Lycée Jean Perrin (Saint-Ouen l'Aumône)

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Vue aérienne du lycée Jean Perrin.

Le lycée Jean Perrin est un établissement public d’enseignement secondaire et supérieur créé en 1972 et installé sur la commune de Saint-Ouen l’Aumône (95). Avec le lycée Edmond Rostand et le lycée Château d’Épluches, il forme l’un des trois lycées polyvalents saint-ouennais, à l’est de l’agglomération de Cergy-Pontoise. Il accueille des élèves de la Seconde à la Terminale préparant le baccalauréat en séries générales, techniques et professionnelles, ainsi que des étudiants dans des formations bac+2 en BTS et CPGE. Environ 1050 élèves et étudiants sont scolarisés chaque année au lycée Jean Perrin. Il héberge également des formations continues pour adultes dans le cadre du GRETA. Il bénéficie du label « Lycée des métiers »[1].

L’établissement est voisin du lycée des métiers de l’automobile et du transport Château d’Épluches.

Son adresse est le 2 rue des Égalisses 95310 Saint-Ouen l’Aumône. Il est desservi par la ligne de bus 57 de la STIVO, ainsi que par le train de la ligne H du Transilien à la gare Pont-Petit. Doté d’une forte identité technique et scientifique en raison de ses formations, le lycée, qui a longtemps été qualifié de « lycée technique », est implanté près des parcs d’activités de la commune (Épluches, Vert Galant…) qui représentent le plus grand regroupement européen de PME-PMI (700 entreprises sur 600 ha)[2]. En raison de la spécificité de ses formations, le lycée recrute ses élèves et étudiants sur l’ensemble du département du Val d’Oise.

Classement

En 2022, le lycée Jean Perrin occupe la 27ème place dans le classement des lycées du Val d’Oise établi par L’Internaute[3].

Avec 93,5 % de réussite au baccalauréat en 2021, L’Étudiant a donné la note de 15,12/20 au lycée Jean Perrin[4].

Historique

Les origines du lycée (avant 1972)

Ouvert du point de vue administratif le 22 février 1972[5], le lycée Jean Perrin a d’abord été partie intégrante de la cité scolaire d’Épluches, ouverte le 1er mai 1965 et auparavant centre d’apprentissage. Durant deux décennies, la cité scolaire se compose d’un C.E.T. Collège d’enseignement technique (actuel lycée professionnel Château d’Épluches), d’un Collège de second cycle économique et administratif (qui deviendra un LPEA Lycée professionnel économique et administratif jusqu’à son transfert au lycée Edmond Rostand en 1992, actuel Bât. F) et d’un Lycée technique industriel (parfois nommé « Lycée technique mixte d’Épluches »)[6]. Ce sont donc trois établissements disposant chacun de leur identité mais qui demeurent pourtant très interdépendants. Le déménagement des enseignements du C.E.T. d’Épluches vers le nouveau lycée se fait progressivement entre 1973 et 1975. L’appellation « Jean Perrin », hommage au physicien français prix Nobel 1926, apparait en 1984 sur les anciennes photographies scolaires[7].

La cité scolaire est implantée sur les anciens jardins du château d’Épluches, une demeure bâtie au XVIème siècle par le roi Henri IV à l’intention de la favorite Gabrielle d’Estrées[8]. En mai 1919, la Société nationale cubaine de la Croix Rouge fait l’acquisition de cette demeure bourgeoise et de son domaine d’une vingtaine d’hectare environ. Depuis 1910, le château d’Épluches avait déjà entamé une vocation pédagogique en accueillant le siège de la société anonyme de "l’Institut agronomique Jeanne d’Arc", institut dirigé par M. Javal, mais qui s’avère en liquidation en 1919[9].

La Croix Rouge cubaine fait alors donation le 29 novembre 1921 de l’ensemble de la propriété à « l’Orphelinat des Armées » (association loi 1901 créée en 1915, reconnue d’utilité publique par décret du président de la République en avril 1920)[9]. Le 31 juillet 1923, le domaine est ensuite confié au département de Seine-et-Oise selon des clauses précises : la donation du domaine à titre de bienfaisance par « l’Orphelinat des Armées » au département s’établit « sous la condition de l’installation d’un Établissement de Pupilles de la Nation »[9]. L’association de la Croix Rouge cubaine avait déjà établi des conditions similaires : « l’immeuble et les fonds, objet de la présente donation ne pourront être employés qu’à la création, l’installation et le fonctionnement d’un asile pour enfants français et belges, orphelins par suite de la guerre 1914-1918, et une fois ce but rempli et devenu sans objet à l’installation et au fonctionnement d’un établissement ayant un caractère charitable et destiné à l’éducation de jeunes artisans et agriculteurs ». Autre condition : « l’histoire de l’Amérique en général et particulièrement l’histoire de la République de Cuba seront enseignés aux pupilles élevés et inscrits dans le château d’Épluches pour perpétuer et rendre plus étroits les liens d’union de la France et de l’Amérique »[9].

