Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
Britt Le Bret, diminutif de Brigitte Le Bret, est une peintre, portraitiste et sculpteur née à Paris le 19 février 1928. Membre de la Fondation Taylor et de la Maison des artistes, elle est par ailleurs ancienne vice-présidente de Mensa France.
Apparentée au théoricien de l'absolutisme Cardin Le Bret (1558-1655), Britt Le Bret est la petite-fille du tireur sportif Roger de Barbarin(1860-1925), et l'arrière-petite-fille du peintre portraitiste Henri Thomas de Barbarin (1821-1892).
Lauréate de nombreux prix, Britt Le Bret expose dans de grands salons de peinture ou d'arts plastiques, en France et au niveau international : Galerie Bernheim, Grand Palais de Paris, Salon de la Société nationale des Beaux-Arts, Salon des artistes français, Salon d'automne de La Baule. Pour l'académicien René Huyghe, ancien conservateur en chef et professeur à l’École du Louvre, « Britt le Bret a sa place dans l'art moderne »[1],[2]. En 2002, elle illustre un livre de l'auteur Franc Mallet, Le Croisic ou l'île secrète, par une quarantaine de dessins à la plume.
Son nom entre dans le dictionnaire Bénézit[3] en 1999. Elle reçoit le titre de Maître Pastelliste en 2003, « en reconnaissance de son talent personnel et de sa maîtrise technique qui font honneur à l’art du pastel »[4].
Références
↑Sociéte d'études et de publications économiques, « Connaissance des arts », magazine mensuel, no Volumes 662 à 664, , p. 153 (lire en ligne)
↑Dédicace du 19 décembre 1990, dans Les Signes du temps et l’Art moderne de René Huyghe ; Flammarion, 1985