Yvan Reverdy
Yvan Reverdy | ||
Naissance | Gruissan, Aude |
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Décès | (à 91 ans) Montauban, Tarn-et-Garonne |
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Origine | France | |
Allégeance | Armée française FFC FFI |
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Arme | Chasseurs à Pied | |
Grade | Colonel (1958) | |
Années de service | 1923 – 1959 | |
Commandement | 38e RI, 94e RI "La Garde" | |
Conflits | Seconde Guerre mondiale, guerre d'Algérie | |
Distinctions | Commandeur de la Légion d'honneur Médaille de la Résistance Croix de guerre 1939-1945 Croix de la Valeur Militaire 9 citations (dont 4 à l'ordre de l'Armée) Président de l'Académie de Montauban (1982-1983) |
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Yvan Marie Camille Étienne Paul Reverdy (1904-1996), est un officier d'Infanterie et résistant français durant la seconde Guerre mondiale. Historien et littérateur après sa carrière militaire, il sera membre de l'Académie de Montauban pendant plus de 20 ans et réalisera plusieurs ouvrages et conférences sur des personnalités régionales.
Biographie
Enfance
Yvan Reverdy est né dans le berceau familial maternel le 14 août 1904, à Gruissan (Aude). Il fait ses études dans plusieurs lycées, collèges, au gré des situations de son père, conservateur des hypothèques, et termine ses études secondaires au collège de Sorèze[1] (1921-22)[2] : dans la Division des Collets Rouges, il est admis en tant que membre titulaire de l'Athénée en présentant « L'amour dans la Phèdre de Racine »[3].
Formation militaire
Engagé à 18 ans et demi au 166e régiment d'infanterie, il réussit à le suivre, sans avoir fait ses classes, dans la seconde Occupation de la Ruhr puis en Rhénanie où son régiment change de numéro et devient le 23e régiment d'infanterie[4].
Entré à l'École Militaire de l'Infanterie et des Chars de Combat de Saint-Maixent (Sarthe), son rang de sortie lui permet de choisir un régiment de tirailleurs en Algérie, le 9e régiment de tirailleurs algériens, qu'il rejoint en 1930. À Theniet El Had, garnison isolée sur les hauts-plateaux du Sersou, il prend contact avec ces populations nomades et ksouriennes qui s'y côtoient et auxquelles il restera profondément attaché[4]
Seconde Guerre mondiale
C'est avec les hommes du 14e régiment de tirailleurs algériens, comme capitaine qu'il fait la campagne de France en 1940 au cours de laquelle, pour son action dans ce que les Allemands appellent "Die grüne Hölle von Inor"[5](l'enfer vert d'Inor), il sera cité à l'ordre de l'armée et fait chevalier de la Légion d'honneur. Blessé au combat de Montplonne (Meuse), prisonnier de guerre en fin de combat sur la colline inspirée de Saxon-Sion (Meurthe-et-Moselle), le 22 juin, après l'armistice, il est interné à l'Oflag VIA (Soest, 80 km à l'est de Dortmund). Moins d'un an plus-tard, il est rapatrié en France pour raisons sanitaires, car il a simulé une maladie tropicale qui terrorise les Allemands, sans grande expérience coloniale[6].
En mai 1941, affecté en civil à l'état-major du Groupe de Subdivisions de Montauban, il camoufle avec l'aide de sa femme et de son beau-père un important stock d'armes dans leur propriété à l'initiative du colonel Mollard[7] et de son réseau CDM[8], entrant de fait dans la Résistance intérieure française[9].
En 1942, ayant repris l'uniforme, il est affecté à l'état-major du général de Monsabert à Blida (Algérie) qu'il ne peut rejoindre, les Allemands ayant envahi la Zone libre. Avec le lieutenant-colonel René Gillis[10], ils créent alors un réseau de renseignements rattaché aux Réseaux "Gilbert", fondé par le colonel Georges Groussard, qui lui-même dépend de Londres. En parallèle, il est l'adjoint de Gillis nommé Délégué territorial de l'ORA (Organisation de Résistance de l'Armée) pour le Tarn-et-Garonne, le Lot et le Lot-et-Garonne. En janvier 1944, il est arrêté sur dénonciation à Narbonne au cours d'une mission, heureusement pour lui, par la gendarmerie militaire allemande. Ce qui lui vaudra, après six mois de cellule au Fort Montluc[11] (rendu tristement célèbre par le sinistre Klaus Barbie) à Lyon, de passer devant un tribunal militaire allemand et d'échapper à la Gestapo. Voici l'extrait de la citation qui en témoigne : "A fait preuve d'un sang-froid et d'un courage admirables, parvenant à se débarrasser des renseignements militaires en clair qu'il portait. A donné au cours des interrogatoires répétés qu'il a subis, des explications habiles qui ont égaré les soupçons de la police allemande. A évité ainsi l'arrestation d'autres membres de son organisation, permettant au Réseau de continuer à fonctionner jusqu'à la Libération"[12].
