l'a dite l'auteur de certains des poèmes de celui qui est alors abbé, notamment quelques-unes des Œuvres meslées en prose et en vers (1753) - elle révèle rapidement son talent de médiation mais aussi de renseignement. Soutenu par la marquise de Pompadour, Bernis connaît une rapide ascension que va suivre Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe, amie intime et toujours en retrait [5].

Une brève carrière littéraire

Intégrée au cercle de Sceaux autour de la duchesse du Maine, elle fait notamment, après celle du cardinal de Bernis, la connaissance de Marguerite de Staal-Delaunay, célèbre mémorialiste, qui dresse d'elle, d'ailleurs, un portrait piquant insistant sur les qualités humaines que sauront apprécier plus tard souverains et ambassadeurs. La participation active de Louise Charlotte de Boutechoux-Palamballe aux soirées de Sceaux est attestée et semble lui avoir permis de s'affirmer auprès de la haute aristocratie malgré son origine modeste et son jeune âge[6]. Les quelques textes rédigés par elle et parvenus jusqu'à nous présentent de curieuses formes de plagiat[7], en particulier d'œuvres de Jean-Léonor Le Gallois de Grimarest[8].

Première mission diplomatique

La première trace d'une contribution véritable à la diplomatie française a été relevée au cours de l'année 1753. Louise Charlotte de Boutechoux-Palamballe accompagnait alors Charles Hyacinthe de Galléan marquis des Issarts, jusqu'à Brunswick (Basse-Saxe) où la France tentait d'obtenir un renversement d'alliances, le duché de Brunswick étant alors l'allié inconditionnel de la Prusse. Le marquis des Issarts, ministre plénipotentiaire de la cour de France auprès du roi de Saxe, s'efforçait de convaincre le duc Charles Ier de Brunswick-Wolfenbüttel de l'intérêt d'une coalition avec la France et l'Autriche contre la Prusse. Il devait revenir à Louise Charlotte de briller auprès de ce souverain intelligent, cultivé et très sensible aux qualités de l'esprit. En dépit de la séduction qu'elle a vraisemblablement exercée sur lui, Charles Ier ne céda pas aux instances françaises et fut, un peu plus tard, l'allié de la Prusse au cours de la Guerre de Sept Ans.

Période néerlandaise

A la suite de cette mission qui fut sa première rencontre avec l'Empire, elle se rendit à Anvers où elle demeura jusqu'en en 1756. Il apparaît qu'elle eut certaines aventures avec l'écrivain et philosophe néerlandais François Hemsterhuis (1721-1790), alors modeste commis auprès du Secrétaire du Conseil d'État des Provinces-Unies. Plus tard, vers 1775, Hemsterhuis fut introduit auprès du prince Dimitri Alexeïevitch Galitzine (1738-1803), diplomate et écrivain russe ami des Lumières. Le prince était lui-même coutumier des aventures, ainsi qu'en témoigne la trame de la comédie de Diderot intitulée Mystification, dans laquelle le prince, après son mariage, s'emploie à récupérer les portraits qu'il avait offerts à sa maîtresse. Faisant la rencontre de Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe en même temps que de Hemsterhuis, il vint à en faire sa maîtresse. C'est également à cette curieuse occasion que Hemsterhuis se lia d'amitié, quant à lui, avec l'épouse du prince, Adélaïde Amélie von Schmettau, qui quitta d'ailleurs ce dernier après seulement quelques années de mariage pour s'installer, avec ses deux enfants, dans une métairie sur la route de Scheveningue, près de La Haye. L'amitié passionnée entre le philosophe hollandais et la princesse Galitzine, que, nouveau Socrate, il nommait sa Diotima, donna lieu à une abondante correspondance qui se poursuivit jusqu'à la mort de son mentor. Quant à Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe, à qui sa vie durant le prince conserva son amitié, c'est notamment à l'occasion des voyages de ce dernier dans de nombreux pays après la guerre russo-turque de 1768-1774 et sa blessure lors de la prise de Varna, en Bulgarie, qu'elle se trouvera à même de mener à bien certaines de ses activités diplomatiques[9].