C’est donc en 1923 qu’une association privée loi 1901 transforme le site en « Centre d’apprentissage industriel, agricole et horticole », pour devenir enfin « Centre d’apprentissage public » lors de l’acquisition par le département. Le centre d’apprentissage est agrandi au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Un accord obtenu auprès de l’ambassade de Cuba le 7 mars 1955 autorisera l’installation d’un centre technique sur le domaine d’Épluches[10]. On comprend les mots adressés en 1971 par le préfet du Val d’Oise, Maurice Paraf, au ministre de l’éducation Olivier Guichard, qui estime qu’au « plan de l’opportunité, le choix du lieu d’implantation parait très judicieux car il permet d’allier un regroupement rationnel de plusieurs unités d’enseignement technique en une cité scolaire avec l’utilité d’occupation de vastes surfaces de terres qui, en raison des clauses de la donation, ne seraient pas disponibles pour des constructions autres que celles de type scolaires[11] ». D’un point de vue juridique, il reste donc pour le département à vendre au franc symbolique le terrain d’Épluches au S.I.V.M. (Syndicat Intercommunal à Vocation Multiple) de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, et pour l’État à transférer le C.E.T. d’Épluches au même S.I.V.M, ce qui est accompli en 1972[12].

Une extension de la cité scolaire d’Épluches (années 1970)

Le lycée a été conçu par Alfred Favre et Pierre Burc, assisté de R. Périllat, architectes de la période de la reconstruction, très actifs dans la conception de bâtiments publics et également initiateurs de la mairie du XVIIème arrondissement de Paris[13]. Les deux architectes avaient déjà participé à la construction du C.E.T. de Saint-Ouen l’aumône quelques années plus tôt (actuel Lycée Château d’Épluches ).

Le lycée est alors composé de cinq bâtiments, dont trois sont destinés à l’enseignement (nommés bâtiment A, B et F) et deux bâtiments pour la restauration et l’administratif (respectivement bât D et C). Les bâtiments sont construits dans l’année 1973 à partir de panneaux en béton préfabriqués. Le lycée, en capacité d’accueillir 650 élèves, est consacré à des formations techniques et tertiaires[14].

Entre croissance et saturation (années 1980)

Durant les années 1980, le lycée, qui voit ses effectifs grimper, souhaite élargir ses formations à des sections de techniciens supérieurs (BTS) et prend le nom de lycée Jean Perrin.

A la rentrée 1982, deux Sections de Techniciens Supérieurs sont mises en place (MAI Fabrication Mécanique et automatismes industriels et ELEEC Électronique). Elles complètent les formations post-bac de Mathématiques Supérieures T.A. et Mathématiques Spéciales T.A. (actuellement Classes préparatoires aux grandes écoles)[15].

Conçu initialement pour accueillir 650 élèves, le lycée Jean Perrin voit ses effectifs (et ses divisions) croître régulièrement pour atteindre 728 élèves en 1985[16]. Dans ces conditions, « il en résulte une nette insatisfaction des usagers quant à l’environnement matériel (bruit – chauffage – éclairage – hygiène – sécurité), à l’insuffisance de l’outillage aux ateliers, aux conditions d’accueil des élèves (aires de travail), à l’insuffisance d’aides pédagogiques (rétroprojecteurs – audio-visuels etc…) »[16]. Et de préciser que « c’est surtout à l’insuffisance des crédits de fonctionnement que se raccordent les principaux motifs d’insatisfaction suivi par le manque de place qui commence à se faire sentir notamment aux ateliers, en dessin industriel et en sciences physiques. »  

Un rapport actualisé du chef des travaux, M. Rat, daté d’octobre 1987, confirme la prévision d’effectif « haute mais vraisemblable » de 957 élèves émise en 1985[16] :