Rentré à Montauban en juillet, il reprend sa place dans la Résistance et participe aux opérations de libération de la Poche de Royan et de la pointe de Grave, qui verrouille l'estuaire de la Gironde, sous le commandement du général Edgard de Larminat. Commandant du Secteur Ouest de la Pointe de Grave, sous les ordres du colonel de Milleret alias « Carnot », puis du Groupement Ouest de 3 régiments (3000 hommes), il prend part aux combats excessivement âpres des 14 et 20 avril 1945[13], qui permettent à ses unités, grâce la citation de la Brigade Médoc, le port de la croix de guerre à leurs drapeaux[14].
La Pointe-de-Grave libérée[15], et son groupement dissout, il conservera le commandement du 38e régiment d'infanterie qu'il emmènera en Bretagne puis en Alsace où ses trois bataillons s'étalent sur le Rhin[16].
Guerre d'Algérie
En juillet 1945, il est en Afrique du Nord, puis commandant en second de la 3e demi-brigade de Chasseurs en Allemagne et en 1955 part avec le 5e Groupe de Chasseurs Motorisés au Maroc, puis en Algérie. C'est ensuite le prestigieux régiment de "La Garde" (94e régiment d'infanterie, héritier des Grenadiers de la Garde impériale) qu'il commande dans les Aurès (Algérie), et dont les actions lui vaudront plusieurs citations. Il termine enfin sa carrière comme colonel, commandant de la Subdivision de la Corrèze[17].
Activités littéraires et historiques
Secrétaire de plusieurs sociétés savantes, il est élu, en 1975, au 15e fauteuil de l'Académie de Montauban[18], et en sera président en 1982 et 1983[19]Il y donne plusieurs conférences et écrira plusieurs biographies et romans historiques. Il est également Président pendant près de trente ans de la Section du Tarn-et-Garonne de la Société des Membres de la Légion d'honneur[20].
Yvan Reverdy est mort le 13 mars 1996, dans sa propriété de Lassalle, à Montauban[21], âgé de 91 ans. Titulaire de huit citations et d'une citation américaine, il avait été nommé commandeur de la Légion d'honneur en 1959[22] pour services exceptionnels.
Le 24 mai 2016, le Conseil municipal de la Ville de Montauban a décidé d'attribuer le nom d'une voie au colonel Yvan Reverdy.[23]
Environnement familial
Les Reverdy sont originaires du Minervois dans l'Aude. Le grand-père d'Yvan, Paul (1834-1917), sera maire de Badens[24](Aude) de 1900 à 1904. Yvan a 14 ans lorsque son père, Paul (1862-1919), meurt. Aîné de sa fratrie puisque sa sœur Yvonne est morte à la naissance, il précède deux autres sœurs : Odette et Marie-Joséphe.
L'ascendance maternelle d'Yvan est également originaire de l'Aude : Gruissan, près de Narbonne. Son grand-oncle, Louis Bonnot (1855-1936), dit « Lina Bill », frère de sa grand-mère maternelle, était artiste-peintre. Certaines de ses toiles font partie des collections du musée d'Orsay[25] à Paris et il initiera Yvan à l'aquarelle. Ce dernier signera ses toiles ou ses dessins à la plume, de son nom de Résistant "y. marcé".
