Tendance refondation syndicale
La Tendance Refondation Syndicale (TRS) est une des quatre tendances qui composent le syndicat étudiant UNEF, premier syndicat étudiant de France. Elle est l'heritière de la Tendance S'Entraider. Lors du dernier congrès national de l'UNEF à Toulouse en 2013, la TRS a obtenu 7,35 % des mandats[1].
Elle met l'accent sur le syndicalisme de proposition comme alternative au syndicalisme d'opposition qu'incarnerait la tendance pour une Unef unitaire et démocratique et dans une moindre mesure la Majorité Nationale. Politiquement, elle se réclame de gauche réformiste.
La tendance Refondation Syndicale est majoritaire au sein des AGE de Pau, Poitiers, Paris V et Paris IX. Elle est également présente dans les AGE de : l'IEP de Paris , Paris III, Paris VIII, de Paris X, Lyon, Dijon, Nantes, Aix-Marseille, Grenoble, Bordeaux, Dauphine. Lors du dernier congrès de l'UNEF en 2013, elle a recueilli des suffrages dans deux-tiers des AGE de l'UNEF.
Les principaux dirigeants la Tendance Refondation Syndicale sont Etienne Rouault, Chirinne Ardakani, Maxime Bureau (membres du bureau national), Loukian Jacquet, Arthur Moinet et Juba Ihaddaden.
Aujourd'hui la TRS a évolué et s'est transformée en TASER (Tendance pour une alternative syndicale et réformiste).
La TASER possède un élu CNESER au titre de l'UNEF : Maxime Bureau.
Notes
Voir aussi
- Union nationale des étudiants de France#Les tendances
- Un texte de cette tendance
- Le site web de la TRS
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