Philippe Cachau

Aller à la navigation Aller à la recherche

Philippe Cachau, né en 1965 à Versailles, est un chercheur français en histoire de l'art.

Historien de l'architecture française du XVIIe au XIXe siècle et de la dynastie des Mansart, particulièrement ses derniers membres, Jean Mansart de Jouy et Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, ainsi que de la succession de Jules Hardouin-Mansart au XVIIIe siècle[1], sujets sur lesquels il travaille depuis plus de 30 ans.

Depuis le début de ses recherches en 1988, Philippe Cachau a rendu ou attribué plus d'une quarantaine d'ouvrages et projets[2] aux cinq Mansart (François Mansart, Jules Hardouin-Mansart, Pierre Delisle-Mansart, Jean Mansart de Jouy, Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne). Il a établi la descendance exacte de Jules Hardouin-Mansart et dressé l'état de sa succession au XVIIIe siècle, ignorées jusqu'à sa thèse soutenue en 2004. On lui doit également l'éclairage autour de la légende des Mansart par l'abbé Claude-François Lambert au XVIIIe siècle. Il a donné plusieurs conférences et est l'auteur de plus d'une trentaine de publications scientifiques sur le sujet Mansart[3].

Philippe Cachau est aussi l'un des principaux historiens de la famille Voyer d'Argenson, l'historien de la cathédrale de Versailles, du château d'Asnières et de l'Hôtel du Palais à Biarritz, le premier historiographe des domaines impériaux de Biarritz et d'Arteaga (Espagne) sur la base de sources inédites et le premier biographe français du prince allemand, le duc Christian IV de Deux-Ponts-Birkenfeld[4].

On trouvera plus loin ses autres sujets de prédilection.

Biographie

Après une maîtrise en 1988-1989 sous la direction du professeur Antoine Schnapper et à un DEA en 1993-1994 à l'Université Paris-IV sous la direction du professeur Jean Guillaume, Philippe Cachau consacre sa thèse à Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, soutenue en 2004 à l'Université Paris 1 sous la direction du professeur Daniel Rabreau. Il est également titulaire du diplôme spécial de muséologie de l'École du Louvre en 1990.

Il travaille durant 25 ans (1985-2010) pour les Musées Nationaux : de 1985 à 1990, pour la Direction des Musées de France, au sein de différents musées (Versailles, Trianon, Malmaison et Port-royal-des-Champs), puis, de 1992 à 2005, à la Réunion des musées nationaux où il occupe diverses fonctions (accueil, commercial) aux musées de Versailles, Picasso et de la Porte Dorée (MAAO) à Paris, puis des Antiquités nationales à Saint-Germain-en-Laye.

De 2006 à 2008, il est attaché de conservation au château de Versailles, puis chercheur associé au Centre de recherche sur le programme "Sciences-et-pouvoir : le prince et le savant dans les cours européennes aux XVIIe-XVIIIe siècles"[5]. En décembre 2008, il représente le Centre de recherche du château de Versailles au colloque international Jules Hardouin-Mansart 1642-1708 (Cité de l'architecture et du patrimoine - Château de Versailles) en tant qu'historien de la famille d'Hardouin-Mansart.

En 2009-2010, il devient chargé de recherche et de diffusion de l'information au sein de la Direction de l'information et de la communication. Il se voit confier les fiches multimédia sur les grandes dates et les artistes du château, recompose entièrement pour le public le plan du domaine national qui n'avait pas été modifié depuis les années 1980, révise entièrement le dépliant du Petit Trianon et rédige les cartels informatifs des salles des Grand et Petit Trianon.

En 2011, il devient chercheur-communicant du patrimoine indépendant. Depuis 2017, il est chercheur associé à l'Université Bordeaux-Montaigne[6].

On lui doit quelques initiatives en matière de collections publiques :

-En 1999, il fait acquérir par la Bibliothèque municipale de Versailles, le carnet de dessins italiens de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, daté de 1735, qu'il publie dans le Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art français en 2007 [7].

-En 2011, il engage auprès de la conservation du château de Versailles, le retour des deux dessus-de-porte de Jean-Baptiste Belin, dit Blain de Fontenay, du musée des Beaux-Arts de Caen au salon de compagnie de l'Empereur du Grand Trianon, opération concrétisée en 2016.

En matière de patrimoine, Philippe Cachau s'est engagé sur plusieurs plans :

-1°) protection et aménagement du patrimoine : dès les années 1990, il participe à la défense des abords de la cathédrale Saint-Louis de Versailles à l'occasion de la réalisation du parking municipal. Il conçoit un projet d'aménagement de la place Saint-Louis et fait des propositions à la municipalité (fontaines, taille des arbres en rideau). Ancien vice-président de l'"Association de sauvegarde du quartier Saint-Louis" de Versailles, Philippe Cachau s'est aussi investi dans d'autres actions pour la protection du patrimoine de sa ville natale (Cour des Senteurs, chapelle de la Providence notamment).