Yvan épouse le 20 novembre 1933 à Montauban, Anne-Marie Darnis (1913-1990) qui lui donnera[21] :
- Marie-Françoise (1935-), veuve de Jacques Bezard-Falgas (1932-2020), chevalier de la Légion d'honneur, croix de la Valeur militaire, chevalier du Mérite agricole
- Philippe (1938-), époux de Monique Desarnauts (1943-2021)
- Yvonne (1942-1942)
- Catherine (1943-), veuve de Pierre Combes (1939-2000), notaire à Clermont-l'Hérault
Décorations
Décorations françaises
- Légion d'honneur Commandeur (30.06.1959), officier (20.08.1946), chevalier (10.08.1942)
- Croix de guerre 1939-1945 (3 palmes, 1 étoile de vermeil)
- Croix de la Valeur militaire (1 palme, 2 étoiles d'argent, 1 étoile de bronze)
- Médaille de la Résistance (décret du 15.10.1945, JO du 20.10.1945)
- Croix du combattant volontaire 1939-1945 (25.06.1958)
- Croix du combattant volontaire de la Résistance (16.03.1953)
- Croix du combattant
- Médaille de la déportation et de l'internement pour faits de Résistance
- Médaille commémorative des services volontaires dans la France libre (01.07.1952)
- Médaille commémorative de la guerre 1939-1945
- Médaille commémorative AFN (21.08.1958)
- Médaille des services militaires volontaires
- Insigne des blessés militaires
Décoration étrangère
- Bronze Star Medal (USA, 25.05.1945)
Décoration associative
- Croix d'honneur du Mérite franco-britannique (Chevalier)
État des services[26]
- 05-03-1923 : engagé volontaire au 166e régiment d'infanterie
- 07-10-1923 : nommé caporal
- 20-03-1924 : nommé sergent
- 19-06-1928 : admis à l'Ecole de l'Infanterie et des Chars de Combat de Saint-Maixent
- 13-10-1930 : nommé sous-lieutenant
- 01-10-1930 : affecté à la 11e Compagnie du 9e régiment de tirailleurs algériens
- 01-10-1931 : nommé lieutenant à la 10e Compagnie du 9e régiment de tirailleurs algériens
- 24-06-1938 : promu capitaine affecté au 14e régiment de tirailleurs algériens
- 01-08-1938 : prend le commandement de la 9e Compagnie
- 02-09-1939 : en campagne contre l'Allemagne
- 18-05-1940 : est blessé par éclat d'obus (région latérale gauche du cou) au combat d'Inor (Meuse)
- 22-06-1940 : cité à l'ordre du Corps d'Armée et de la Division (Croix de Guerre 1939-1945 avec étoile de vermeil)
- 24-06-1940 : fait prisonnier et interné à l'Oflag VI A à Soest (Rhénanie-du-Nord-Westphalie)
- 10-08-1940 : nommé chevalier de la Légion d'honneur (avec attribution de la Croix de Guerre avec palme. Annule et remplace la citation du 22.06.1940)
- 25-05-1941 : rapatrié sanitaire
- 25-06-1941 : en congé d'armistice
- 01-11-1942 : affecté à l'État-Major de la 5e BIA (Subdivision de Blida, Algérie). N'a pu rejoindre
- 01-02-1943 : engagé volontaire au réseau Gilbert des FFC (Forces Françaises Combattantes) – Agent P2
- 25-01-1944 : interné au fort Montluc (Lyon) jusqu'au 29-07-1944
- 25-12-1944 : nommé Chef de Bataillon à titre temporaire, commandant du Sous-secteur Ouest et du Groupement Tactique Ouest à 3 régiments : 8eRI, 38eRI, 8e RMME.
