Djink Europa 2027

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Données clés
Réalisation	Jordan Diow
Scénario	Jordan Diow
Musique	Jean-Sébastien Bach, Gustav Mahler, Igor Stravinsky, Dummy, Annick Dorais
Acteurs principaux	Jordan Diow, Romuald Rocheta, Philippe Pasquini, Sylvain Vilpellet, Serge Franco, Jacques Ruisseau, Alain Peron, Compagnie Zizanie, Compagnie Close-act, Michèle Clément 'Michmarionnettes', Aline Pariset, Marie-Louise Grognet, Caroline Brassier, Camille Mandot, Cytise Fontaine, Sylvie Pradel, Gérard Thierry, 'Takasouffler', Douglas Kalifa, Pascal Duthuin, Laurent Cheron, Dany Caraso, Reynald Letty, Pascal Gatty
Sociétés de production	◄♦Eden♦16/9 Productions♦►
Pays de production	Française
Genre	anticipation, science-fiction dystopique
Durée	15mn
Sortie	2009

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Djink Europa 2027 est un court métrage français d'anticipation de 2009 écrit, réalisé & interprété par Jordan Diow.

Synopsis

Quand Jim Ferguson, jeune chercheur en astrophysique, investit sa nouvelle résidence à l'Institut Nevilinsky, commune de Malakirov, vallée du Dniepr, Ukraine, il est loin de se douter de ce que la fin du monde est proche. Et pourtant.

Distribution

Jordan Diow : Djink / Rinsky
Pascal Duthuin : le Narrateur
Romuald Rocheta : Jim Ferguson
Serge Franco : Andrew Esteban
Sylvain Vilpellet, Philippe Pasquini : Djink 2 & 3
Camille Mandot, Caroline Brassier, Aline Pariset, Marie-Louise Grognet : Esthensa
Douglas Kalifa : Doug
Silhouettes : Michèle Clément Michmarionnettes, Cytise Fontaine, Sylvie Pradel, Laurent Cheron, David Vandamme, Gil Morand, Jacques Ruisseau, Dany Caraso, Reynald Letty, Pascal Gatty, Alain Peron, Gérard Thierry Takasouffler, la compagnie Zizanie, la compagnie Close-Act.

Fiche technique

Image : Pascal Duthuin, Romuald Rocheta
Son : Pascal Duthuin
Post-production : Jordan Diow
Conseiller technique : Mehdi Charef
Assistants : Florence Babin, Diane Duthuin, Philippe Pasquini
Œuvres d'art : Xavier Boggio, Andrzej Malinowski, Emmanuel Regazzi, Stéphane Ferrand
Musique : Jean-Sébastien Bach, Gustav Mahler, Igor Stravinsky, Dummy, Annick Dorais
Autoproduction : ◄♦Eden♦16/9 Productions♦►

Dossier de production

À propos

Projet initial de moyen-métrage, le film a vu son cadre de post-production fortement limité par de soudaines contraintes économiques. Le tournage eut lieu dans une ancienne carrière d'exploitation de pierres souterraines de la région parisienne ainsi qu'à Paris et en Val d'Oise à L'Isle-Adam, Auvers-sur-Oise et surtout Maffliers. Le portrait de femme aperçu dans le film est l'œuvre exposée à L'Isle-Adam du peintre Andrzej Malinowski, auteur césarisé de l'affiche du film Le Grand Bleu réalisé par Luc Besson. Film projeté hors-compétition au Festival du Film court de L'Isle-Adam ( FFCIA - IAFF ), et référencé par Patrick Glâtre, chargé de mission Images & Cinéma au conseil départemental, dans l'ouvrage et sur le site web Val d'Oise Terre de cinéma. Pour l'anecdote, l'on peut retenir que le scénario initialement juxtaposé à la nouvelle Ukrainian Forest ou le Rire de Djink, consultable sous ce titre sur calameo.com, s'est vu au final remodelé par le tournage et les divers échanges interpersonnels au point de devenir autre, sans pour autant cesser d'enthousiasmer ni d'emporter chacun de ses protagonistes avec énergie et allégresse jusqu'au dénouement. L'histoire d'une métamorphose, en quelque sorte. Du cinéma qui devient le réel et / ou inversement. Du cinéma comme autoclave de la vie. Du cinéma comme terrain de jeu. Parce que tout-de-même, entre récréation, divertissement, abrutissement, exploitation de l'homme par l'homme, de la planète par l'homme, de l'homme par la guerre d'une part, et par ailleurs média d'anticipation au sens premier (savoir est agir), support de divination, de spiritisme, véritable acte de foi, solide preuve d'amour, instrument de réflexion philosophique, arsenal introspectif ou encore facteur de réel progrès par la transmission du savoir et l'élévation du niveau de conscience qu'il permet, les possibilités du cinéma sont plus qu'immenses, en réalité infinies comme c'est d'ailleurs le cas pour toute forme d'art, mais d'Andreï Tarkovski à Leni Riefenstahl en passant par Cocteau, Besson et Dupontel, vient un moment où il faut (vraiment) choisir. Parce qu'à défaut, la censure tranche et le public saigne.