-2°) attributions : outre les réalisations de différents Mansart, on lui doit plusieurs attributions notables : -En 2013, il rend au sculpteur du roi Augustin Pajou le relief du vaste fronton de la grange-écurie du château des Ormes, bâtiment conçu par Charles De Wailly et bâti par Bernard Poyet (1766-1768). Attribution qui fut authentifiée par Guilhem Scherf, conservateur au département des sculptures du musée du Louvre, la même année.

Il rend au grand architecte tourangeau, d'origine parisienne, Pierre Meusnier, quelque peu oublié, la reconstruction du château des Ormes par le comte Marc-Pierre de Voyer de Paulmy d'Argenson, exilé sur ses terres par Louis XV, entre 1757 et 1764, et celle du corps central, dont on ignorait tout, à l'un des architectes majeurs de la Belle Epoque, Alfred Coulomb (1838-1929), daté de 1903-1908.

Dans son article sur le château d'Asnières pour la Société de l'Histoire de l'Art français, n° 2013 (2014), suite aux restaurations effectuées en 2009, Philippe Cachau confirme l'attribution à Charles De Wailly du décor de la salle à manger réalisé en 1754, en faisant ainsi la première réalisation connue de l'architecte. Hypothèse qui avait été avancée par Daniel Rabreau et Monique Mosser dans le catalogue de l'exposition Charles De Wailly en 1979.

-En 2021, il rend au sculpteur Eugène Legrain (1837-1915), artiste oublié mais réputé en son temps, l'exécution du haut-relief néo-gothique de la chapelle royale du château d'Amboise, Charles VIII et Anne de Bretagne adorant la Vierge à l'Enfant (1879-1880), réalisé à l'occasion de la restauration complète de la chapelle pour le comte de Paris. Relief dont l'auteur véritable demeurait ignoré jusqu'à sa parution dans la presse en 2021 [7].

-La même année, dans le cadre d'une étude sur le pavillon du Carré de la forêt de Dreux et sur la base des boiseries du salon du château d'Abondant conservé au Louvre, il rend à Jean Mansart de Jouy (1755-1756) les boiseries du grand salon de la maison de Sylvie au domaine de Chantilly. Attribution qui fit l'objet d'une publication scientifique en 2023 dans les Mémoires de la Société académique de l’Oise, année 2022.

-En janvier 2022, dans le cadre de sa conférence pour la Société archéologique de Touraine, il dévoile le nom de Jean-Baptiste Saint-Joire ou Saint-Joëre comme architecte du marquis Michel-Ange de Castellane à Villandry au XVIIIe siècle. En avril suivant, il identifie l'ancien appartement des marquis de Castellane dans l'aile gauche du château où était autrefois la chapelle du lieu. Ces éléments, comme l'évolution de Villandry au milieu du XVIIIe siècle, sont publiés dans le Bulletin de la Société archéologique de Touraine en 2023 (t.XLVIII, 2022, p. 62-85).

Il réhabilite parallèlement l'activité des premiers membres de la dynastie d'architectes Gabriel en Touraine au XVIIe siècle à travers de nouvelles attributions à Saint-Paterne-Racan (retables de l'église) et au château de la Motte-Sonzay (chapelle). Les découvertes effectuées viennent compléter celle publiée en 2016 relative au projet méconnu d'Ange-Jacques Gabriel pour l'hôtel de ville de Bordeaux, évoquée plus bas.

-En 2023, il rend à Eugène Viollet-le-Duc le projet de la grande tour ou donjon de la résidence impériale d'Arteaga (Espagne), exécuté en 1860 par son confrère Gabriel-Auguste Ancelet en charge des châteaux de Pau et de Biarritz. Il s'agit là de la seule réalisation attestée du grand architecte médiéviste à l'étranger, révélée à l'occasion d'une confrence pour le Souvenir napoléonien en juin 2023.

D'autres édifices furent rendus par lui à des architectes moins réputés, signalés ici : http://philippecachau.e-monsite.com/blog/architectes-et-batiments-2011-2023.html

- 3°) publications : en 2009, Philippe Cachau publie, avec le concours de plusieurs mécènes (Institut de France, Société des amis de Versailles, Ville de Versailles, Conseil général des Yvelines), un ouvrage sur la cathédrale Saint-Louis de Versailles, en collaboration avec Xavier Salmon, directeur scientifique du musée national du château de Fontainebleau, et Xavier Guenez, photographe (préface de Mgr Eric Aumonier, évêque de Versailles)[8]. Contrairement à la peinture, à la sculpture ou aux arts décoratifs, l'architecture religieuse de cette période ne suscitait alors guère l'intérêt des historiens de l'art qui considéraient souvent la première moitié du XVIIIe siècle comme la simple continuité du siècle précédent.

En 2016, il publie dans la Revue Archéologique de Bordeaux (t.CV, année 2014), les projets inédits d'Ange-Jacques Gabriel et de Jacques-Germain Soufflot pour l'hôtel de ville de Bordeaux, conservés aux Archives municipales. Projets qu'il découvrit à l'occasion de ses recherches sur l'activité du dernier des Mansart dans la capitale girondine.

