Famille de Stadieu
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de Stadieu | |
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Blasonnement | D'or à la bande de gueules accompagnée en chef d'un épervier de sable et en pointe d'un agneau pascal du même |
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Pays ou province d’origine | Languedoc |
Récompenses militaires | Ordre de la Légion d'honneur, ordre de la Libération, ... |
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La famille de Stadieu est une famille subsistante de la noblesse française originaire des Corbières dans l'Aude[1].
Histoire
Cette famille fut anoblie en 1816 sous la seconde Restauration[2].
Ce patronyme est porté essentiellement dans le Sud-Ouest de la France[3],[4],[5], entre Lagrasse, Narbonne et Castelnaudary.
Jean, également chevalier de l'ordre de Saint-Ferdinand, fut anobli par le roi Louis XVIII en 1816[6]. Son grand-père, Antoine, fut avocat au parlement de Paris sous le règne de Louis XV[réf. nécessaire].
Le château de la famille est situé à Lanet. La famille détient d'autres biens, vignobles et propriétés dans la région.
Généalogie simplifiée
- Émile de Stadieu, né en 1858 et décédé en 1928, juge de paix à Montséret, père de :
- Joseph de Stadieu, né en 1880 et décédé en 1966, notaire à Lagrasse, père de :
- Jacques de Stadieu, né en 1914 et décédé en 2010, commandant, résistant, commandeur de la Légion d'honneur et 941e compagnon de la Libération, administrateur colonial
- Joseph de Stadieu, né en 1880 et décédé en 1966, notaire à Lagrasse, père de :
Armes
- D'or à la bande de gueules accompagnée en chef d'un épervier de sable et en pointe d'un agneau pascal du même
Notes et références
- ↑ Le Correspondant, [lire en ligne (page consultée le 2017-12-19)]
- ↑ Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 177.
- ↑ Généalogie FRANCE - SWIC / GENEALOGY Paris - 01 44 84 95 10, « LA FRANCE DU NOM DE FAMILLE DES DE STADIEU en France entre 1891 et 1915 », sur www.geopatronyme.com (consulté le )
- ↑ « DE STADIEU : popularité du nom DE STADIEU, généalogie des DE STADIEU », sur www.filae.com (consulté le )
- ↑ « Castelnaudary. La riche histoire de l'hôtel de Bataille », ladepeche.fr, (lire en ligne, consulté le )
- ↑ NEXINT, « Conseil Constitutionnel », sur www.conseil-constitutionnel.fr, (consulté le )
Bibliographie
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 177
- Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, tome 6 [lire en ligne]
Articles connexes
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