Objectif France
Fondation |
13 novembre 2014 |
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Siège |
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Vice-présidents | |
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Déléguée générale | |
Président d'Honneur | |
Comité exécutif |
Jean-Marie Belin, Yves Bourdillon, Gilles Boussac, Eugène Daronnat, Aurélien Duchêne, Bruno Dumonteil, Patrice Huiban, Lauris Olivier, Hervé Rozel |
Idéologie | |
Positionnement | |
Site web |
Objectif France (OF), est un parti politique français fondé en 2014[14],[15],[9] et généralement classé au centre droit[7],[8], voire à droite[10],[11],[4] de l'échiquier politique, avec un positionnement décrit comme "républicain, libéral et humaniste[1]", "progressiste-conservateur[3]", "pragmatique[4]", voire "inclassable[6]".
Le mouvement est principalement structuré autour d'acteurs de la société civile et d'élus locaux, revendiquant 40 000[16] à 50 000[13] adhérents et une présence dans la majorité des départements français.
Objectif France est dirigé par Rafik Smati (entrepreneur dans le numérique et co-fondateur du mouvement avec Lauris Olivier), et a pour vice-président exécutif le Général Bertrand Soubelet (ancien n°3 de la Gendarmerie nationale) et pour président d'Honneur Pierre Danon (personnalité du monde des affaires)[17].
Histoire
Origines
Le mouvement est fondé le 13 novembre 2014 à Paris, dans le quartier de la Bastille. Le journaliste et éditorialiste Serge Raffy décrit alors son fondateur Rafik Smati comme étant politiquement "inclassable"[9]. Le Figaro affirme quelques jours plus tôt que Smati est "déjà repéré par certains responsables politiques, notamment Alain Juppé"[14]. Interrogé par Atlantico, Rafik Smati cite "la campagne électorale de 2012, qui a été une élection présidentielle pour rien [...] incantatoire et dépourvue d'idées"[18] comme étant l'élément déclencheur de son engagement. Objectif France se définit à ce moment comme étant "à droite, à gauche et écologiste[5]". Ses fondateurs invoquent le sentiment de défiance des Français envers la classe politique, et la nécessité de proposer une offre alternative aux "extrêmes"[5]. Ne prenant pas la lumière médiatique ni ne bénéficiant de soutiens politiques d'envergure, le mouvement évolue dans une certaine confidentialité. Ces débuts difficiles seront rétrospectivement mis en avant par certains dirigeants d'Objectif France, une tribune officielle du mouvement avançant en 2017 qu'Objectif France est "parti de rien" et "né d'un pari qui aurait été perdu d'avance dans des circonstances ordinaires[19]", Le Nouvel Observateur s'étant demandé trois ans plus tôt si le mouvement "[passerait] l'hiver[9]" de 2014. Dans l'émission Polonium de Natacha Polony, Smati défend la possibilité pour un nouveau mouvement politique d'émerger grâce aux réseaux sociaux face à Christophe Barbier et Olivier Duhamel[20], tout en dénonçant les contraintes auxquelles font face des formations comme Objectif France. L'initiative de Rafik Smati ne décolle pas, si bien qu'il est systématiquement classé parmi les "petits candidats"[21],[22],[23],[24], y compris auprès des plus méconnus[25], faute d'espace politique ou en raison de difficultés à attirer l'attention des média nationaux.
Malgré cette absence d'exposition médiatique auprès du grand public, plusieurs médias nationaux rapportent qu'Objectif France attire durant cette période l'attention de responsables politiques de premier plan. Robert Lafont, chef du groupe Lafont-Presse, rapporte en 2018 dans Entreprendre qu'en mai 2016, le président de la République d'alors, François Hollande, s'intéresse à Objectif France et arrange une rencontre[26] avec son dirigeant avec qui il déjeunera deux fois au cours de son mandat selon Le Figaro Magazine[27]. En décembre de la même année, au cours d'une interview sur le plateau des 4 Vérités sur France 2 où il revendique 20 000 adhérents au sein d'Objectif France, Smati confie devant Caroline Roux avoir rencontré des conseillers d'Emmanuel Macron[28], confirmant plus tard avoir décliné des offres de la part "d'émissaires" du futur président de la République dans une vidéo dépassant rapidement les 175 000 vues sur YouTube[29]. L'information est également rapportée par Le Figaro Magazine en août 2017[27].