Retour en Europe occidentale

De nombreuses missions lui furent confiées, la plus spectaculaire restant une ambassade secrète en 1773 auprès de Qianlong, empereur de Chine. Quoique le motif n'en ait jamais été clairement établi, cette mission faisait vraisemblablement à la suite de la dissolution, la même année, de la Compagnie de Jésus par le Dominus ac Redemptor de Clément XIV, à la cessation consécutive de la mission jésuite en Chine et à la requête du prêtre jésuite Joseph-Marie Amiot auprès du roi de France pour obtenir aide et soutien[10]. À la suite de l'expédition chinoise et l'échec apparent de la médiation, Louis XVI, en supprimant le Secret du roi, met fin de facto à l'activité diplomatique de Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe. Louis XV, disparu le 10 mai 1774, ne connaîtra d'ailleurs pas la conclusion de la mission dont son ambassadrice ne reviendra qu'au premier trimestre de l'année 1775[11].

La fin de ses activités, desquelles se distingue difficilement la diplomatie de l'espionnage, place Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe dans une situation pécuniaire délicate. Ainsi qu'en témoigne une lettre adressée le 5 juin 1775 à son ami et protecteur, le prince Galitzine[12], elle décide de poursuivre sa carrière sous la bannière d'autres souverains. L'amertume est manifeste dans cet unique courrier manuscrit, qui soit parvenu jusqu'à notre époque, de cette période intermédiaire de la vie de Louise Charlotte. Il semble que le dépit de cette mise à l'écart royale ait été pour beaucoup dans ce qui a été qualifié par certain historien de "trahison"[13].

Durant l'affaire du collier de la reine

Malgré la disgrâce qui l'enveloppe à partir du début du règne de Louis XVI, Louise Charlotte, quittant Vienne où elle a, semble-t-il été secrètement accueillie en 1779 par l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche[14], regagne la France en 1784. Le moment de ce retour, certainement habilement calculé, coïncide avec les premières étapes du grand scandale que sera l'affaire du collier de la reine. Ayant pu établir une correspondance avec Jeanne de Valois-Saint-Rémy dite comtesse de la Motte, par le biais de Mercy-Argenteau, ambassadeur d'Autriche auprès de la cour de France, elle encourage la comtesse de la Motte à convaincre le cardinal Louis René Edouard de Rohan-Guéméné de la nécessité de l'achat du fameux collier, conçu par les joailliers Bassange et Boehmer. La manière dont Louise Charlotte a eu connaissance de ce l'existence de ce bijou et du refus de la reine Marie-Antoinette de l'acquérir, reste obscure. Il est probable qu'ayant obtenu des informations de Mercy-Argenteau, elle ait trouvé là moyen de provoquer une difficulté politique. La correspondance entretenue par Louise Charlotte, notamment avec le duc de Penthièvre entre 1784 et 1786, témoigne de ce qu'elle n'avait pas mesuré les conséquences de cette manipulation qui, au-delà de difficultés financières, causera un irréparable tort à l'image du souverain. Louise Charlotte écrivait ainsi le 2 septembre 1785 : "Nul n'eut pu prévoir que la manœuvre aille si avant dans l'esprit du public. La dame de La Motte a, à ce point perdu toute continence (sic), qu'elle n'a pas craint le scandale et a permis à son mari de fuir vers l'Angleterre avec les pierres, prenant sur elle toutes les suites fâcheuses où la justice la réduisit. Ce fut la cause que les échotiers s'emparèrent de l'histoire pour en traduire un roman sans plus de vraisemblance que les contes de nos grand mères. Ce drame est à présent connu de toute l'Europe"[15]. Si l'exploitation pécuniaire de cette duperie n'a pas été maîtrisée par Louise Charlotte, il n'en demeure pas moins que cette dernière continue d'agir de façon à mettre la reine en difficulté. En effet, par un intermédiaire qui est probablement Mercy-Argenteau, Louise Charlotte instille, auprès des joailliers, un doute quant à la solvabilité de la reine pour l'acquisition du collier. Ceux-ci viennent trouver la reine à plusieurs reprises pour solliciter le paiement, ce jusqu'au 15 août 1785, date à laquelle le scandale éclate finalement. Jamais mise en cause, Louise Charlotte de Boutechoux-Palamballe ne verra son nom apparaître qu'une fois au cours de la procédure judiciaire, lorsque, parmi d'autres, celui-ci sera évoqué sous la torture par Jeanne de Valois-Saint-Rémy[16].

