Guy-Pierre Geneuil
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{{Article importé}}). Si l'article est trop problématique, il peut être supprimé en retirant tout son texte et en expliquant le motif dans la zone « Résumé » de la page de modification.Guy-Pierre Geneuil (juin 1933 - ) est un gitan qui déclare avoir été immortalisé par Poulbot et avoir été un résistant, un combattant et un garde du corps de De Gaulle.
Biographie alléguée
Il allègue être le petit garçon qui fait pipi dans un ruisseau le pantalon sur les chevilles et un béret sur la tête qui a été dessiné par Poulbot dans les années 1940 à Montmartre[réf. nécessaire].
Il déclare qu'ensuite, à l'âge de 8 ans (1941), il fut emprisonné en tant que gitan dans un camp de concentration en France au camp de Royallieu où il servira de cobaye pour des expériences sur la méningite (qui lui sera administrée) et d'où il s'enfuira à l'âge de 10 ans.
Il soutient qu'ensuite, après un court passage à Montmartre à Paris et pour fuir le régime de Vichy et les nazis, il vivra dans la forêt aux Essarts-le-roi pendant plusieurs années et deviendra même correspondant pour la résistance. Puis qu'à Paris, il devient taxi-boy pour les bourgeoises de la Coupole, peintre renommé, c'est à ce moment qu'il est enrôlé dans les services secrets malgré un daltonisme aigu (niveau infirme civil). Il déclare qu'il est lié aux commandos noirs en Algérie, à l'affaire Ben Barka (et d'autres...), qu'il aura passé beaucoup de temps dans le Maghreb et le Moyen-Orient, et qu'il fut aussi un combattant farouche du[réf. nécessaire] Front de libération nationale algérien qui égorgeait les harkis en France ; et qu'entre temps, il aura été garde du corps de De Gaulle, catcheur, homme de main et récupérateur de dettes.
Enfin, il déclare qu'il a rencontré avec Jean Seberg, une actrice militante pour les opprimés de toutes origines et que c'est avec elle qu'il rencontrera les leaders des Black Panthers dans les ghettos noirs des États-Unis, ainsi que des dizaines d'association antiracistes dans le monde entier.
C'est après le décès de Jean Seberg qu'il écrira son premier livre Le narvalo[1] qui est présenté comme son autobiographie puis Le cambro qui raconte l'histoire des gitans et la vie de voyageur.
Bibliographie
- Le Narvalo, récit, Librairie générale française, 1988, (ISBN 2-253-04668-X)
- Le cambro, Editions J. Boully, 1989, (ISBN 2-87818-001-1)
- Jean Seberg, ma star assassinée, Edition no 1, 1995 (ISBN 2-86391-677-7)
- La symbolique gitane Ed. Dervy, 1993 (ISBN 2-85076-589-9) [2]
Notes et références
- ↑ aux éditions Parpaillou, mars 2001
- ↑ http://www.flamenco-culture.com/Archives/ProvenceTerreGitane.htm
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