Affirmation à droite à partir de 2017
On observe à partir de 2017 un tournant concernant la stature du parti et sa place dans l'échiquier politique. Dès la primaire de la droite et du centre, Rafik Smati annonce à plusieurs reprises soutenir la candidature de François Fillon, insistant sur son soutien au programme du candidat de la droite qu'il juge être le plus "sérieux", notamment sur le plan économique et budgétaire, arguant que "tous les autres projets [de la présidentielle] sont soit utopistes, soit démagogiques, électoralistes, et clientélistes"[30]. Dans une tribune à quelques semaines du premier tour, Smati explicite les raisons de son soutien au candidat de la droite républicaine, estimant que "certes, François Fillon n'incarne peut-être pas le renouveau politique" mais que son programme reste supposément plus solide que celui d'Emmanuel Macron qu'il qualifie d'homme "du flou et de l'esquive". Il avance dans ce communiqué l'idée que les "idées ambitieuses" portées par d'autres candidats (priorité à l'économie maritime proposée par Jean-Luc Mélenchon, renforcement du budget de la Défense défendu par Marine Le Pen, revenu universel prôné par Benoît Hamon, suppression de la taxe d'habitation promise par Emmanuel Macron) et qu'il soutient aussi ou "n'écarte pas d'un revers de la main" ne pourront être mises en place, faute de marges de manoeuvre, si ne sont pas d'abord réalisées "les transformations puissantes que propose François Fillon", également présentes selon Smati dans le projet d'Objectif France[30]. Selon lui, une présidence de François Fillon permettrait alors de mettre en oeuvre les réformes supposées redonner à la France les marges de manoeuvre pour "renouer avec de nouvelles conquêtes[30]" (francophonie, politique maritime, transition énergétique, numérique, intelligence artificielle[31]).
Du fait du soutien de Rafik Smati à François Fillon, Objectif France se rapproche après l'élection présidentielle de 2017 des comités de la société civile qui "avaient construit et porté le programme de François Fillon" au cours de la primaire de la droite puis de la présidentielle. La majorité des comités de l'ex-société civile avec Fillon rejoignent Objectif France. Leur président, Pierre Danon, qui avait également coordonné le projet économique de François Fillon et travaillé comme directeur adjoint de sa campagne, devient président d'Honneur du mouvement[32]. Selon divers médias, Rafik Smati rencontre plusieurs figures de la droite comme Valérie Pécresse ou Laurent Wauquiez[27] ; ce dernier aurait proposé au chef d'Objectif France un "poste" qu'il aurait refusé[26].
Une autre étape dans ce que le mouvement qualifie de "montée en puissance" est l'adhésion d'Objectif France du Général Bertrand Soubelet, ancien n°3 de la Gendarmerie nationale,qui devient vice-président du mouvement[33]. Après diverses spéculations dans la presse sur la poursuite de son engagement politique[34], Bertrand Soubelet annonce officiellement qu'il rejoint Objectif France fin septembre 2017[35]. Interrogé sur Europe1 par Christophe Hondelatte (qui dit n'avoir "jamais entendu parler [du mouvement][36]") sur le choix d'Objectif France plutôt que de Les Républicains, Soubelet évoque le bilan de LR qu'il juge être un parti "comme tous les autres" et "l'énergie [...] le dynamisme et la modernité[37]" qui caractérisent selon lui le mouvement de Rafik Smati. Au cours de l'année 2018, Objectif France enregistre plusieurs ralliements ou soutiens, dont celui de François Goulard[38],[39], ancien ministre, ancien maire de Vannes et président du département du Morbihan (cf. infra). Le mouvement met à profit l'année pour consolider son maillage territorial et l'organisation de son projet.
En mai 2019, Objectif France annonce le ralliement du Parti libéral-démocrate d'Aurélien Véron - dernière formation héritière du courant libéral incarné auparavant par des partis comme Démocratie libérale, et qui avait compté dans ses rangs des personnalités comme Gaspard Koenig. Le politologue Laurent de Boissieu rapporte lui qu'OF "absorbe[32]" l'ex-PLD, tandis que Le Parisien parle de "fusion" sous "emblème Objectif France[13]". Les élus locaux membres de l'ex-PLD portent désormais l'étiquette Objectif France, notamment les élus municipaux (ainsi de Christine Singer à Metz, citée comme "présidente d'Objectif France Grand Est[40]", de l'adjoint à la mairie de Maurepas Erwan Le Gall qui devient référent du mouvement dans les Yvelines[41]...), Aurélien Véron devenant vice-président associé d'Objectif France[13],[42].
