Jean Le Brun

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Jean Le Brun

Jean Le Brun, né le , à Callac, mort le , à Pléneuf[1]. Entrepreneur de bâtiment à Pléneuf-Val-André, il fut un résistant français, pendant la Seconde Guerre mondiale[2].

Biographie

Membre du réseau CND-Castille, dès , le premier contact avec l'agent de liaison eut lieu sur le toit du casino du Val-André, il prit alors pour pseudonyme « le joueur »[3]. Arrêté le , il est enfermé à la prison de Saint-Brieuc, puis interné au camp de Royallieu (Frontstalag 122) à Compiègne dans (Oise). Il s'évade le , emmenant avec lui une dizaine de camarades détenus[3]. Après la guerre, il participera avec d'autres entrepreneurs locaux, dont Monsieur Richet, président du Syndicat patronal des bâtiments et des travaux publics, MM. Davy et Rouhaux, sous la présidence de Monsieur Le Guern, membre du Comité départemental de libération, a une commission chargée de procéder à l'examen des dossiers de réclamation d'entreprises mises à l'index des marchés publics, compte tenu de leur étroite collaboration avec l'ennemi pendant l'occupation allemande[3].

Décorations

Notes et références

  1. « Jean Yves Le Brun », sur francaislibres.net (consulté le ).
  2. Yves Douard, « Noms des personnalités ayant une rue à Pleneuf Val André » Accès libre [PDF], sur https://www.pleneuf-val-andre.fr/, (consulté le )
  3. 3,0 3,1 et 3,2 « Jean Le Brun, un grand résistant Jean Le Brun », sur studylibfr.com (consulté le )
  4. « - Mémoire des hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )

Article publié sur Wikimonde Plus

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