La même année, il rappelle dans La Revue des Amis du Cadre noir de Saumur (n° 89, p.57-60), l'importance des haras d'Asnières, bâtis en 1752-1755 par Marc-René de Voyer de Paulmy d'Argenson, dans les réalisations du genre au XVIIIe siècle, encore négligés parfois par certains spécialistes ou institutions françaises.

En 2017, il publie divers articles sur Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne et le château d'Asnières. Il lance également la publication de la correspondance inédite de Julien-David Le Roy avec le marquis Marc-René de Voyer d'Argenson (1722-1782), conservée à Poitiers. Correspondance qui marque une étape importante dans la connaissance de cette personnalité majeure de l'hellénisme français des XVIIIe-XIXe siècles et qui fut publiée intégralement dans le Journal des savants en juin 2020. Cette publication lui vaut d'être convié en novembre 2021 à la séance annuelle de l'Académie des inscriptions et belles-lettres. C'est la seconde fois, après le mécénat de son ouvrage sur la cathédrale Saint-Louis de Versailles en 2009, qu'il est ainsi honoré par l'Institut de France.

En 2022, il livre dans les actes du colloque Jacques-François Blondel (éd. Mardaga), tenu à la Cité de l'architecture et du patrimoine en décembre 2017, sa 21e publication sur le sujet Mansart et alliés.

- 4°) manifestations culturelles : de 2011 à 2014, il concourt, à travers les "Journées d'histoire" et la création des annales, à la promotion du château des Ormes (Vienne), ancienne propriété de la famille Voyer d'Argenson. Il publie en 2013, avec le service de l'Inventaire Poitou-Charentes, un ouvrage sur le château des Ormes - le premier sur ce thème -, préfacé par Mme Ségolène Royal, Présidente de Région. Outre l'attribution à Pierre Meusnier (1702-1781), il y rappela le rôle joué par des artistes aussi importants que les architectes Bernard Poyet (1742-1824) et Jean-Pascal Lenot (1748-18??) sous la direction de Charles De Wailly, les peintres Pierre Lenfant (1704-1787) et François Valentin (1738-1805), ou le sculpteur Augustin Pajou.

- 5°) études) : A compter des années 2000, il rédige diverses études patrimoniales pour le Conseil départemental de l'Essonne, contribuant à la découverte d'aspects oubliés de son patrimoine et de l'histoire des communes concernées (Domaine de Montauger à Lisses, châteaux d'Etiolles, châteaux de Fontenay-le-Vicomte, moulin XVIIIe et papeterie XIXe d'Echarcon, domaine de Gravelles à Etréchy, château de Bellejame à Marcoussis, partagé entre le Centre national de Rugby et le Département, bois des Montils sur les communes de Champcueil, Chevannes et Auvernaux, inventaire archivistique et bibliographique des vallées de la Juine et de l'Essonne, étude du fonds Darblay des Archives départementales).

En 2013, sur la base du fonds de la famille Voyer d'Argenson conservé à l'Université de Poitiers, il livre une étude approfondie des décors de l'hôtel de Voyer à Paris, ex-Chancellerie d'Orléans, qui servit de base à leur remise en place au rez-de-chaussée de l'hôtel de Rohan, dans le quadrilatère des Archives nationales, opération inaugurée en octobre 2021. Dans cette étude, il rend à Augustin Pajou les cariatides canéphores de la salle à manger omises dans le catalogue de l'exposition du Louvre sur l'artiste en 1997.

Il se voit confier en 2016, par la direction générale de l'Hôtel du Palais à Biarritz, ancienne résidence impériale et unique palace français de la côte atlantique, la réalisation d'un important ouvrage sur l'établissement, des origines à nos jours, qui révise largement son histoire sur la base de documents inédits (à paraître). Ceci lui vaut en 2017 la réalisation d'une recherche sur Alfred Boulant (1855-1927), casinotier célèbre en son temps, self-made man de l'hôtellerie de luxe et roi de Biarritz à la Belle Epoque et durant les Années folles.

Dans une étude sur les chapelles nord de la cathédrale de Bayonne pour la DRAC Aquitaine en 2020, il rétablit le lien entre le chantier décoratif de la cathédrale avec la chapelle impériale de Biarritz sous le Second Empire à travers les personnalités d'Emile Boeswillwald et d'Auguste Steinheil.

- 6°) recherches : en 2018, il réalise une vaste recherche documentaire pour le château de Villandry, du XVe au début du XXe siècle. La même année, il participe au programme de recherche sur les origines du style rocaille dans la marine de l'Université d'Aix-la-Chapelle[9], étendu en 2019 à l'étude des fameuses boiseries du château de Rambouillet pour le comte de Toulouse.