En novembre 2019, un communiqué officialise les ambitions d'Objectif France pour les élections municipales ; le général Bertrand Soubelet est directeur de campagne du mouvement pour cette élection[43]. Le même mois, Marc Atallah, membre d'Objectif France, est désigné candidat à la mairie de Villeurbanne, première commune de banlieue de France, à la tête d'une liste d'union de la droite pour les élections municipales de 2020. L'Obs parle de "consécration" pour le mouvement[44]. Quelques semaines plus tard, le vice-président associé d'Objectif France, Aurélien Véron, est investi par Rachida Dati comme chef de file dans l'arrondissement Paris-Centre pour les élections municipales à Paris[2],[45], sans qu'Objectif France n'ait encore officialisé cette nomination ni validé d'alliance. Selon Virginie Terrier, Déléguée générale d'Objectif France, le scrutin municipal de 2020 constitue "le premier étage de la fusée[46]" pour le mouvement.
Organisation
Gouvernance nationale
Comité exécutif
Le comité exécutif d'Objectif France est constitué, en décembre 2019, des personnes suivantes (ordre alphabétique) : Jean-Marie Belin, Yves Bourdillon, Gilles Boussac, Eugène Daronnat, Aurélien Duchêne, Bruno Dumonteil, Patrice Huiban, Lauris Olivier, Hervé Rozel, Rafik Smati, Bertrand Soubelet, Virginie Terrier, Aurélien Véron[17],[32].
Bureau national
Conseil national
Organisation territoriale
Comités départementaux
En décembre 2019, des comités locaux d'Objectif France sont officiellement installés dans une majorité de départements, ainsi qu'auprès de certaines communautés de Français de l'étranger[47].
La création de comités locaux fait parfois l'objet de mentions dans la presse locale ou d'autres médias (Haute-Garonne[48], Gard[49],[50], Yvelines[51], Marne[52], Corse[53]...).
Personnalités liées au mouvement
Société civile
Les dirigeants d'Objectif France font publiquement état de leur proximité avec des personnalités de la société civile ; ainsi Rafik Smati et Bertrand Soubelet s'affichent-ils par exemple en 2018 aux côtés de l'ancien chef d'Etat-major des Armées Pierre de Villiers[54]. Les équipes thématiques d'Objectif France comptent des personnalités de la société civile allant du Général (2S) Jean-Bernard Pinatel[55] sur les questions de Défense à David Fayon sur le numérique.
Personnalités politiques
Outre des soutiens issus de la société civile et l'intérêt rapporté dans la presse de personnalités comme François Hollande[26],[27], Emmanuel Macron[27] , Alain Juppé[14], Laurent Wauquiez ou Valérie Pécresse[27], pour le mouvement, Objectif France a reçu le soutien ou la proximité plus ou moins explicites de plusieurs personnalités politiques principalement issues des divers courants de la droite. Ainsi l'ancien ministre de Jacques Chirac, maire de Vannes et actuel président du département du Morbihan François Goulard annonce-t-il par exemple en janvier 2018 "rejoindre" Objectif France[38],[39]. La cheffe d'entreprise et ancienne n°2 de la mairie de Bordeaux et du parti Les Républicains Virginie Calmels témoigne à plusieurs reprises d'une proximité avec Rafik Smati[56],[57], dont Le Parisien cite entre autres la présence en tant que président d'Objectif France à un événement organisé par Mme Calmels[58]. Des personnalités issues d'autres courants de la droite ont été publiquement associées au mouvement. Lors d'une rentrée politique du mouvement à Trets en 2019, à laquelle intervient également le maire de Montfermeil Xavier Lemoine, l'ancien ministre de la Défense Charles Millon déclare d'après un communiqué d'OF montrant des images des deux élus à l'événement : " Vous me redonnez espoir. J'ai la conviction d'avoir en face de moi ceux qui vont véritablement changer la France[59]", sans qu'il n'y ait toutefois encore eu de ralliement officiel de la part de l'ancien ministre comme du maire de Montfermeil.
Selon un article de L'Obs de novembre 2019, "de nombreux leaders LR, en particulier les anciens fillonnistes, suivent à la loupe les premiers pas d'Objectif France dans l'arène électorale, estimant qu'il pourrait bien devenir le "nouveau monde" de la droite[44]".
Positionnement et programme politique
Positionnement
A sa fondation, Objectif France revendique de vouloir "développer et promouvoir une offre politique nouvelle, réunir et fédérer tous les citoyens français autour d'un projet politique concret et ambitieux pour la France, loin de tout clivage partisan"[15]. OF se revendique alors officiellement "à droite, à gauche et écologiste", conduisant Serge Raffy à qualifier le mouvement d'"inclassable[9]".