La période révolutionnaire et le décès à Trieste

Installée à Paris à partir de 1787 en l'hôtel de Toulouse, Louise Charlotte semble vouloir se retirer de la vie publique. Les échanges épistolaires qu'elle poursuit encore avec ses plus proches amis, à commencer par le duc de Penthièvre ou le cardinal de Bernis, sont l'occasion pour elle d'insister sur sa volonté d'entrer en religion. C'est Armand de Béthune, duc de Chârost, qui, finalement, lui apportera le soutien moral qu'elle paraît alors rechercher et la dissuadera de prononcer ses vœux. Impécunieuse, Louise Charlotte se laisse convaincre par le margrave Charles-Alexandre de Bayreuth de mener une mission auprès du Saint-Siège pour l'installation d'un comptoir de la Hochfürstlich-Brandenburg-Anspach-Bayreuthische Hofbanco à Rome. Elle quitte Paris le 19 février 1788. Accueillie par Bernis qui y est ambassadeur, elle s'impliquera une nouvelle fois dans la politique étrangère française. Elle ne regagne la France que le 21 septembre suivant[17]. Ce même jour, le Parlement de Paris réclame la tenue d'états généraux à l'instar de ceux voulus en 1614 par Louis XIII.

La période courant de janvier à août 1789 n'est malheureusement pas précisément renseignée et le parcours de Louise Charlotte se perd dans les linéaments de la Révolution naissante. À partir de février 1790, on retrouve trace de son activité dans un billet adressé par le comte Axel de Fersen à Marie-Antoinette rendant compte, de façon élogieuse, de l'activité menée par Louise Charlotte contre l'abolition des vœux monastiques et la suppression des ordres et congrégations régulières autres que d'éducation publique et de charité. Louise Charlotte échouera cependant et l'Assemblée constituante décidera l'abolition le 19 février 1790.

Ayant été très impliquée à la politique extérieure de la monarchie, Louise Charlotte de Boutechoux-Palamballe est rapidement inquiétée par les nouvelles forces[18] et se voit contrainte à l'exil pour échapper à la prison. Elle rejoint Mesdames Victoire et Adelaïde dans leur périple italien, d'abord à Turin auprès de Clotilde de France, sœur de Louis XVI, ensuite à Rome où Louise Charlotte retrouva le cardinal de Bernis qui lui offrit l'hospitalité. Au décès de ce dernier en novembre 1794, Louise Charlotte de Boutechoux-Palamballe gagna Trieste. Elle y fut finalement rejointe par Mesdames Victoire et Adélaïde qui fuyaient, elles, l'avancée des troupes républicaines françaises en 1798.

Le décès de Louise Charlotte de Boutechoux-Palamballe le 7 mars 1800 est relaté par Claude Guérin abbé de Saint-Marc dans un opus intitulé Étrange décès d'une dame de l'ancienne Cour[19] ainsi que par l'auteur Vittorio Alfieri : soignant un troupeau d'orignaux dans le parc de sa villa, elle fut piétinée par celui-ci, pris de panique pour une raison demeurée inconnue. Il a par ailleurs été dit que Louise Charlotte était atteinte de syphilis et parvenue au stade d'une démence causée par la maladie qui expliquerait pourquoi elle se serait rendue imprudemment auprès de son troupeau d'orignaux[20].