Philippe Cachau se livre en 2019 à une recherche approfondie et inédite sur le domaine impérial de Biarritz (articles papier et en ligne, hors-série), longtemps oublié des historiens au profit de la seule Villa Eugénie. Par cette recherche, il établit le parallèle instructif entre Louis XIV à Versailles et Napoléon III à Biarritz, deux modestes villages devenus, par le fait de la résidence du souverain, deux cités au développement exceptionnel, marquée par le style brique et pierre des résidences. Ses travaux donnent lieu à une série de conférences dans les deux villes et pour le Souvenir napoléonien. Il lance parallèlement la réhabilitation de l'esthétique brique et pierre, dite "Louis XIII", de Biarritz, malmenée par les considérations du XXe siècle sur l'architecture du XIXe siècle et sur Napoléon III[10]. Un hors-série de la Revue Napoléon III est publié en juillet 2020 à ce propos sous le titre Biarritz sous le Second Empire, 1854-1870 avant son grand ouvrage sur le sujet (à paraître).

En 2020-2021, ses recherches dans le fonds de la Fondation Saint-Louis aux Archives Nationales pour l'étude préalable du chantier de restauration de la chapelle Saint-Hubert du château d'Amboise (2021-2023) le conduisent à reconsidérer l'approche de cette ancienne résidence royale, limitée principalement jusqu'ici aux XVe-XVIe siècles. Dans cette étude, Philippe Cachau l'établit, avec le château de Chantilly, comme l'une des grandes réalisations de la Maison d'Orléans via les travaux de rénovation et de remise au goût du jour du roi Louis-Philippe effectués dans les années 1840 et sa descendance à compter de 1873 et jusqu'au début du XXe siècle, à savoir Philippe d'Orléans (1838-1894) et son fils Philippe d'Orléans (1869-1926), comtes de Paris, petit-fils et arrière-petit-fils du roi des Français.

En 2021, il identifie les plans et l'élévation du second château d'Asnières, celui de Madame de Parabère, célèbre maîtresse du Régent, réalisés en 1698 par l'architecte Jean-François Lepaultre (165?-1703) ignoré jusqu'ici. Dessins qui furent exécutés en 1699 et présentés en novembre dans le cadre d'une conférence pour les Amis du Château.

- 7°) promotions : Philippe Cachau contribue en 2015, via la presse locale et nationale, ainsi que les réseaux sociaux, à la reconnaissance de la collection de portraits, meubles et objets d'art de la famille de Gramont, méconnue jusqu'ici, seulement connue localement (Pays basque). On lui doit ainsi la page Facebook de la collection[8].Cette reconnaissance donna lieu à l'exposition L'air de famille. Les enfants de la collection Gramont, tenue au Musée basque de Bayonne en février-mai 2018 en attendant son exposition définitive dans la cité basque.

Par une conférence au musée basque et de l'histoire de Bayonne en avril 2015 et un article en ligne qui suit, il rappelle l'intérêt de la maison Brethous de Bayonne [9], seule réalisation architecturale avérée de Juste-Aurèle Meissonnier, suscitant l'intérêt de l'Université d'Aix-la-Chapelle dans le cadre de son programme sur les origines du style rocaille.

- 8°) mécénat : il organise en 2016 une conférence avec M. Jean-Jacques Aillagon pour la promotion au Pays basque de sa loi de 2003 sur le mécénat culturel et patrimonial en collaboration avec la CCI Bayonne-Pays Basque et l'Agglomération Côte Basque-Adour (Bayonne-Anglet-Biarritz)[11].

- 9°) communication : outre les pages facefook de la Collection Gramont de Bayonne en 2015 et Patrimoine de Touraine en 2020, Philippe Cachau lance en 2021 un compte X dans lequel il évoque des sujets variés d'histoire de l'art qui lui sont chers, souvent méconnus.


Ouvrages

  • Les Mansart. Trois générations de génies de l'architecture, Paris (à paraître).
  • L'Hôtel du Palais Biarritz. De la Résidence Impériale au Palace, Biarritz (à paraître).
  • Le château d'Asnières, des origines à nos jours. Un ensemble exceptionnel en bordure de Seine (à paraître).
  • Le domaine impérial de Biarritz. Versailles et Trianon sur la côte basque, Paris (à paraître).
  • Biarritz sous le Second Empire, 1854-1870, Sotéca, Paris, 2020.
  • Beaumont-la-Ronce. Un château en Touraine, La Simarre, Joué-lès-Tours, 2019.
  • Le marquis de Voyer (1722-1782) : l'homme, le parent, l'ami, le politique et le mécène, annales de la journée d'histoire 2013 au château des Ormes, Narratif, Châtellerault, 2014.
  • Le château des Ormes, coll. "Itinéraires du Patrimoine", Service régional de l'Inventaire de Poitou-Charentes, préface de Ségolène Royal, présidente de la Région Poitou-Charentes, La Geste, Poitiers, 2013.
  • La cathédrale Saint-Louis de Versailles : un grand chantier royal du règne de Louis XV, préface de Mgr Eric Aumonier, évêque de Versailles, Somogy, Paris, 2009.
  • L'histoire de l'art pour les nuls, First, Paris, 2006.

