CompaRecycle
Cet article a été automatiquement importé, son contenu peut être sujet à caution.
Vous pouvez modifier l'article (après avoir créé un compte) pour l'améliorer directement ou retirer ce bandeau si l'article vous semble correct (en supprimant la ligne
{{Article importé}}). Si l'article est trop problématique, il peut être supprimé en retirant tout son texte et en expliquant le motif dans la zone « Résumé » de la page de modification.
| CompaRecycle | |
 Logo de CompaRecycle | |
| Création | 01 juin 2011 |
|---|---|
| Dates clés | 2011 : Ouverture de la plateforme 2012 : Intégration des premiers points de vente physiques |
| Forme juridique | SAS |
| Slogan | « Live your Green ! » |
| Siège social | Igny.svg){kind=small} France
|
| Direction | Gaël Brouard (PDG) |
| Activité | Programmation informatique |
| Produits | Appareils reconditionnés |
| SIREN | 533 616 983 |
| Site web | comparecycle.com |
modifier - modifier le code - voir Wikidata  | |
CompaRecycle est une plateforme comparatrice française d'achat et de vente de smartphones, tablettes et ordinateurs et autres appareils multimédias. Fondée en 2011, elle propose le rachat et le reconditionnement d'équipements de plus de 200 marques.
Fonctionnement
CompaRecycle considère le recyclage des appareils multimédia comme un acte écologique[1] et un moyen pour les consommateurs de regagner du pouvoir d'achat[2].
Le site internet permet aux particuliers de comparer du matériel de téléphonie ou autre matériel multimédia, en vue de l'acheter ou de le recycler[3].
La plateforme s’appuie sur un réseau physique de 12000 points de vente[4] et une application fonctionnant avec la géolocalisation. L'entreprise est donc concurrente de Re commerce, Back Market, Magic Recycle et Rebuy.
Histoire et développement
Gaël Brouard fonde CompaRecycle SAS en juin 2011, après avoir constaté l’émergence du marché du rachat aux États-Unis. Il travaille pour la multinationale Nokia et se demande où vont les millions de smartphones fabriqués par l'entreprise[4].
En 2012, CompaRecycle intègre des points de vente physiques pour compléter l’offre proposée par sa plateforme digitale qui permet pour le client de bénéficier d’un bon d'achat valable immédiatement.
En 2014, SFR est partenaire de CompaRecycle[5]. D'autres partenariats sont ensuite noués avec des distributeurs généralistes comme la Fnac ou Cdiscount[6].
L’entreprise ouvre des bureaux à Shanghai en 2015[7].
En 2018, l’entreprise CompaRecycle s’implante dans des points de vente aux États-Unis.
En 2020, CompaRecycle devient partenaire officiel d'Orange France[8].
Organisation
CompaRecycle compte 4 salariés et 30 personnes en emploi indirect dédié. Le siège de CompaRecycle est situé à Igny, son pole IT est à Lyon et l'entreprise possède une annexe à Andernos-les-Bains, dans le bassin d'Arcachon. En 2019, plus de 850 000 transactions ont été réalisées à travers la plateforme CompaRecycle, représentant plus de 80 millions d'euros de bons d'achats donnés aux consommateurs français. En 2020, ces chiffres se sont élevés à 900 000 transactions, soit 100 millions d'euros en bon d'achat, désormais distribués au niveau européen[réf. nécessaire].
Notes et références
- ↑ « Recycler son téléphone : comment gagner de l’argent en étant écolo »
, sur nouvelobs.com, L'Obs, (consulté le ).
- ↑ Benoist Pasteau avec AFP, « Téléphones : le reconditionnement, un marché en plein essor », sur europe1.fr, (consulté le ).
- ↑ « Le recyclage solidaire des téléphones portables », sur Le nouvel Economiste (consulté le )
- ↑ Revenir plus haut en : 4,0 et 4,1 Pierre Fortin, « CompaRecycle milite pour des smartphones reconditionnés en France », sur Les Echos PLANETE, (consulté le )
- ↑ Grégory Raymond, « Reprise iPhone : Apple lance son programme de recyclage en France », sur Le Huffington Post, (consulté le ).
- ↑ Émilie Torgemen, « Vos vieux téléphones valent de l'or », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ « Pour Noël, la petite entreprise d'Igny vous fait gagner de l'argent en recyclant », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ Le Point Stories, « Passez à l'action grâce au programme RE », sur Le Point, (consulté le )
Article publié sur Wikimonde Plus
Portail des technologies
