Famille de Saint Leger
de Saint Leger | |
Blasonnement | d'azur fretté d'argent au chef d'or[réf. nécessaire]. |
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Devise | « Fidelis et Firma »[réf. nécessaire] |
Pays ou province d’origine | France |
Charges | conseiller général, maire |
Récompenses civiles | Chevaliers de la Légion d'Honneur |
Récompenses militaires | Chevaliers de Saint-Louis |
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La famille de Saint Leger est une famille famille subsistante de la noblesse française.
Histoire
John Saint Leger, fils d'Antony et de Caecilia Archer, capitaine de l’armée royale, lieutenant (1689) dans la Brigade Irlandaise servant en France, marié à Honora Leigh[1].[réf. nécessaire]
Il serait le père de Mathieu de Saint-Leger qui s'est marié le 4 mai 1723 à Arras avec Marie-Louise Dubois, fille de Jean-Charles Dubois et d'Isabelle Baudoin, qui fait la souche de la famille[1].[réf. nécessaire]
Son fils Jean Bertin de Saint Léger né en 1724 à Lille, marié le 12 novembre 1771 à Saint-Omer avec Marie Françoise Courtin, fille de Guillaume Courtin et de Françoise Daeten, fit en 1783 ses preuves pour faire admettre son fils Louis-Justin de Saint-Léger, né 1772 à Saint-Omer, à l'École royale militaire[1].[source insuffisante]
Principales personnalités
- Maurice de Saint Leger, né le 6 avril 1774 à Saint-Omer, élève à l'École royale du génie de Mézières, il crée une usine de chaux à Graville, chercheur inventeur, achète en 1818 à Vicat le brevet de fabrication du ciment que Georges III l'autorise à fabriquer et à commercialiser en Angleterre. Mais plus ingénieur qu'homme d'affaires, il n'en retire aucun bénéfice.[réf. nécessaire]
- André Maurice de Saint Leger, né le 5 avril 1802 à Dieppe, mort le 1er juillet 1863 à Passy (Paris), polytechnicien, ingénieur en chef du Corps des Mines, directeur général des machines à vapeur de la région parisienne[2], conseiller général de Seine-Inférieure, il réunit une collection de minéraux, dont la plus grande partie aboutit à l'École des mines d'Alès. La fortune de sa femme, Émilie Gonse, le rend propriétaire de vastes domaines en bordure de Seine, autour de Vernouillet.[réf. nécessaire]
Bibliographie
- Bernard de Saint-Léger, Robert de Saint-Léger et le Pays d'Yveline, ANF - Association d'entraide de la noblesse française, Bulletin trimestriel - Année complète 1975 - N° 142 à 145 - In-8, article ayant obtenu le Prix de l'Yveline 1972 de la Société Historique et Archéologique de Rambouillet et de l'Yveline. (source familiale ?)
Références
- ↑ Revenir plus haut en : 1,0 1,1 et 1,2 Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, volume 6, page 182.
- ↑ Cercle historique de Vernouillet, Vernouillet: du village de vignerons à la ville de banlieue, 1800-1950, 2007, page 15.
Articles connexes
Liens externes
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