Guillaume Bigot (dirigeant)

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Guillaume Bigot (dirigeant)
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Guillaume Bigot, né le [1], est un géopoliticien, chef d'entreprise et essayiste français.

Biographie

Diplômé de Sciences Po Paris, Guillaume Bigot soutient en 2002 la candidature de Jean-Pierre Chevènement et lance le mouvement Jeboycotte Danone.com. Il enseigne la géopolitique avant d'être nommé par Charles Pasqua à la direction de l’école de management du Pôle universitaire Léonard-de-Vinci (EMLV) à La Défense, fonction qu'il occupe pendant six ans. Après s’être opposé au président du pôle, (Charles Pasqua), il est depuis le [2] directeur général du Groupe IPAG Business School Paris Nice.

Membre du conseil scientifique de la Fondation Res Publica, le centre d'études de Jean-Pierre Chevènement, il est également l’un des fondateurs des Orwelliens, avec Natacha Polony, Jean-Michel Quatrepoint, Franck Dedieu et Benjamin Masse-Stramberger.

Chroniqueur de l’émission les Insiders sur BFM Business, il collabore régulièrement à Causeur et au Figarovox.

Il publie plusieurs essais dont Le Zombie et le fanatique en 2002 qui prévoit l'enlisement américain en Irak et la guerre civile dans ce pays. Il coécrit deux ouvrages avec Jean-Claude Barreau chez Fayard et les éditions du Toucan, Toute l'histoire du monde (2005) et Toute la géographie du monde (2006), respectivement traduits en huit et six langues. En 2006, Guillaume Bigot et Stéphane Berthomet publient Le jour où la France tremblera, annonçant l'explosion des émeutes de banlieues et l’avènement d’un djihadisme français.

En 2013, il publie La Trahison des chefs chez Fayard[3] pour dénoncer les travers du management.

En 2017, il co-rédige avec Natacha Polony et le Comité Orwell, Bienvenue dans le Pire des Mondes, le triomphe du soft totalitarisme.

En , il dénonce sur Canal +[4] l'hypocrisie des stars dans le cadre de l'affaire Weinstein en affirmant que celles-ci étaient au courant de sa perversité et qu'elles l'avaient couvert.

En , il publie sur Causeur une tribune dans laquelle il compare les jeunes écologistes comme Greta Thunberg aux jeunesses hitlériennes. Il affirme ainsi que "depuis le troisième Reich, aucun mouvement idéologique n’avait appelé les enfants et les adolescents à défiler seuls pour en remontrer au monde adulte."[5]

Essais

Notes et références

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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