De la vérité historique

Le sort de Madame de Boutechoux-Palamballe est, ainsi que cela a finalement été découvert le 26 mai 2016, une pure fiction. Né en 2012, conçu par deux bibliothécaires fantaisistes, ce récit tend à prouver que l'usage de la citation, y compris pléthorique, peut être aisément détourné sans que le contenu soit véritablement remis en cause. L'article renvoie sur nombre d'articles eux bien réels qui, pourtant, n'ont pas conduit à contester les éléments parfaitement imaginaires développés ci-dessus. Il aura fallu plus de quatre années pour que Louise Charlotte, tirée des limbes, y retourne enfin, par un malheureux concours de circonstances. Tragique destinée d'un personnage mâtinée de chevalier d'Eon, de Louise Renée de Penancoët de Keroual, de quelques épigraphes des Lumières mais aussi de Brenda Montgomery de Le cœur a ses raisons.

Héraldique

D'argent, à trois bandes d'azur ; au chef de gueules, chargé d'un lion passant d'argent.

Notes et références

  1. Saugrain, Claude-Marin, Nouveau dénombrement du royaume, par généralitez, élections, paroisses et feux, où l'on a marqué sur chaque lieu les archevêchez, évêchez, universitez, parlemens, chambres des comptes, cours des aydes, cours et hôtels des monnoyes, bureaux des finances, maîtrises des eaux et forêts, capitaineries des chasses, amirautez, présidiaux, bailliages, sénéchaussées, prévôtez, vicomtez, châtellenies, vigueries, juges-consuls, maréchaussées et autres justices royales ; les bureaux des droits des aydes, gabelles et greniers à sel, douannes et traites foraines ; les lieues de distance de Paris aux autres villes du royaume., Paris, Pierre Prault, 1735, p. 77-78.
  2. Hauterive, Borel (d'), Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe. Année 1863. Familles Régnantes - Principales alliances, Naissances, Nécrologie - Changements, Additions & Rectifications de noms - Législation nobiliaire - Jurisprudence nobiliaire, Paris (Dentu) 1863, p. 332.
  3. Histoire de la ville de Salins, avec une dissertation sur l'indépendance de la seigneurie de ce nom, le nobiliaire de cette ville, l'histoire et la généalogie de ses vicomtes, celle de toutes les maisons qui ont porté le nom de Salins, par M. J. B. Guillaume, prêtre, associé de l'Académie royale de Besançon, tome second, 1758, p. 61-62.
  4. Correspondance secrète inédite de Louis XV sur la politique étrangère avec le Comte de Broglie, Tercier, etc. ; et autres documents relatifs au Ministère secret ; précédés d'une étude sur le caractère et la politique personnelle de Louis XV. Publ. d'après les manuscrits originaux conservés aux archives de l'empire, par M. E. Boutaric. H. Plon (Paris), 1866.
  5. Montbarey, Alexandre-Marie-Léonor de Saint-Mauris, (Prince de), Mémoires autographes de M. le Prince de Montbarey, ministre secrétaire d'État au département de la guerre sous Louis XVI, Paris, Alexis Eymery et Rousseau, 1827, p. 154
  6. Jullien, Adolphe, Les Grandes Nuits de Sceaux, Paris, J. Baur, 1876, p. 64-73
  7. Winchester, Maud, Works of Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe, Boston, AB Newswire, 1999
  8. Le Gallois de Grimarest, Jean-Léonor, Recueil De Lettres Serieuses & Galantes , Paris, 1721
  9. Lucien Bély, Les Relations internationales en Europe - XVIIe siècle, PUF, coll. « Thémis/Histoire », Paris, 1992, p. 747-823.
  10. Pauthier, Guillaume, Histoire des Relations Politiques de la Chine avec les Puissances Occidentales depuis les temps les plus anciens jusqu'à nos jours, suivie de Cérémonial observé à la Cour de Pé-King pour la réception des Ambassadeurs, Paris, Firmin Didot, 1859, p. 90-113
  11. Archives nationales de France. V6 1527. Minutes et transcriptions du conseil privé du roi.1775.
  12. Archives des affaires étrangères. Russie, 1768-1775 correspondance diverse, Prince Galitzine - Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe, 5 juin 1775.
  13. Jean-Christian Petitfils. La Contre-Révolution. Origines, Histoire, Postérité, sous la direction de Jean Tulard, Perrin, 1990, p. 62-63.
  14. Gustave de Chamécourt. Relation des voyages de Madame de Boutechoux-Palamballe (1755-1789). Paris : Colin, 1807, p. 144-147
  15. Archives départementales des Côtes-d'Armor. Fonds des familles de La Rivière et La Fayette, papiers en possession de Marie-Joseph-Paul-Yves-Roch-Gilbert du Motier, marquis de La Fayette (1757-1834)dont correspondance de Louis-Jean-Marie de Bourbon duc de Penthièvre et Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe, cote 3 J 7/(1).
  16. Archives nationales de France. Châtelet de Paris, minutes de sentences d'audience de la Chambre de police, janvier à juin 1786, cote Y 9489A.
  17. La politique étrangère française à l'heure de la Révolution., Berne, Cherville, , 596 p. 
  18. roisième discours de J.-P. Brissot,... sur la nécessité de la guerre, prononcé à la Société, le 20 janvier 1792 ., Paris, Société des amis de la Constitution, séante aux Jacobins,  
  19. Etrange décès d'une dame de l'ancienne Cour., Paris, Mamboeuf, , 16 p. 
  20. Jean-Pierre Peter, « Une enquête de la Société royale de médecine : malades et maladies à la fin du XVIIIe siècle », Annales. Économies, Sociétés, Civilisations., no 4,‎ , p. 711-751