Pourtant, la volonté du mouvement de s'affranchir du clivage droite-gauche laisse progressivement la place à un positionnement à droite. En décembre 2016, Rafik Smati concède sur le plateau de Caroline Roux être avec son mouvement "plutôt classé à droite" selon les clivages "traditionnels" qu'il considère toujours "n'avoir aucun sens"[28]. Il revendique en septembre 2017 sur le plateau de Sonia Mabrouk vouloir construire avec Objectif France "une opposition courageuse sur les réformes, ferme sur les valeurs, moderne et écologique[60]". Quelques mois plus tôt, un article du Figaro Magazine estime qu'Objectif France s'inscrit dans une volonté de "rebâtir la droite[27]" autour du mouvement. Objectif France revendique avoir pour ligne politique le "progressisme conservateur" : "Progressisme, car le monde change, et la France doit repenser son contrat social. Conservateur, car nous devons nous appuyer sur un socle solide de valeurs et de principes[61]."
Le politologue Laurent de Boissieu classe Objectif France à droite sur son blog politique[32] qui fait autorité. La plupart des médias citant Objectif France situent le mouvement au "centre droit[38],[39]" ou "à droite[27],[44]". Les qualificatifs vont de "républicain, libéral et humaniste[2]" selon CNews à "pro-entreprises[13]" pour Le Parisien, en passant par la revendication d'un "pragmatisme bien tempéré" pour L'Obs pour qui Objectif France constitue aux yeux de "nombreux leaders de LR" le potentiel "nouveau monde" de la droite[44].
Programme
Notes et références
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- ↑ 3,0 3,1 3,2 3,3 et 3,4 « Pour un progressisme conservateur », sur objectif-france.org
- ↑ 4,0 4,1 4,2 et 4,3 « La droite fait son lifting à Villeurbanne », L'Obs, (lire en ligne)
- ↑ 5,0 5,1 5,2 5,3 et 5,4 « Lancement d'Objectif France », sur YouTube, (consulté le )
- ↑ 6,0 6,1 et 6,2 Serge Raffy, « Rafik Smati, premier candidat déclaré à l'élection présidentielle de 2017 », Le Nouvel Observateur, (lire en ligne)
- ↑ 7,0 et 7,1 « François Goulard rejoint Objectif France », Ouest-France, (lire en ligne)
- ↑ 8,0 et 8,1 « François Goulard rejoint le mouvement Objectif France », Le Télégramme, (lire en ligne)
- ↑ 9,0 9,1 9,2 9,3 et 9,4 Serge Raffy, « Rafik Smati, premier candidat déclaré à l'élection présidentielle de 2017 », Le Nouvel Observateur, (lire en ligne)
- ↑ 10,0 et 10,1 Laurent de Boissieu, « Objectif France - OF », sur france-politique.fr
- ↑ 11,0 et 11,1 « Éminence grise - Rafik Smati », Le Figaro Magazine, (lire en ligne)
- ↑ « Bercoff dans tous ses états : émission du 5 décembre 2019 avec Charles Gave, Rafik Smati, Mathieu Bock-Côté », sur sudradio.fr
- ↑ 13,0 13,1 13,2 13,3 et 13,4 « Naissance d'un parti », Le Parisien, (lire en ligne)
- ↑ 14,0 14,1 et 14,2 « Le pari de Rafik Smati », Le Figaro, (lire en ligne)
- ↑ 15,0 et 15,1 « Annonce n° 1324 - page 5293 », sur journal-officiel.gouv.fr,
- ↑ « Bercoff dans tous ses états : émission du 5 décembre 2019 avec Charles Gave, Rafik Smati, Mathieu Bock-Côté », sur sudradio.fr
- ↑ 17,0 et 17,1 « L'équipe dirigeante d'Objectif France », sur objectif-france.org (consulté le )
- ↑ « Objectif France : Rafik Smati, l'entrepreneur qui croyait qu'il saurait changer la France en lançant son parti », Atlantico, (lire en ligne)
- ↑ « Aurélien Duchêne, 19 ans, parle de la genèse d'Objectif France », sur objectif-france.org
- ↑ « Rafik Smati invité de Natacha Polony dans Polonium »
- ↑ « Des petits candidats déjà en campagne », sur lemonde.fr
- ↑ « Présidentielle 2017 : qui sont ces petits candidats déclarés ? », sur ouest-france.fr
