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Fils de cheminots, Jean-Paul Kurtz est né à Sarrebourg (Moselle) le 11 août1945.
Il a vécu 10 ans à La Forge (Moselle). En 1955 il déménage à Nitting village mosellan situé sur la Sarre à 8 km de Sarrebourg.
Grand supporter du Stade de Reims, il réussit à se faire embaucher à la SNCF dans la Cité des Sacres.
Le 2 février 1964 il arrive à Reims et débute sa carrière au service de la signalisation mécanique de la société nationale.
En 1969 il devient « Surveillant de travaux » dans la spécialité Bâtiment et Ouvrage d'art. Il exerce cette fonction successivement à Fismes puis à Reims.
En 1975, il est reçu 1er à l'examen national de Contrôleur des Ouvrages d'art.
Après 12 années passées à Reims où sont nées ses deux filles, il quitte la Champagne pour Paris où il va exercer ses nouvelles fonctions à la division de l'Équipement de Paris-Est.
Au cours des diverses rencontres avec les professionnels du Génie civil, il remarque que ces derniers emploient des mots différents pour désigner le même objet, la même partie d'ouvrage etc.
Il se met alors en quête d'un dictionnaire du Génie civil.
Devant l'absence d'un tel ouvrage, il décide alors d'en rédiger un : ce sera un véritable travail de bénédictin.
En 1994, c'est l'aboutissement de 12 longues années de travail : le Dictionnaire du Génie Civil arrive sur les rayons des librairies spécialisées avec ses 12 000 définitions et 1 200 dessins.
Cet ouvrage deviendra une véritable bible pour toute la mouvance du Génie civil des pays francophones. À l'époque de la mondialisation, il faut que de New York à Paris, de Singapour à Bruxelles etc. tous les acteurs qui œuvrent aux ouvrages d'art utilisent les mêmes définitions. Pour cela, il faut que cet ouvrage soit traduit en anglais.
En 1997, il contacte un grand éditeur américain qui n'est autre que Kluwer Academic Publisher qui va fusionner avec Springer. Le directeur d'édition de cette grande société est enthousiasmé par le projet.
Après 7 ans de travail le dictionnaire est édité en anglais. L'originalité de la parution en langue anglaise réside dans le fait que tout a été réalisé par l'intermédiaire d'Internet. C'était la première fois qu'un ouvrage d'une telle ampleur voyait le jour sans contact physique, téléphonique entre un éditeur et son auteur.