Famille de Gibot

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Famille de Gibot
Image illustrative de l’article Famille de Gibot
Armes

Blasonnement D'argent au léopard de sable
Période du XIVe au XIXe siècle
Pays ou province d’origine Maine
Fiefs tenus La Carrelière, Moulin-Vieux, La Perrinière, La Barboire, La Gohelière, La Haye-le-Rosé, Le Sap, Le Landreau, La Mauvoisinière
Demeures château de la MauvoisinièreBouzillé)
Preuves de noblesse
Autres Maintenue en 1667

La famille de Gibot est une famille noble française éteinte originaire du Maine, puis établie en Anjou. Elle s'est éteinte avec Luc Anatole de Gibot (1824-1873).

Histoire

La famille de Gibot est originaire de la Sarthe. Le nom est cité avec Pierre Gibot, allié à Agnès de La Parinière, vivants en 1390[1]. La filiation suivie remonte à 1527 selon Henri Jougla de Morenas[1], et dès 1456 selon François-Alexandre Aubert de La Chesnaye Des Bois[2].

Elle est maintenue dans sa noblesse à trois reprises, en 1667, 1697 et 1714[2], et a possédé les seigneuries de la Périnière[3], Moulinvieux, Portaut, La Carrelière[3] et la Buissonière.

Filiation

  • Jean Gibot, seigneur de la Périnière vivant en 1456 ;
  • Alain Gibot, écuyer, seigneur de la Périnière en 1483, marié à Guillemette de Guého, dont le fils Nicolas épousa en 1527 Renée Urvoi ;
  • François Gibot, écuyer, seigneur de La Carrelière et de Moulin-Vieux, marié en 1558 à Marie de La Boesselière ;
  • Michel de Gibot, né en 1587, seigneur de La Périnière et de Moulins-Vieux, marié le avec Louise de Maridor[4] ;
  • René de Gibot, seigneur du Moulinvieux (Asnières-sur-Vègre), maintenu dans sa noblesse en 1667[1], épousa en 1648 Florence Dorin, dont il eut :
  • Pierre de Gibot, commandeur dans l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[1], d'abord reçu chevalier en 1668[5]
  • Pierre René Gibot, page de la Grande Écurie, marié en 1711 à Anne Louise d'Aubigné, dont la descendance paraît s'être éteinte avec sa petite fille Perrine-Renée.
  • René Louis de Gibot, seigneur de la Perrinière, la Barboire, la Gohelière, la Haye-le-Rosé, le Sap, le Landreau et la Mauvoisinière.
  • Luc René Gibot, né en 1748, allié en 1772 à sa cousine Perrine Renée Gibot ; il comparut dans les assemblées de l'ordre de la noblesse tenues en Anjou lors des États généraux.
  • Luc Jean de Gibot, né en 1787[1], marié en 1813 à Sophie Berault de Boissgirault
  • Luc Anatole de Gibot (1824-1873). Il posséda une partie des statues du cardinal de Richelieu dans le parc de son château de la MauvoisinièreBouzillé)

Armes

  • D'argent au léopard de sable[1]

Références

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 et 1,5 Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, volume 4, page 150
  2. 2,0 et 2,1 François-Alexandre Aubert de La Chesnaye des Bois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire et la chronologie des familles nobles de France, Vve Duchesne, [lire en ligne (page consultée le 2023-03-29)] 
  3. 3,0 et 3,1 Diocèse d'Angers
  4. Bulletin de la Société de la Sarthe, 1889, volume 23
  5. René Aubert de Vertot, Histoire de Malte, Volume 7

Bibliographie

Articles connexes

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