- 12-04-1945 : cité à l'ordre du Corps d'armée (Croix de Guerre 1939-1945 avec étoile de vermeil)
- 20-04-1945 : nommé commandant du 38eRI
- 25-05-1945 : attribution de la Bronze Star Medal (USA)]
- 15-09-1945 : cité à l'ordre de l'Armée (Croix de Guerre 1939-1945 avec palme)
- 26-10-1945 : à la disposition du général commandant la 19e Région Militaire pour service d'État-Major
- 10-11-1945 : Chef de bataillon à titre définitif, commandant d'armes de la Place de Maison Carrée (Alger)
- 24-02-1946 : cité à l'ordre du Corps d'Armée (Croix de Guerre avec étoile de vermeil)
- 01-07-1946 : Chef d'État-Major de la Subdivision d'Alger
- 20-08-1946 : promu officier de la Légion d'honneur (avec attribution de la Croix de Guerre 1939-1945 avec palme. Annule et remplace la citation du 24.02.1946)
- 01-01-1949 : affecté à l'État-Major de la Subdivision de Montauban
- 01-07-1952 : promu lieutenant-colonel
- 13-05-1953 : commandant en second de la 3e Demi-brigade de Chasseurs à Pieds (Allemagne)
- 01-03-1955 : commandant le 5e Groupe de Chasseurs Motorisés en Algérie, sous-secteur de Sidi Bel Abbès
- 03-10-1955 : au Maroc, région de Fès, région d'Oujda
- 01-07-1956 : chef de Corps du 94e régiment d'infanterie, et du sous-secteur de Tamza (Algérie)
- 11-07-1956 : cité à l'ordre de la Brigade (Croix de la Valeur Militaire avec étoile de bronze)
- 01-10-1957 : prend le commandement du sous-secteur de Taberdga (Algérie)
- 29-10-1957 : cité à l'ordre de la Division (Croix de la Valeur Militaire avec étoile d'argent)
- 01-07-1958 : nommé au grade de colonel et affecté à la Subdivision de Corrèze à Tulle
- 21-08-1958 : cité à l'ordre de la Division (Croix de la Valeur Militaire avec étoile d'argent)
- 28-01-1959 : admis à faire valoir ses droits à la retraite
- 30-06-1959 : promu commandeur de la Légion d'honneur pour « services exceptionnels »
- 14-08-1966 : rayé des cadres des officiers de Réserve
Travaux historiques et conférences
- Alphonse Jourdain, comte de Toulouse, fondateur de Montauban, 1983, in-8 broché
- Un montalbanais méconnu : Jean-Daniel Dumas maréchal de camp, gouverneur général des îles de France et de Bourbon(1721-1794), 1989, 197 pages[27] [28]
- Anne Joseph Hippolyte, comte de Malartic (1730-1800), gouverneur des établissements français au-delà du Cap de Bonne-Espérance, 1986, CRDP Académie de Toulouse
- Amable de Maurès de Malartic, comte de Montricoux (1729-1805), premier président de la Cour des Aydes de Montauban, 1989[29]
- Hippolyte de Guibert, Nanon de l'Artigues, comtesse de Montricoux, 1981, Académie de Montauban[30]
- Les origines et la descendance du Capitoul Pierre de Baudus, 1986
- Anne de Maurès, Dame d'Artigues, comtesse de Montricoux, Corep, Toulouse, 62 p.
- Olympe de Gouges, Académie de Montauban, 1982
- François de Maynard, poète du XVIIe siècle, Académie de Montauban, séance du 16 mars 1989[31]
- Les cahiers Maynard (n°13 & 14), Association des Amis de Maynard, 1983[32]
- En voltigeant avec un Voltigeur de la Garde, d'après les cahiers de la vicomtesse de Malartic, 1987
- Contribution à l'histoire des moulins à nef de la Garonne, Bulletin de la Société archéologique et historique de Tarn-et-Garonne, tome CXIV 1989-95[33]
Sources
- Recueil de l'Académie de Montauban, vol. Série 3, 67 à 83, Académie des sciences, belles-lettres, arts et encouragement au bien, 1972 à 1999 [lire en ligne]
- René Banon, « Réception de M. le colonel Yvan Reverdy », Recueil de l'Académie de Montauban (séance du 16 mai 1976), vol. Série 3, tome 69, 1975-1976, p. 149 (lire en ligne)
- Général Jacques Theil, « In Memoriam : colonel Yvan Reverdy », Recueil de l'Académie de Montauban (séance solennelle du 15 décembre 1996), vol. Série 3, tome 80, , p. 208 (lire en ligne)
- Jean-Marc Andrieu, « Hommage au colonel Yvan Reverdy », Recueil de l'Académie de Montauban (séance solennelle du 8 novembre 1999), vol. Série 3, tome 83, , p. 135 (lire en ligne)
- Jean du Bois de Gaudusson, Le front du Médoc 1944-45 : une brigade FFI au combat : Les combattants racontent.., Fédération des associations d'anciens combattants du front du Médoc et de la Brigade Carnot, , 463 p. [lire en ligne]
- Sous la direction de René Ramond, Les Soréziens du siècle : 1901-1991
- Dominique Lormier, La Libération de la France, jour après jour: juin 1944 - mai 1945, Le cherche midi, , 237 p. [lire en ligne]
- La Dépêche du Midi, A l'Académie, le colonel Reverdy affirme : "Le Montalbanais Jean Daniel Dumas aurait pu garder le Canada à la France", édition du Tarn-et-Garonne, 1980
- La Dépêche du Midi, Le colonel Yvan Reverdy n'est plus, édition du Tarn-et-Garonne, 15 mars 1996, p. 24
- Société des Membres de la Légion d'honneur, Le colonel Yvan Reverdy. Une figure montalbanaise marquante du XXe siècle. Articles écrits par nos sociétaires
- Arnaud Bezard-Falgas, Yvan Reverdy dans les geôles des tortionnaires nazis : 6 mois à Montluc entre arbitraire et espoir, vol. Bulletin n°82 de la SMLH 82, Le Ruban Rouge, , 10 p. [lire en ligne], p. p. 30-39
Notes et références
- ↑ École-abbaye de Sorèze.
