Nano War

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Nano War est un jeu indépendant de stratégie temps réel conçu et développé en 2007 par Benoît Freslon.

Plusieurs versions sont disponibles sur PC en Flash et sur support iOS : iPhone et iPad. Lé série comptabilise plusieurs millions de parties jouées.

Gameplay

Le joueur contrôle des cellules nanoscopiques qui combattent à l'intérieur d'un corps humain. Chaque cellule produit des unités à une vitesse constante. Le but est de capturer les cellules des adversaires en envoyant des unités sur d'autres cellules.

Versions

Nano War 1 Flash

la première version de Nano War est disponible depuis novembre 2007[1].

Histoire

L'histoire de Nano War reste abstraite. Le joueur se retrouve plongé à l'intérieur d'un organisme vivant représenté par des cellules nanoscopiques.

Gameplay

Le gameplay est très simple et très vite addictif. Il s'agit d'un wargame simplifié se basant sur la mécanique du jeu de plateau Risk. Le but étant de détruire son adversaire en capturant ses ressources. Le joueur et l'adversaire disposent de cellules statiques (Cellules globules blancs) qui produisent constamment des unités. Un chiffre à l'intérieur de la cellule représente le nombre d'unités. La zone de jeu est parsemée de cellules neutres. Ces cellules n'attaquent pas et n'évoluent pas mais les joueurs peuvent les capturer pour augmenter plus rapidement leur ressource en unités. Pour capturer une cellule il suffit d'envoyer suffisamment d'unités vers une cellule plus faible.

L'aspect graphique et sonore sont assez épurés mais les joueurs adhère très facilement à cette mécanique de jeu[2].

Quelques mois après sa sortie, une mise à jour ajoute l'éditeur de niveaux et le mode multijoueur en ligne.

Nano War 2 Flash

La seconde version de Nano War est disponible depuis juin 2009[3].

Histoire

L'histoire de Nano War 2 essaie d'être plus précise mais sans pour autant ajouter un fond dans la trame principale.

Chaque être humain dispose de milliards de cellules. Certaines de ces cellules sont vouées à protéger notre corps et combattre tout organisme étranger. Même dans les endroits les plus petits et les plus improbables la guerre y est présente. Bienvenue dans Nano War 2...

Gameplay

Le gameplay de Nano War 2 reprend les mécaniques du précédent opus avec l'ajout de nouvelles cellules aux pouvoirs différents.

  • La cellule Graisseuse : Une cellule qui a besoin d'unités pour se développer. Cette cellule permet de bloquer une cellule ennemie en l'infectant et protège une partie des attaques en créant un bouclier de graisse.
  • La cellule Anticorps : Une cellule qui a besoin d'unités pour se développer. Cette cellule permet de capturer instantanément n'importe qu'elle cellule sans boulier de graisse. Une fois combinée avec une autre cellule globule blanc, La production d'unité est deux fois plus rapide.

L'aspect graphique est amélioré ainsi que l'aspect sonore donnant au jeu une atmosphère plus réaliste mais angoissante.

Nano War iOS

La troisième version de Nano War est disponible depuis février 2013 sur support iOS : iPhone et iPad[4].

Histoire

L'histoire de Nano War iOS se déroulé à l'intérieur d'un corps humain. 3 virus avaient réussis à infecter la cellule mère, celle qui donne la vie à toutes les autres cellules. La cellule mère produisait de force d’innombrables cellules infectées. Les cellules locales décident de combattre ce fléau et de sauver la cellule mère.

L'histoire est découpée en 40 niveaux répartis en 4 parties : L'estomac, le cœur, les poumons et le cerveau.

Gameplay

Le gameplay est similaire à la version 2 mais les contrôles tactiles rendent le jeu beaucoup plus ergonomique. Il existe également 3 types de cellules. La cellule globule blanc, la cellule graisseuse et la cellule anticorps.

Les boss sont de grosses cellules qui aspirent les cellules et qui en produisent en masse.

L'aspect graphique et sonore est totalement revu au goût du jour. L'univers est beaucoup plus cartoon et coloré.

Cette version contient un mode Battle (création de parties aléatoires) et un mode en ligne pour affronter des joueurs du monde entier.

Notes et références

Article publié sur Wikimonde Plus

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