CSD Ingénieurs

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CSD Ingénieurs SA
logo de CSD Ingénieurs

Création 1970
Personnages clés Olga Darazs (Présidente du CA)
Jean-Pascal Gendre (PDG du Groupe CSD) [1]
Forme juridique Société anonyme
Siège social Lausanne,Suisse[2]
Drapeau de la Suisse Suisse
Activité Ingénieurs et planificateurs
Société mère CSD Holding SA[3]
Site web https://www.csd.ch/fr

Chiffre d'affaires en augmentation94.6 millions de CHF (2016) [4],[5]

La société CSD Ingénieurs SA, dont le siège en Suisse romande est établi à Lausanne, est une entreprise suisse de services d'ingénierie[6]. Le groupe CSD compte 30 sites en Suisse et en Europe et fait entre autres partie de la SIA (Société suisse des ingénieurs et architectes)[7] et de l'USIC (Union suisse des sociétés d'ingénieurs-conseils). L'entreprise est active au niveau de l'ingénierie de l'environnement, de la géologie et de la construction. La société propose des solutions dans les domaines de la nature et de l'environnement, des gravières et carrières, des déchets et de la dépollution, de la mobilité, la route et le rail, des quartiers et des bâtiments, ainsi que de l'énergie et de l'eau. CSD Ingénieurs SA fait partie du Groupe CSD (CSD Holding SA)[8],[3].

Histoire

L'entreprise a été fondée par Carlo Colombi, Bernhard Schmutz et Jean-Pierre Dorthe en 1970[9], et l'abréviation CSD est dérivée des trois noms de famille des fondateurs. Elle établissait sa présence en Suisse romande et en Suisse alémanique dès ses débuts et avait des succursales à Fribourg, Berne, Lausanne et Aarau dès 1975. Ses activités principales étaient la géotechnique, la gestion des déchets, le génie civil et l'hydrogéologie. L'entreprise était également active dans plusieurs pays d'Afrique. Encore avant l'entrée en vigueur d'une nouvelle loi fédérale sur la protection de l'environnement, CSD s'était lancée dans les études d'impact environnemental. En 1989, l'entreprise comptait 7 succursales en Suisse, une en Belgique, une au Brésil et une en Allemagne. En 1990, l'entreprise se réorganisait et créait une holding (CSD Holding SA) et des services centraux (CSD Management SA). La géologie, bien que toujours présente dans la société (par l'un de ses fondateurs), devenait l'un des piliers des activités de CSD. Les dernières acquisitions sont les sociétés Henauer Gugler AG (Ingénieur civil à Zurich), WMM Ingenieure AG à Münchenstein, Aster Consulting (ingénieur en environnement à Bruxelles) et Pellissier & Torrenté (ingénieur civil à Sion), tous en 2015[10].

Sociétés du Groupe CSD

  • CSD Holding SA (Givisiez)
  • CSD Management SA (Givisiez)
  • CSD Ingénieurs SA (Lausanne)
  • CSD Ingenieure AG (Liebefeld)
  • CSD Ingegneri SA (Lugano)
  • EUB Prüflabor (Liebefeld)
  • CSD inzinierai UAB (Vilnius, Lituanie)
  • CSD Ingénieurs Conseils SA (Namur, Belgique)
  • CSD Ingenieure Gmbh (Berlin, Allemagne)
  • CSD Engineers s.r.l. (Milan, Italie)
  • Aster Consulting (Bruxelles, Belgique)
  • Henauer Gugler AG (Zurich)[11]
  • Monitron AG (Altdorf)[11]
  • Urbasol SA (Givisiez)[11]
  • WMM Ingenieure AG (Münchenstein)[11],[12]

Sites

Projets

Lien externe

Références

  1. [1], site Internet de CSD Ingénieurs SA, consulté le .
  2. [2] Inscription au registre de commerce du canton de Vaud, consulté le
  3. Revenir plus haut en : 3,0 et 3,1 [3] Inscription au registre du commerce du canton de Fribourg, consulté le .
  4. [4] Bulletin d'information CSD Live 2016, consulté le .
  5. [5] Bulletin d'information CSD Live 2017, consulté le .
  6. [6] Inscription au registre de commerce du canton de Vaud, consulté le
  7. [7] Membres de la SIA, consulté le
  8. [8] Membres de l'USIC, consulté le
  9. « CSD Ingénieurs », sur Editions Bien Vivre, (consulté le )
  10. Histoire, site Internet de CSD Ingénieurs SA, consulté le .
  11. Revenir plus haut en : 11,0 11,1 11,2 11,3 et 11,4 Entreprises du groupe CSD, site Internet de CSD Ingénieurs, consulté le 14 janvier 2019.
  12. Revenir plus haut en : 12,0 et 12,1 Contact, site Internet de CSD Ingénieurs, consulté le 14 janvier 2019.
  13. Karim Di Matteo, « Le projet de géothermie de Lavey tient son chef », VQH,‎ (ISSN 1424-4039, lire en ligne, consulté le )
  14. « La saga très sale de la décharge de Bonfol (JU) », Le Temps,‎ (ISSN 1423-3967, lire en ligne, consulté le )

Article publié sur Wikimonde Plus

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