CAPACITE NOMINALE 1972 648 élèves
EFFECTIFS 1987-88 805 élèves ; 806 (réel) Classes nouvelles : 1 seconde de 35 élèves ; 1 première F2 de 24 élèves. NB : En 1987, le lycée entame la préparation du baccalauréat F2 (futur bac STI ELEEC).
EFFECTIFS 1988-89 890 (minimum) ; 888 (réel) Classe nouvelle : 1 Terminale F2 de 24 ou 30 élèves
EFFECTIFS 1989-90 925 (minimum) ; 925 (réel) Classe nouvelle : TS Electronique nécessaire pour la poursuite de la formation des 50 élèves provenant des 2 terminales F2

A la fin des années 1980, les capacités d’accueil du lycée atteignent donc leur limite. Les raisons en sont multiples : la croissance démographique de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, l’attrait grandissant pour les filières techniques et l’absence d’autres établissements proposant les spécialités automatisme, électronique, électrotechnique et informatique industrielle. Le lycée Galilée de Cergy Saint-Christophe n’ouvre ses portes qu’en septembre 1985.

Un unique réfectoire de demi-pension (Bât. D) accueille les élèves des trois établissements (environ 1300 repas servis), ce que déplore la direction de l’établissement à la veille de la rénovation de 1992 : « L’accès à la restauration (en étage) est difficile, source de lenteur et donc d’évasion d’une partie des lycéens à l’heure du repas) »[17].

Extensions et rénovation (années 1990)

Mme Flament, Proviseur depuis septembre 1987, alerte de cette situation le Directeur des Affaires Scolaires du Conseil régional d’Ile-de-France en joignant à son courrier un état des lieux des difficultés concrètes[18].

Cet accroissement des effectifs entraîne des difficultés notamment dans le fonctionnement de la demi-pension. Une liaison froide est envisagée entre la cantine de la cité technique et le lycée polyvalent Edmond Rostand en construction. Le conseil d’administration du 14 novembre 1989 se saisit de l’annonce du retard dans le financement de la construction d’une nouvelle demi-pension ; à l’unanimité, il « exprime son indignation devant un tel manque de considération pour les élèves de l’enseignement technique » et « qu’il est impossible dans les conditions actuelles d’assurer la Rentrée 90 : le lycée prévu pour 648 élèves est déjà en dépassement d’effectif de 300 élèves, les locaux d’ateliers ne sont pas conformes aux nouveaux programmes de l’enseignement technique et la préparation du Baccalauréat ne pourra pas être assurée, les restrictions d’effectifs imposées à la rentrée 89 ont déjà mis en difficulté de trop nombreuses familles »[19].

En 1990, la bâtiment E est construit pour  accueillir des formations en électronique (la formation BTS ELEEC voit le jour en 1989-90). « Les travaux d’extension des ateliers du Lycée Technique Jean Perrin consistent en la construction d’ateliers laboratoires dont la surface est estimée à 1500 m² pour répondre à un effectif attendu de 945 élèves et à la préparation du BTS d’électronique ».

Entamée en 1992 et poursuivie sur plusieurs années, une grande campagne de rénovation du lycée Jean Perrin est engagée. Il s’agit d’améliorer le confort des anciens bâtiments dorénavant mieux isolés mais également d’augmenter la place disponible aux différents enseignements. Un nouveau bâtiment est construit (Bât. G). Le Bâtiment A voit sa surface étendue. Les enseignements tertiaires (BEP Communication administrative et Secrétariat, BEP Administration commerciale et comptable, Bac Pro Vente représentation…) sont transférés au nouveau lycée polyvalent Edmond Rostand ouvert en septembre 1989, libérant ainsi des locaux en mesure d'accueillir les enseignements généraux et CPGE[17].

Cette rénovation prend du retard, comme s’en alarme le Proviseur J. Pacaud le 30 septembre 1992 dans un courrier adressé à la Région : « Le caractère sensible des enseignements techniques (Mécanique, Électrotechnique, Électronique et Microtechniques) dispensés dans ce Lycée ne peut s’accommoder d’une situation d’incertitude quant à l’avenir. C’est ainsi qu’un retard dans les travaux envisagés conduirait notamment à l’impossibilité d’accueillir à la rentrée 1993 les extensions d’enseignement envisagées jusqu’ici (B.E.P. électronique et électrotechnique). La vétusté des installations actuelles explique l’anxiété des personnels et leur vif désir de connaître au moins un éventuel échéancier des travaux… »[20].  