Bibliographie

  • Brummel Leendert, Frans Hemsterhuis. Een philosofenleven. Haarlem : H.D. Tjeenk Willink, 1925.
  • Chamécourt, Gustave (baron de). Relation des voyages de Madame de Boutechoux-Palamballe (1755-1789). Paris : Colin, 1807.
  • Fabvier, Caroline. Louise Charlotte Clotilde de Boutechoux-Palamballe, discrète ambassadrice au service de Louis XV. Thèse de doctorat. Charlottenbourg : Knescht und Hernheim, 1999.
  • Finck von Finckenstein, Karl Wilhelm. Mémoire pour justifier la conduite du Roi contre les fausses imputations de la cour de Saxe. Berlin : [sans mention d'imprimeur], 1756.
  • Hammacher, Klaus, Unmittelbarkeit und Kritik bei Hemsterhuis. Munich : Fink Verlag, 1971.
  • André Borel d'Hauterive, Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l'Europe. Année 1863. Familles Régnantes - Principales alliances, Naissances, Nécrologie - Changements, Additions & Rectifications de noms - Législation nobiliaire - Jurisprudence nobiliaire. Paris : Dentu, 1863.
  • Jullien, Adolphe, Les Grandes Nuits de Sceaux. Paris : éditions J. Baur, 1876.
  • Moenkemeyer, Herbert. François Hemsterhuis. Boston : Twayne, 1975.
  • Montbarey, Alexandre-Marie-Léonor de Saint-Mauris, (Prince de), Mémoires autographes de M. le Prince de Montbarey, ministre secrétaire d'État au département de la guerre sous Louis XVI. Paris, Alexis Eymery et Rousseau, 1827.
  • Pauthier, Guillaume, Histoire des Relations Politiques de la Chine avec les Puissances Occidentales depuis les temps les plus anciens jusqu'à nos jours, suivie de Cérémonial observé à la Cour de Pé-King pour la réception des Ambassadeurs. Paris : Firmin Didot, 1859.
  • Vaucher, Paul, Recueil des instructions aux ambassadeurs et ministres de France depuis le traité de Westphalie jusqu'à la Révolution française. Paris : CNRS, 1965, t. III (Angleterre).

Liens externes

Articles connexes

Familles subsistantes de la noblesse française

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