Ouvrages collectifs

  • "Blondel et les Mansart : une leçon d'architecture particulière", Jacques-François Blondel. La dernière leçon de l'architecture "à la française", Aurélien Davrius (dir.), Mardaga, Bruxelles, 2022, p. 33-59.
  • "L’hôtel de ville de Marseille. Vicissitudes de l’aménagement urbain sous Louis XV", Hôtels de Ville. Architecture publique à la Renaissance, Alain Salamagne (dir.), PUR/Presses universitaires François Rabelais, Rennes/Tours, 2015, p.319-344.
  • Notice sur le château de Sagonne et généalogies des Mansart, Jules Hardouin-Mansart 1646-1708, Alexandre Gady (dir.), Éditions de la Maison des Sciences de l’Homme, Paris, 2010, p. 302-303, 570-571.
  • Notices sur l’hôtel de ville et la place royale de Marseille au XVIIIe siècle, De l'Esprit des Villes. Nancy et l'Europe urbaine au Siècle des Lumières 1720-1770, Jean-Marie Pérouse de Montclos - Alexandre Gady (dir.), cat. expo. Nancy, Musée des Beaux-Arts, 7 mai-22 août 2005, Artlys, Versailles, 2005, p. 356-357.
  • "L’inventaire de Jean Mansart de Jouy ou la fin de la dynastie des Mansart", Le Livre et l'Art. Etudes offertes en hommage à Pierre Lelièvre, Bruno Foucart et Thérèse Kleindienst (dir.), Somogy/Énssib, Paris/Villeurbanne, 2000, p. 293-304.
  • "L’hôtel de Saint-Chaumont", Le Quartier de Bonne Nouvelle, Werner Szambien (dir.), Délégation Artistique de la Ville de Paris, Paris, 1999, p.87-92.
  • Douze notices sur Versailles, Dictionnaire des Monuments d'Ile-de-France, Georges Poisson (dir.), éditions Hervas, Paris, 1999.
  • "Les projets de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne pour la place Louis XV de Paris (1748-1753)", Paris, capitale des arts sous Louis XV, Daniel Rabreau (dir.), Annales du Centre Ledoux, tome 2, William Blake & Co, Art & Arts, Paris/Bordeaux, 1998, p. 129-147.