En 1992, le lycée se dote également d’un pôle biologie, jusque-là inexistant dans l’établissement, afin d’élargir l’offre de formation proposée aux élèves du baccalauréat scientifique.

Les formations à la rentrée 1993 (1132 élèves et étudiants)[17]
BEP électrotechnique TSA productique Premières Terminales S.T.S. C.P.G.E.
1ère année

2ème année

  • TSA productique
  • 1ères adaptation : F2 électronique, F3 électrotechnique, F10 microtechniques
  • E
  • F1
  • F2
  • F3
  • F10
  • E
  • F1
  • F2
  • F3
  • F10
  • Mécaniques autom. Industriels MAI (1ère et 2ème années)
  • Électronique (1ère et 2ème années)
  • Électrotechnique (Construction, Équipement) (1ère et 2ème années)
  • Math Sup TA
  • Maths Spéc. TA
4 divisions

100 élèves

10 divisions

282 élèves

7 divisions

210 élèves

10 divisions

300 élèves

6 divisions

180 étudiants

2 divisions

60 étudiants

Dans les années 1990, le lycée se dote également de son logo.

Réformes, mobilisations et élargissement des formations (années 2000 et suite)

La série STI (Sciences et technologies industrielles) est remplacée par les séries STI2D (Sciences et technologies de l'industrie et du développement durable) et STD2A (Sciences et technologies du design et des arts appliqués), à partir de la rentrée 2011, en classe de première et de la rentrée 2012 en classe terminale. Les professeurs se sont montrés mobilisés contre cette réforme qui aboutit à des suppressions de poste "Jean-Perrin, Jean perd deux, Jean perd trois…, Jean perd douze. » Jeux de mots et décompte funèbre lors de l’enterrement symbolique des sections STI (sciences et techniques industrielles) organisé hier par les professeurs du lycée Jean Perrin à Saint-Ouen-l’Aumône. L’établissement technologique qui compte 900 élèves devrait perdre 12 postes d’enseignants dès l’année prochaine"[21].

En 2012, le lycée élargit son offre de formation technologique en accueillant la formation STL. Un BTS T.P.I.L. (actuellement BTS M.M.) est créé en 2015.

En 2022-23, des travaux sont engagés dans l’ensemble du lycée pour renforcer l’accès aux personnes à mobilité réduites à tous les bâtiments.

Œuvres artistiques

Le lycée Jean Perrin dispose d'œuvres d’art de l’artiste allemand Dietrich Mohr (1924-2016) et de l'artiste français François-Xavier Fagniez, financées dans le cadre du 1% artistique et installées dès l'ouverture de l'établissement. Le 1% artistique (ou 1% culturel) est une procédure imaginée sous le Front populaire en 1936 et mise en application en 1951 qui prévoit de consacrer 1% du coût de la construction de tout nouvel établissement scolaire à la construction d’une œuvre d’art installée au cœur de l'établissement.

  1. Une sculpture « sans titre » de 1975, mais surnommée "Signal". Réalisée par Dietrich Mohr en acier inoxydable, elle se situe devant le bâtiment A. Avec ses 6,50 m. de haut, elle « fait office de signal et de point de repère monumental »[22].
  2. Une sculpture-fontaine « sans titre » de 1975 également réalisée par Dietrich Mohr. Elle aussi en acier inoxydable. Elle se situe dans un patio menant à la cantine. La mosaïque au sol est l’œuvre de François-Xavier Fagniez.
Projet de design industriel.

Un monument en bas relief a également été installé devant l'entrée du CDI. Il a été conçu par les élèves de l'établissement dans le cadre d'un enseignement en design industriel.

Personnalités liées au lycée

Le bâtiment G.

Le compositeur et producteur de bande-son pour la télévision et le cinéma Alexandre Jaffray, également chroniqueur musical sur France télévision et aussi humoriste sur scène, a obtenu un baccalauréat STI au lycée Jean Perrin. Il est venu à la rencontre des lycéens à deux reprises en 2014 et en 2019 pour raconter son parcours[23].