- ↑ Tableau des Anciens de l'Ecole Militaire de Sorèze, 1922-1923.
- ↑ Les Soréziens du siècle 1901-1991, éditions Anne-Marie Denis, mai 2012, p. 580
- ↑ 4,0 et 4,1 Recueil de l'Académie de Montauban, vol. LXXXIII, Imprimerie coopérative, Montauban, , 184 p. [lire en ligne]
- ↑ Egid Gehring, Die grüne Hölle von Inor, Eher, , 180 p.11e REI : combats d'Inor
- ↑ Les Soréziens du siècle 1901-1991, éditions Anne-Marie Denis, mai 2012, p. 581
- ↑ Biographie d'Emile Mollard
- ↑ Le colonel Émile Mollard - Camouflage du matériel
- ↑ Les Soréziens du siècle 1901-1991, éditions Anne-Marie Denis, mai 2012, p. 581
- ↑ Ancien élève de l'Ecole Polytechnique, promotion 1919
- ↑ Archives départementales du Rhône - Montluc 1942-1944
- ↑ Service Historique de la Défense, section des archives historiques, état signalétique des services, cote 66-04652
- ↑ Jean du Bois de Gaudusson, Le front du Médoc : une brigade FFI au combat : Les combattants racontent.., Fédération des Anciens Combattants du front du Médoc et de la Brigade Carnot, , 463 p. [lire en ligne]
- ↑ Les Soréziens du siècle 1901-1991, éditions Anne-Marie Denis, mai 2012, p. 581
- ↑ Opération dans la Pointe-de-Grave, Archives de l'Institut National de l'Audiovisuel (INA), [lire en ligne]
- ↑ Service Historique de la Défense, section des archives historiques, état signalétique des services, cote 66-04652
- ↑ Service Historique de la Défense, section des archives historiques, état signalétique des services, cote 66-04652
- ↑ Recueil de l'Académie de Montauban, vol. LXIX, Ateliers du Moustier, Montauban, 1975,1976, 208 p. [lire en ligne]
- ↑ Présidents de 1883 à 2014
- ↑ Société des Membres de la Légion d'Honneur - site institutionnel
- ↑ 21,0 et 21,1 Le colonel Yvan Reverdy n'est plus, La Dépêche du Midi, édition du Tarn-et-Garonne, 15 mars 1996, p. 24
- ↑ « Décret du 30 juin 1959 portant promotions dans l'Ordre national de la Légion d'honneur », Journal Officiel de la République Française, no 6735, (lire en ligne)
- ↑ La Dépêche du Midi, Une nouvelle voie à Bas-Pays,[1]
- ↑ Les maires de France à travers le temps : Badens
- ↑ Catalogue des œuvres
- ↑ Service Historique de la Défense, section des archives historiques, état signalétique des services, cote 66-04652
- ↑ Sudoc
- ↑ Recueil de l'Académie de Montauban, vol. LXXII, Académie des sciences, belles-lettres, arts et encouragement au bien, 1982-1983, 190 p. [lire en ligne]
- ↑ Bulletin de la Société archéologique, historique, littéraire & scientifique du Gers, vol. 90, [lire en ligne]
- ↑ Recueil de l'Académie de Montauban, vol. LXX, Académie des sciences, belles-lettres, arts et encouragement au bien, 1977, 1978, 1979, 184 p. [lire en ligne]
- ↑ Recueil de l'Académie de Montauban, vol. LXXV, Ateliers du Moustier, Montauban, 1982-1989, 276 p. [lire en ligne]
- ↑ Les Cahiers Maynard, vol. 13 à 14, Association des Amis de Maynard, [lire en ligne]
- ↑ Jean-Claude Fabre sous la direction de Jean-Claude Fau, Table générale des tomes CVI à CXV du bulletin archéologique
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