Publications scientifiques

  • "La papeterie d’Écharcon : une aventure industrielle au bord de l’Essonne", Bulletin de la Société historique et archéologique de l’Essonne et du Hurepoix, n° 93, 2024, p. 117-158.
  • Le château de Maisons revu par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, 1747, article en ligne, octobre 2024.
  • "Les Leroy : portrait d’une grande famille d’industriels essonniens", Bulletin de la Société historique et archéologique de l’Essonne et du Hurepoix, n° 92, 2023, p. 181-207.
  • "De Dreux à Chantilly : les boiseries du Pavillon du Carré à la Maison de Sylvie (1881-1886)", Mémoires de la Société académique de l'Oise, t. XLV, 2022 (2023), p. 146-167.
  • "Métamorphose de Villandry au XVIIIe siècle : les superbes aménagements du comte Michel-Ange de Castellane (1756-1775)", Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. LXVIII, 2022 (2023), p. 62-85.
  • "Une grande famille de marins et d’explorateurs français : les Petit-Thouars", Bulletin de la Société des Lettres, Sciences & Arts du Saumurois, n° 171, mars 2023, p. 35-62.
  • "Blondel et les Mansart : une leçon d’architecture particulière", Jacques-François Blondel, la dernière leçon d’architecture « à la française », actes du colloque international Jacques-François Blondel, Cité de l’Architecture et du Patrimoine, Aurélien Davrius (dir.), Mardaga, Bruxelles, 2022, p. 33-53.
  • "Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne – Pierre Meusnier : les vraies origines du Palais du Commerce de Tours (1757-1759)", Bulletin de la Société archéologique de Touraine, t. LXVI, 2020 (2021), p. 81-94.
  • "Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, Premier architecte des Etats de Bourgogne (1742-1746-1776)", Revue Dijon Histoire et Patrimoine, n° 81, 2021, p. 17-29.
  • "Julien-David Le Roy (1724-1803). Correspondance avec le marquis de Voyer (1766-1777)", Le Journal des Savants, n° I – 2020, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, p. 211-307.
  • "Biarritz sous le Second Empire. 1854-1870", hors-série Napoléon III – Revue du Souvenir napoléonien, juin 2020.
  • Notices pour Allgemeines Künstler Lexikon sur Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (2011), François Mansart (2015), Jean Mansart de Jouy (2015), Jules-Antoine Rousseau (2017), Louis-François Trouard (2019), Jules-Thomas Thibault (2020), Charles-Alphonse Thierry (2020), Adolphe Thiers (2020), Félix Thomas (2020), Giacomo Torelli (2020), Joseph-Albert Tournaire (2020),
  • "Le Buen Retiro de Robert de Cotte à Madrid, premier grand projet architectural de Philippe V 1708-1715)", Cuadernos dieciochistas, Revista de la Sociedad Espaňola del Siglo XVIII, Université de Salamanque, novembre 2019, p. 443-493.
  • "Les canaux de la Juine, de l’Essonne et de la Rimarde au XVIIIe siècle. Projets de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne et consorts (1759-1767)", Essonne et Hurepoix, Bulletin de la Société historique et archéologique de l’Essonne et du Hurepoix, n° 87, 2017, p. 7-70.
  • "Deux architectes français au service de Christian IV des Deux-Ponts : Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne et Pierre Patte", Saarpfalz. Blätter für Geschichte und Volkskunde, n ° 3, 2018, p. 37-51.
  • "De Jules Hardouin-Mansart à Jacques Hardouin-Mansart de Lévy : Les Mansart, une dynastie en Bourbonnais", Bulletin de la Société d’Emulation du Bourbonnais, décembre 2017, p. 558-567.
  • "Le duc et la marquise. Correspondance inédite de Christian IV et de madame de Pompadour", Château de Versailles, n° 26, juillet-août-septembre 2017, p. 52-53.
  • "Le mécénat du marquis de Voyer au château et aux haras d'Asnières-sur-Seine : enjeux politiques et culturels (1750-1755)", Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art français, année 2013, 2017, p. 139-171.
  • "Le fabuleux ensemble de M. Boutin, rue de Richelieu", Paris au cœur, Bulletin de la Société historique et archéologiques des 1er et 2e arrondissements de Paris, n° 7, 2017, p. 7-9.
  • "Solférino. Napoléon III à la conquête de l’ouest", Le Festin, n° 100, hiver 2017, p. 48-53.
  • "L’entrepôt général d’Asnières ou les beaux haras oubliés du marquis de Voyer (1752-1755)", Revue des Amis du Cadre noir de Saumur, n° 89, 2016, p. 57-60.
  • "Les Mansart. Une grande dynastie d'architectes", Bulletin de la Société des Amis du château de Maisons, n° 11, 2016, p. 5-26.
  • "L’église des Carmes-Billettes : une église d’après Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1744-1758)", Bulletin de la Société de l’Histoire de Paris et de l’Ile-de-France, année 2014, 2016, p. 95-106.
  • "Projets de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne pour l'hôtel de ville et le clocher de Saint-Michel de Bordeaux", Revue de la Société archéologique de Bordeaux, t. CXV, année 2014, 2016, p. 93-109.