- ↑ « Présidentielle 2017 : dates, sondages, résultats... 3 infos sur le scrutin », sur rtl.fr,
- ↑ « Qui se présente à la présidentielle 2017 ? », sur europe1.fr,
- ↑ « Présidentielle 2017 : quels sont les candidats ? », sur lemonde.fr
- ↑ 26,0 26,1 et 26,2 « Les indiscrets de Robert Lafont », Entreprendre, (lire en ligne)
- ↑ 27,0 27,1 27,2 27,3 27,4 27,5 27,6 et 27,7 « Éminence grise - Rafik Smati », Le Figaro Magazine, (lire en ligne)
- ↑ 28,0 et 28,1 « Smati (Objectif France) : "Les robots vont détruire 47% des métiers" », sur francetvinfo.fr
- ↑ « Ce que cache vraiment la candidature Macron », sur youtube.com
- ↑ 30,0 30,1 et 30,2 « Rafik Smati : "pourquoi je soutiens François Fillon" », sur objectif-france.org
- ↑ « 5 grandes conquêtes à mener pour faire gagner la France », sur objectif-france.org
- ↑ 32,0 32,1 32,2 et 32,3 Laurent de Boissieu, « Objectif France - OF », sur france-politique.fr
- ↑ « Communiqué : le Général Bertrand Soubelet devient vice-président d'Objectif France », sur objectif-france.org
- ↑ « Revoilà le général Soubelet », Le Parisien, (lire en ligne)
- ↑ « Extrait de l'annonce de Bertrand Soubelet sur Europe 1 », sur youtube.com
- ↑ « Bertrand Soubelet : "J'ai vu la société se dégrader pendant 30 ans" »
- ↑ « Ibid. »
- ↑ 38,0 38,1 et 38,2 « François Goulard rejoint Objectif France », Ouest-France, (lire en ligne)
- ↑ 39,0 39,1 et 39,2 « François Goulard rejoint le mouvement Objectif France », Le Télégramme, (lire en ligne)
- ↑ « Le maire de Metz et son homologue de Trêves demandent plus d'argent au Luxembourg », sur francebleu.fr
- ↑ « L'adjoint de Maurepas prend la tête d'Objectif France dans les Yvelines », La gazette de Saint-Quentin-en-Yvelines, (lire en ligne)
- ↑ « Recomposition politique à droite : le parti libéral-démocrate rejoint Objectif France », sur objectif-france.org
- ↑ « Bertrand Soubelet, directeur de campagne des municipales 2020 », sur objectif-france.org
- ↑ 44,0 44,1 44,2 et 44,3 « La droite fait son lifting à Villeurbanne », L'Obs, (lire en ligne)
- ↑ « Municipales 2020 à Paris : on connaît les 13 candidats aux côtés de Rachida Dati », sur 20minutes.fr
- ↑ « Municipales : la droite et le centre se rassemblent derrière OF à Villeurbanne », sur objectif-france.org
- ↑ « Les comités locaux d'Objectif France », sur objectif-france.org
- ↑ « Toulouse. Les fillonistes font alliance avec Rafik Smati d'Objectif France », La Dépêche, (lire en ligne)
- ↑ « Le parti Objectif France s'implante à Alès », Midi Libre, (lire en ligne)
- ↑ « Alès : Objectif France prépare les échéances électorales », Objectif Gard, (lire en ligne)
- ↑ TV78 - La chaîne des Yvelines, « Politique : "Objectif France" lancé dans les Yvelines », sur youtube.com
- ↑ « Objectif France version marnaise est lancé à Épernay », L'Ardennais, (lire en ligne)
- ↑ « Le parti Objectif France arrive en Corse avec un comité local », sur corsenetinfos.corsica
- ↑ https://twitter.com/RafikSmati/status/1053230517720629248?s=20
- ↑ « Honneur à la "quatrième génération du feu" par le Général Pinatel », sur objectif-france.org
- ↑ https://fr-fr.facebook.com/vcalmels/photos/heureuse-de-pouvoir-compter-sur-la-pr%C3%A9sence-de-rafik-smati-pr%C3%A9sident-du-mouvemen/1900525820015524/
- ↑ https://twitter.com/VirginieCalmels/status/1179334642178166785?s=20
- ↑ « Virginie Calmels, la tentation européenne », sur leparisien.fr
- ↑ « Photos : rentrée politique d'Objectif France en Provence »
- ↑ « Extrait d'un passage de Rafik Smati sur CNews, septembre 2017 »
- ↑ « Pour un progressisme conservateur », sur objectif-france.org
Voir aussi
Article publié sur Wikimonde Plus
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