Famille Geoffroy

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Famille Geoffroy
Image illustrative de l’article Famille Geoffroy
Armes de la famille.

Blasonnement D'or au pin de sinople terrassé, accolé au pied d'un cygne d'argent; l'écu timbré d'un casque de chevalier orné de ses lambrequins.
Devise Amat nemus et fugit urbes
Branches Geoffroy de Lesteno, Geoffroy de Brégouharn
Période XVe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Bretagne
Allégeance Royaume de France
Preuves de noblesse
Montres 1443, 1534
Réformation de la noblesse 1670

La famille Geoffroy (également orthographié Geffroy, Geoffroi ou Jaffrez en breton) est une famille de la noblesse française originaire de Bretagne.

Elle fut maintenue noble à la réformation de 1670. Son auteur, Hervé Geoffroy fut anobli par le duc Jean V de Bretagne le 21 septembre 1432[1],[2],[3].

Possessions

La famille Geoffroy a possédé, en Bretagne, les terres de Rocheglas (Roc'hglas) et de Coëtquelven en la paroisse de Plougourvest, de Crec'hanpuncze en la paroisse de Plouvorn, de la Villeneuve (Kernevez en breton) en la paroisse de Plouigneau, de Kermarquer, de la Roche, du Courtillo et du Rolas ainsi que de Kervas.[1],[2]

Géographie

Selon Louis de Magny, la famille s'est installée à l'Île Maurice vers 1750 en la personne de Jacques-Marie-Vincent Geffroy, fils de Joseph-Marie Geffroy et de Marie Marguerite Joséphine Frogeray de Saint-Mandé, accompagné de son épouse, Marie Reine Astérie Joséphine Le Père de La Butte, fille de Louis-Maurice-Édouard Le Père de La Butte et de Marie-Reine-Perrine Estoupan de Laval[1].

Armoiries et devise

L'armorial de la France, dressé par Louis de Magny, indique : « En 1696 noble Robert Hyacinthe Geffroy, Seigneur du Courtillo et du Rolas, et noble René Geoffroy, Ecuyer, Seigneur de la Villeneuve, ont fait enregistrer leurs armes à l'Armorial général du Roi [...] D'or au pin de sinople terrassé, accolé au pied d'un cygne d'argent ; l'écu timbré d'un casque de chevalier orné de ses lambrequins. »[1]. L'armorial en question, établi par Charles-René d'Hozier, ne fait quant à lui mention d'aucune « terrasse », les armoiries peintes se blasonnent donc ainsi : «D'or au pin de sinople, un cygne d'argent passant au pied»[1].

Par ailleurs, l'Armorial général de France fait aussi mention d'armoiries différentes, portées par Joachim Geffroi, sieur de Lesteno, en cette même année 1696 : de sinople à la tour d'or[4].

  • Devise : Amat nemus et fugit urbes.

Alliances principales

Familles de la Tullaye, de Guernisac, Le Père de la Butte, Frogerays de Saint-Mandé, Jean de Lacoudraye Rousles de Châteauneuf, Koenig, de May, de Quintin, Caiez d'Épinay.

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 Louis de Magny, « Armorial de la France » Accès libre, sur Gallica BnF,
  2. 2,0 et 2,1 Pol Potier de Courcy, « Nobiliaire et armorial de Bretagne »,
  3. « Lettres et mandements de Jean V, duc de Bretagne: »
  4. Charles-René d'Hozier, « Volumes reliés du Cabinet des titres »,

Articles connexes

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