  • "François Huguény, premier maire de Beaumont-de-Lomagne et parent des Mansart", Les Cahiers de la Lomagne, n° 22, année 2016, p. 31-45.
  • "Un Mansart au Pays basque : le projet de canal Atlantique-Méditérranée de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, dernier des Mansart", Bulletin de la Société des Sciences, Lettres et Arts de Bayonne, n° 170, 2015, p. 11-44.
  • "L'hôtel de ville de Marseille. Vicissitudes de l'aménagement urbain sous Louis XV", Hôtels de ville. Architecture publique à la Renaissance, ouvrage collectif sous la direction d'Alain Salamagne, Rennes et Tours, 2015, p. 319-344.
  • "Les architectes du château des Ormes du XVIIIe au XXe siècle : Meusnier, De Wailly, Coulomb", Revue historique du Centre-Ouest, t. XII, 2e trimestre 2013, Poitiers, 2015, p.331-347 (version remaniée et annotée de l'article de 2012).
  • "Le monastère royal de Prouille au XVIIIe siècle : la reconstruction par Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, architecte du roi", Mémoire Dominicaine, n° 32, 2015, p. 82-163.
  • "Le "goût de la bâtisse" du marquis de Voyer", Annales de la journée d’histoire 2013 du château des Ormes, Châtellerault, 2014, p. 21-58.
  • "Le château de Christian IV, duc des Deux-Ponts, à Jägersburg. Un château français en Allemagne (1752-1756)", revue Francia, n° 39, Institut historique allemand, Paris, 2012, p. 135-165.
  • "Pierre Meusnier, Charles De Wailly, Alfred Coulomb : les architectes du château des Ormes du XVIIIe au XXe siècle", Le Picton, n° 216, novembre-décembre 2012, p. 2-7.
  • "Le château de Jossigny : une réalisation pittoresque de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne", Les Cahiers d'Histoire de l'Art, n° 9, 2011 (1ère partie), p. 52-71 et n° 10, 2012 (2e partie), p. 60-74.
  • "Les hôtels de Beauvillier, de Chevreuse et Colbert de Croissy : Trois réalisations méconnues de Jules Hardouin-Mansart à Versailles", Revue de l’histoire de Versailles et des Yvelines, t. 93, décembre 2011, p. 20-38.
  • "La descendance de Jules Hardouin-Mansart : illustres et inconnus", colloque international Jules Hardouin-Mansart (1646-1708), Cité de l'Architecture, Paris - Château de Versailles, décembre 2008, [article en ligne][10], 2011 (31 p. ; article escamoté dans les actes du colloque publiés par Alexandre Gady en janvier 2020).
  • Notice sur le château de Sagonne et généalogies authentiques de François et Jules Hardouin-Mansart, Jules Hardouin-Mansart (1646-1708), ouvrage collectif sous la direction d’Alexandre Gady, Paris, 2010.
  • "Le château de Jules Hardouin-Mansart à Sagonne", Bulletin de la Société archéologique du Centre, mars 2009, n° 177, p. 25-38.
  • "La maison des Musiciens Italiens de Montreuil à Versailles", Cahier Philidor, n° 35, décembre 2008, p. 1-59 (pdf sur Centre de Musique Baroque de Versailles, http://philidor.cmbv.fr).
  • "Un Mansart en Italie : le carnet de dessins de Mansart de Sagonne (1735)", Bulletin de la Société de l’Histoire de l’Art Français, 2007, p. 157-171.
  • Notices sur l’hôtel de ville et la place royale de Marseille au XVIIIe siècle, De l’esprit des villes, catalogue de l'exposition du Musée des Beaux-arts de Nancy sous la direction de Pierre Rosenberg et de Jean-Marie Pérouse de Montclos, Nancy, 2005, p. 356-357.
  • "Los proyectos del arquitecto francés Mansart de Sagonne para los canales del Ebro y del Manzanarés (1768)", Archivo de Arte Español, Madrid, 2001, p. 80-88.
  • "L’inventaire de Jean Mansart de Jouy ou la fin de la dynastie des Mansart", Le livre et l’art. Mélanges Pierre Lelièvre sous la direction de Bruno Foucart, professeur de l'université Paris IV, et Thérèse Kleindienst, secrétaire générale honoraire de la Bibliothèque nationale de France, Paris, 2000, p. 293-304.
  • "Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne : un digne successeur de François Mansart", actes du colloque "Mansart et compagnie", Les Cahiers de Maisons, n° 27-28, 2000, p. 134-149.
  • "L’hôtel de Saint-Chaumont", Le quartier de Bonne Nouvelle sous la direction de Werner Szambien, directeur de recherche au C.N.R.S., Délégation Artistique de la Ville de Paris, Paris, 1999, p. 87-92.
  • Douze notices sur Versailles, Dictionnaire des Monuments d’Ile-de-France sous la direction de Georges Poisson, conservateur général du Patrimoine, Paris, éd. Hervas, 1999.
  • "Les projets de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne pour la place Louis XV de Paris (1748-1753)", Paris, capitale des arts sous Louis XV, annales du Centre Ledoux, tome 2, Paris-Bordeaux, 1998, p. 129-147.
  • "Un projet inédit de place royale et d’hôtel de ville à Marseille par Mansart de Sagonne (1752)", Bulletin Monumental, 1996, n° 1, p. 129-147.
  • "Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne ou l’art du dernier des Mansart", Bulletin de la Société de l’Histoire de l’Art Français, année 1993, 1994, p. 85-100.