Notes et références

  1. « Lycée Jean Perrin - 2, rue des Égalisses - 95310 Saint-Ouen-l'Aumône - 01 34 32 58 28 », sur www.jeanperrin.org (consulté le )
  2. « Découvrir Le Parc », sur Le Parc (consulté le )
  3. « Lycée Jean Perrin (Saint-Ouen-l'Aumône) : classement 2023 et taux de réussite au bac », sur www.linternaute.com (consulté le )
  4. « LYCEE JEAN PERRIN (GENERAL ET TECHNO.) - Saint-Ouen-l'Aumône - Classement des lycées 2022 - L'Etudiant », sur www.letudiant.fr (consulté le )
  5. « L'Annuaire de l'éducation », sur L'Annuaire de l'éducation (consulté le )
  6. Archives nationales, Ministère de l'éducation nationale, Saint-Ouen l'aumône (95), lycée technique, 1ère tranche, 1972.
  7. « la photo de classe Lycée Jean Perrin 1984-1985 - 2nd D », sur Copains d'avant (consulté le )
  8. Lettre du proviseur du lycée professionnel industriel Château d'Epluches C. Terrier à la Direction des affaires scolaires de la Région Ile-de-France le 7 février 1991, Archives régionales d'Île-de-France - 957 W 21
  9. Revenir plus haut en : 9,0 9,1 9,2 et 9,3 Acte de donation par l'Orphelinat des Armées au département Seine et Oise, le 31 juillet 1923, Archives nationales, Ministère de l'éducation nationale, Saint-Ouen l'aumône (95), lycée technique, 1ère tranche, 1972.
  10. Préfecture du Val d'Oise, situation juridique du domaine dit "Château d'Epluches en vue de la construction d'une cité technique de Saint-Ouen l'aumône, le 3 décembre 1971, Archives nationales, Ministère de l'éducation nationale, Saint-Ouen l'aumône (95), lycée technique, 1ère tranche, 1972.
  11. Lettre du préfet du Val d'Oise au ministre de l'éducation nationales, le 3 décembre 1971, Ministère de l'éducation nationale, Saint-Ouen l'aumône (95), lycée technique, 1ère tranche, 1972.
  12. Délibération du SIVM de Cergy-Pontoise le 5 juillet 1971, Archives nationales, Ministère de l'éducation nationale, Saint-Ouen l'aumône (95), lycée technique, 1ère tranche, 1972.
  13. Dictionnaire des élèves architectes de l’École des beaux-arts de Paris (1800-1968), AGORHA - Bases de données de l'Institut national d'histoire de l'art, Dictionnaire des élèves architectes de l’École des beaux-arts de Paris (1800-1968) et Institut national d'histoire de l'art, Favre, Alfred, [lire en ligne (page consultée le 2023-03-12)] 
  14. Lettre du directeur chargé des équipements à l'entreprise Coignet, le 10 juillet 1972, Archives nationales, Ministère de l'éducation nationale, Saint-Ouen l'aumône (95), lycée technique, 1ère tranche, 1972.
  15. Lettre du proviseur M. Polomeni à M. Ducel Inspecteur général, le 26 février 1980, Archives nationales, Ministère de l'éducation nationale, Saint-Ouen l'aumône (95), lycée technique, 1ère tranche, 1972.
  16. Revenir plus haut en : 16,0 16,1 et 16,2 Rapport de la Commission chargée de l’étude prévisionnelle de fonctionnement du Lycée Jean Perrin pour les 5 années à venir, Archives régionales d'Île-de-France - 2972 W 45.
  17. Revenir plus haut en : 17,0 17,1 et 17,2 Programme technique détaillé de la restructuration du lycée Jean Perrin, mars 1992, Direction des Affaires Scolaires de la Région Ile-de-France, Archives régionales d'Île-de-France - 1458 W 28
  18. Courrier à M. Butor, 11 janvier 1988, Archives régionales d'Île-de-France - 2972 W 45.
  19. Motion du CA, 14 novembre 1989, Archives régionales d'Île-de-France - 2972 W 45.
  20. Archives régionales d'Île-de-France - 2972 W 45.
  21. Arnaud Baur, « Les profs enterrent les postes supprimés », Le Parisien,‎
  22. Catalogue des 40 ans du 1% artistique de la Région Ile-de-France, Archives régionales d'Île-de-France - 957 W 160.
  23. Par Timothée Talbi Le 13 février 2019 à 19h17 et Modifié Le 13 Février 2019 À 19h19, « Saint-Ouen-l’Aumône : un compositeur de retour dans son ancien lycée », sur leparisien.fr, (consulté le )

Article publié sur Wikimonde Plus

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