Études et Recherches

  • Versailles sous le Second Empire, recherche personnelle, 2023.
  • La résidence impériale d'Arteaga (Espagne), recherche personnelle, 2022-2023.
  • Eglise du Père éternel à Argenson, des origines à nos jours, étude privée, 2023.
  • Le bois des Montils - DGAC. Champcueil-Chevannes-Auvernaux, Conseil départemental de l'Essonne, Conservatoire des Espaces naturels sensibles, 2023.
  • Le parc départemental de Bellejame à Marcoussis. Etude historique et analyse du site, Conseil départemental de l'Essonne, Conservatoire des Espaces naturels sensibles, 2022-2023.
  • Le Chêne, Garget et moulin de Garget à Pernay, étude privée, 2022.
  • Église Saint-Martin de Luceau. Histoire - Architecture - Patrimoine, commune de Luceau (Sarthe), 2022.
  • Le domaine du marais départemental de Gravelles à Etréchy. Etude historique et analyse du site, Conseil départemental de l'Essonne, Conservatoire des Espaces naturels sensibles, 2021.
  • Petit-Thouars. Une grande famille, un château et un vignoble en Touraine, étude privée, 2021.
  • Recherche documentaire sur le château de la Motte à Sonzay (Indre-et-Loire, XVIIe-XXe siècles), 2021.
  • La papeterie d’Écharcon. Étude historique et architecturale, Conseil départemental de l’Essonne, Conservatoire des Espaces naturels sensibles, 2021.
  • Le pavillon de chasse du comte d’Eu en Forêt de Dreux (1756), étude privée, 2021.
  • Cathédrale de Bayonne. Étude des chapelles nord, Agence Thouin, Agen, DRAC Aquitaine, 2020.
  • Domaine de la Mulonnière. Histoire et Patrimoine. Étude historique et architecturale, société La Forêt des Arts, Saint-Antoine-du-Rocher, 2020.
  • Château d’Amboise. Montée de l’Émir Abd-El-Kader - Chapelle Saint-Hubert - Terrasses et Puits, étude historique et architecturale, Agence Barthélémy, 2020.
  • Château de Frau à Thizay (Indre-et-Loire). Analyse historique et architecturale, étude privée, 2020.
  • Ferme de Montauger. Etude historique et diagnostic, Conseil départemental de l’Essonne, Conservatoire des Espaces naturels sensibles, 2019.
  • Recherche documentaire aux Archives nationales pour l’Université de Sciences Appliquées d’Aix-la-Chapelle sur les appartements du comte de Toulouse au château de Rambouillet, 2019.
  • Recherche documentaire du XVe au XXe siècle pour le château de Grillemont aux Archives départementales d’Indre-et-Loire et aux Archives nationales, 2018 – 2019.
  • Abbaye Saint-Pierre de Mas Grenier (Tarn-et-Garonne). Histoire – Architecture –Documents, SCI Abbaye Saint-Pierre à Mas Grenier, novembre 2018.
  • Recherche documentaire du XVe au XXe siècle pour le château de Villandry aux Archives départementales d’Indre-et-Loire et aux Archives nationales, 2018.
  • Recherche documentaire dans les ports de France pour le programme Die Übertragung des style rocaille vom Schiffbau auf die Architektur. Genese und Gestaltungsprinzipien des frühen Rokoko in den französischen bâtiments particuliers, 1715-1735, Centre Geschichte und Theorie der Architektur, Université des Sciences Appliquées, Aix-la-Chapelle, 2017-2020.
  • Recherche documentaire sur Alfred Boulant (1855-1927), casinotier, hôtelier et roi de Biarritz, Trouville et Saint-Sébastien (Espagne) à la Belle Epoque et durant les Années folles, 2017.
  • Recherche documentaire aux Archives nationales sur le phare de Biarritz pour le service Phares et Balises des Pyrénées Atlantiques, 2017.
  • Etude historique sur l’Hôtel du Palais à Biarritz, des origines à nos jours, Hôtel du Palais, Biarritz, 2016-2017.
  • Etude historique du dépôt Lescure à Bordeaux, département transports Bordeaux Métropole, 2016.
  • Les décors de l’hôtel de Voyer d’Argenson, dit Chancellerie d’Orléans. Recherche et analyse des trois pièces sur le jardin du Palais-Royal, World Monuments Fund Europe, 2013.
  • Etude historique du domaine de Bon Repos à Viroflay (Yvelines), Association « Sauvegarde et Renaissance de Bon Repos », 2012.
  • Etude du fonds Darblay des archives départementales de l’Essonne dans les vallées de la Seine et de l’Essonne, Conseil général de l’Essonne, 2009.
  • Etude historique du domaine de Fontenay-le-Vicomte, Conseil général de l’Essonne, 2008.
  • Etude historique de la plaine des Coudrais à Etiolles, Conseil général de l’Essonne, 2007.
  • Etude historique des basses vallées de l’Essonne et de la Juine. Inventaire archivistique et bibliographique, Conseil général de l’Essonne, 2005.
  • Domaine départemental de Montauger (Lisses – Villabé – 91). Etude historique et architecturale, Conseil général de l’Essonne, 2004.

Liens externes

Notes et références

  1. Etudes Mansart Architecture XVIIe-XVIIIe Recherche et communication patrimoniale
  2. [1]
  3. [2]
  4. [Outre sa thèse soutenue en 2004 à Paris-I où il a beaucoup développer la personnalité du marquis de Voyer, il est l'auteur d'une huitaine de publications ou d'études à son propos. Il a organisé deux journées d'histoire sur cette famille au château des Ormes (Vienne) en 2013 et 2014. La personnalité du duc des Deux-Ponts et ses liens diplomatiques, militaires et artistiques avec la France ont été développé pour la première fois en France dans sa thèse soutenue à Paris-I (t. I, p. 483-499 et t. II, p. 1178-1183). Voir Publications scientifiques et http://www.philippecachau.fr/]
  5. [3]
  6. [4]
  7. Modèle {{Lien web}} : paramètre « url » manquant. « https://www.lanouvellerepublique.fr/loisirs/patrimoine/amboisse-le-dernier-secret-du-relief-de-la-chapelle-saint-hubert-revele?queryId%5Bquery1%5D=57cd2206459a452f008b4594&queryId%5Bquery2%5D=59033c15479a4595008b4571&page=13&pageId=59495b53479a45e9008b45b9 » (consulté le )
  8. « La cathédrale Saint-Louis de Versailles | Somogy éditions d'Art », sur www.somogy.fr (consulté le )
  9. [5]
  10. [6]
  11. Le Mécénat culturel et patrimonial : conférence animée par Jean-Jacques Aillagon jeudi 7 juillet 2016 à 19h - CCI Bayonne Pays Basque

Article publié sur Wikimonde Plus

  • icône décorative Portail de l’architecture et de l’urbanisme
  • icône décorative Portail de l’histoire de l’art
  • icône décorative Portail de Versailles